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Les Disparus de Dublin
Michèle Albaret-Maatsch (traduit par)
Date de parution : 28/06/2012
Éditeurs :
Nil

Les Disparus de Dublin

Michèle Albaret-Maatsch (traduit par)
Date de parution : 28/06/2012
Derrière le nom de Benjamin Black se cache le grand romancier irlandais John Banville, Booker Price 2005 pour La Mer.
« Dans le service de médecine légale, il faisait toujours nuit....
Derrière le nom de Benjamin Black se cache le grand romancier irlandais John Banville, Booker Price 2005 pour La Mer.
« Dans le service de médecine légale, il faisait toujours nuit. C’était un des trucs qui plaisaient à Quirke dans son boulot – avec cette impression d’y perpétuer des pratiques ancestrales,...
Derrière le nom de Benjamin Black se cache le grand romancier irlandais John Banville, Booker Price 2005 pour La Mer.
« Dans le service de médecine légale, il faisait toujours nuit. C’était un des trucs qui plaisaient à Quirke dans son boulot – avec cette impression d’y perpétuer des pratiques ancestrales, des techniques secrètes, une oeuvre trop sombre pour être accomplie en pleine lumière. »
C’est là, dans son repaire, un soir d’ivresse, que le cadavre d’une inconnue déclarée morte dans de troublantes circonstances va obliger Quirke à sortir de l’ombre – à se lancer dans une enquête que tous cherchent à lui faire abandonner. Car cette enquête, qui met en cause l’Église toute-puissante des années 1950, menace de dynamiter la haute société catholique, de Dublin à Boston. Et de gangrener l’âme de sa propre famille, en réveillant ses blessures les plus enfouies.
Il est médecin légiste, veuf, misanthrope, souvent soûl – bref, pas très catholique. Avec Quirke, John Banville a créé un héros que vous allez adorer.
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EAN : 9782841115877
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782841115877
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LadyDoubleH 24/03/2023
    Les disparus de Dublin est le premier tome de la série policière de John Banville, alias Benjamin Black. Enfin policière, policière, j'y connais peu en la matière, mais c'est plutôt un roman noir. Et encore plus, d'ailleurs, un roman d'atmosphère, sur le Dublin des années 50. (aparté 1 : c'est Thierry Robin je crois qui parle de Docteur Banville et Mister Black : mais tellement ! On n'a pas l'impression du même auteur, c'est troublant). Celui qui mène l'enquête est médecin légiste. Quirke n'a pas de prénom dans l'histoire (en tous cas je n'ai pas souvenir de l'avoir lu à aucun moment !), c'est un géant blond très attachant, brillant et taciturne, il boit trop et a été bien amoché par l'existence (aparté 2 : au niveau physique, c'est donc étonnant que Gabriel Byrne ait été choisi pour le rôle dans la mini-série de la BBC, mais en fait non : il incarne Quirke avec une justesse confondante. Il est Quirke ! C'est donc plutôt John Banville qui s'est trompé en le décrivant géant et blond, hahaha). C'est un soir de pot de départ bien arrosé, qu'en repassant à son bureau – en titubant jusqu'à son bureau, pourrait-on dire -, Quirke découvre son beau-frère Malachy en train d'annoter le dossier d'une patiente (d'un cadavre) : Christine Falls (qui est le nom du roman en version originale : aparté 3). Il n'a rien à faire là, Malachy. Eminent gynécologique, c'est le mari de la soeur de la femme de Quirke, mais aussi presque son frère, car Quirke est un orphelin que le père de Malachy, un juge avec le vent en poupe, a sorti de son orphelinat et quasiment adopté. Roman noir, roman d'ambiance, Les disparus de Dublin est aussi un roman d‘enchevêtrements : de familles, de couples, d'intrigues, de passés et de présents, de ponts sur l'Atlantique, de coïncidences. Un monde souvent trop clos, trop petit, pour être crédible – les coïncidences sont bien trop nombreuses. Mais qu'importe : j'ai bien aimé Les disparus de Dublin. Pas tant pour l'intrigue, pas vraiment originale et souvent un peu prévisible. J'ai bien aimé ce roman pour l'atmosphère, pour Quirke, et pour le canevas que l'auteur tisse habilement en nous entortillant dedans jusqu'au dénouement. J'ai trouvé aussi très intéressant ce qu'il raconte des rapports étroits entre l'Irlande des années 50 et les États-Unis, avec la main-mise effroyable de l'église tentaculaire entre les deux pays. L'originalité du roman se situe là, je pense. Je lirai très certainement les tomes suivants – Quirke est attachant, l'ai-je déjà signalé ?Les disparus de Dublin est le premier tome de la série policière de John Banville, alias Benjamin Black. Enfin policière, policière, j'y connais peu en la matière, mais c'est plutôt un roman noir. Et encore plus, d'ailleurs, un roman d'atmosphère, sur le Dublin des années 50. (aparté 1 : c'est Thierry Robin je crois qui parle de Docteur Banville et Mister Black : mais tellement ! On n'a pas l'impression du même auteur, c'est troublant). Celui qui mène l'enquête est médecin légiste. Quirke n'a pas de prénom dans l'histoire (en tous cas je n'ai pas souvenir de l'avoir lu à aucun moment !), c'est un géant blond très attachant, brillant et taciturne, il boit trop et a été bien amoché par l'existence (aparté 2 : au niveau physique, c'est donc étonnant que Gabriel Byrne ait été choisi pour le rôle dans la mini-série de la BBC, mais en fait non : il incarne Quirke avec une justesse confondante. Il est Quirke ! C'est donc plutôt John Banville qui s'est trompé en le décrivant géant et blond, hahaha). C'est un soir de pot de départ bien arrosé, qu'en repassant à son bureau – en titubant jusqu'à son bureau, pourrait-on dire -, Quirke découvre...
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  • collectifpolar 16/11/2022
    Sous le pseudo de Benjamin Black se cache John Banville. Et sous cet alias, il nous offre le premier opus des aventures du légiste alcoolique Quirke qui dissèque plus les âmes que les corps. Mais alors que nous raconte "Les disparus de Dublin" Nous sommes donc à Dublin dans les années 1950. Quirke, médecin légiste, découvre un soir son beau-frère assis à son bureau à la morgue. Ce dernier consultait un dossier qu'il tente de dissimuler. Le lendemain, lorsque Quirke retourne à son travail, le dossier a disparu ainsi que le cadavre de la jeune femme concernée. Quirke se retrouve dans une affaire impliquant la haute société catholique de Dublin ainsi que sa famille. Forcément ici, la bonne société ne va pas être épargnée, on va toucher du doigt ses travers. Avec Quirke un médecin légiste, veuf, misanthrope, souvent soût - bref, pas très catholique., John Banville a créé un héros que vous allez adorer. Voilà donc un héros et un auteur à découvrir ou redécouvrir
  • Crazynath 03/01/2020
    Au hasard de mes pérégrinations sur Babelio, il m'arrive via différentes critiques et aussi grâce à certaines listes, de tomber sur des petites pépites littéraires. Cela a été le cas pour cette superbe découverte d'un auteur irlandais que je ne connaissais absolument pas : Benjamin Black qui est en réalité le pseudonyme de John Banville. Les disparus de Dublin est un livre qui m'a permis de plonger dans le Dublin des années cinquante et de faire connaissance avec son personnage récurrent : le Dr Quirke, médecin légiste. Il va être amené à s'interroger (puis enquêter ) sur le décès d'une jeune femme. Cette dernière semble être décédée suite à un accouchement, mais ce qui intrigue immédiatement Quirke c'est le fait que ce soit son propre beau-frère qui a signé le certificat de décès… Pourquoi ? Ses questionnements vont le mener beaucoup plus loin qu'il ne l'avait prévu, sous fond d'affaires de famille, de meurtres et de trafics impliquant certains membres de la « bonne société « irlandaise. Quirke, personnage écorché, avec sa propension à boire de trop, ( comme beaucoup d'irlandais semble-t-il ), est un personnage plus qu'attachant. Il va au bout des choses et essaye sincèrement de faire de son mieux pour tout le monde (ou presque) Même si nous sommes au vingtième siècle, on mesure encore pleinement l'impact et la puissance de l'Eglise Irlandaise (et catholique) sur ses ouailles et leur comportement. Un vrai roman noir, qui nous plonge dans le Dublin des années cinquante mais nous fait aussi traverser l'Atlantique pour nous retrouver à Boston. Une écriture que je qualifierais de ciselée et aussi d'addictive, car j'ai vraiment apprécié cette lecture et le style de l'auteur. Je ne peux que déplorer le fait qu'actuellement seuls cinq titres de cette série ( qui en compte six ) ont été traduit en français….Ce qui me rappelle douloureusement mes lacunes dans la langue de Shakespeare. J'ai appris entre temps qu'une mini- série intitulée Quirke avec dans le rôle phare l'excellent Gabriel Byrne a été produite. Vais un peu fouiner sur le net car j'avoue avoir très envie de la voir… Challenge Séries 2020 Challenge A travers l'histoire 2020 Challenge Mauvais Genre 2020 Challenge ABC 2019/2020 Au hasard de mes pérégrinations sur Babelio, il m'arrive via différentes critiques et aussi grâce à certaines listes, de tomber sur des petites pépites littéraires. Cela a été le cas pour cette superbe découverte d'un auteur irlandais que je ne connaissais absolument pas : Benjamin Black qui est en réalité le pseudonyme de John Banville. Les disparus de Dublin est un livre qui m'a permis de plonger dans le Dublin des années cinquante et de faire connaissance avec son personnage récurrent : le Dr Quirke, médecin légiste. Il va être amené à s'interroger (puis enquêter ) sur le décès d'une jeune femme. Cette dernière semble être décédée suite à un accouchement, mais ce qui intrigue immédiatement Quirke c'est le fait que ce soit son propre beau-frère qui a signé le certificat de décès… Pourquoi ? Ses questionnements vont le mener beaucoup plus loin qu'il ne l'avait prévu, sous fond d'affaires de famille, de meurtres et de trafics impliquant certains membres de la « bonne société « irlandaise. Quirke, personnage écorché, avec sa propension à boire de trop, ( comme beaucoup d'irlandais semble-t-il ), est un personnage plus qu'attachant. Il va au bout des choses et essaye sincèrement de faire de son mieux pour tout le...
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  • missmolko1 09/02/2018
    Les disparus de Dublin est le premier tome de la saga Quirke, écrit pas Benjamin Black (pseudonyme de John Banville). Il nous emmène dans le Dublin des années 1950. Quirke est médecin légiste, mélancolique et il boit et fume plus que de raison. Il m'a fait penser au célèbre Maigret, imaginé par Simenon. Sa première "enquête" tourne autour de la mort de Christine Falls, une jeune femme morte en couche. Mal, le beau-frère de Quirke, a signé le certificat de décès avec une fausse raison, officiellement pour protéger la famille de la jeune femme qui n'était pas marié mais en réalité, il cache un grand secret. Pour un premier livre, c'est vraiment prometteur et j'ai hâte de découvrir le reste de la saga Quirke. J'ai aussi découvert la mini-série de 3 épisodes et je suis aussi conquise.
  • Laury-Anne 08/01/2015
    Ce n’est pas le policier du siècle, mais on passe un bon moment en compagnie de Quirke, le médecin légiste. Si vous voulez une lecture sans prise de tête, n’hésitez pas !
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