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Mort-en-direct.com
Jean-Pierre Provost (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 24/05/2012
Éditeurs :
Presses de la cité

Mort-en-direct.com

Jean-Pierre Provost (traduit par)
Collection : Sang d'Encre
Date de parution : 24/05/2012

Pour retrouver la victime d’un snuff movie, un professeur de psychologie doit faire équipe avec un pédophile.
Adrian, professeur de psychologie, apprend qu’il est atteint d’une maladie dégénérative du cerveau...

Pour retrouver la victime d’un snuff movie, un professeur de psychologie doit faire équipe avec un pédophile.
Adrian, professeur de psychologie, apprend qu’il est atteint d’une maladie dégénérative du cerveau provoquant, entre autres symptômes, des hallucinations.
Un soir, il voit une jeune fille se faire embarquer de force dans une...

Pour retrouver la victime d’un snuff movie, un professeur de psychologie doit faire équipe avec un pédophile.
Adrian, professeur de psychologie, apprend qu’il est atteint d’une maladie dégénérative du cerveau provoquant, entre autres symptômes, des hallucinations.
Un soir, il voit une jeune fille se faire embarquer de force dans une camionnette. Il est le seul à croire à un enlèvement. Sans l’aide de la police, Adrian doit, pour la sauver, recourir à un spécialiste des réseaux souterrains et illégaux : un pervers sexuel en liberté surveillée. Adrian la retrouvera-t-il avant de sombrer dans la folie ?

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EAN : 9782258099685
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782258099685
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Mimiie18 02/12/2023
    Une lecture facile à lire, on ne s'y perd pas dans l'histoire. C'est un roman qui pourrais arriver dans la vraie vie. J'ai quand même bien aimé, ca bat pas d'autre livres que j'ai lu, mais bon quand même. Si t'a envie d'une lecture relaxe et pas trop compliqué je vous le recommande moyennement.
  • collectifpolar 18/10/2021
    Pour retrouver la victime d'un snuff movie, un professeur de psychologie doit faire équipe avec un pédophile. Voilà ce que nous raconte « Mort-en-direct.com » Adrian, professeur de psychologie, est atteint d'une maladie dégénérative du cerveau qui l'entraîne vers la folie. Quand une jeune fille disparaît, il découvre qu'elle est séquestrée dans une cave et filmée par un couple réalisant des snuff movies. Pour la sauver, il fait appel à un spécialiste des réseaux souterrains et illégaux : un pervers sexuel en liberté surveillée... Un suspense qui tient en haleine vous attirant de plus en plus profondément dans une ambiance frissonnante du mal, les ténèbres et les ombres. Enlèvement, voyeurisme, et un personnage principal touchant dans sa lutte contre une maladie dégénérative du cerveau : voici les ingrédients de ce page turner. . Peut-être pas le meilleur des « Katzenbachs » pourtant, le récit ici coule sans effort et le scénario tient la route. Alors pourquoi bouder son plaisir d’une lecture prenante malgré tout
  • Khalya 24/11/2018
    Dans ce livre, comme le protagoniste principal, on sait dès le début qu’un crime a été commis. On en sait même plus que lui car dès le début, on connait le nom et les intentions des ravisseurs de Jennifer. J’ai été choquée par l’inertie de la police qui part forcément du principe qu’une ado qui disparait ne peut qu’être fugueuse (et limite que si c’est plus que ça, elle l’aurait bien cherché en fuguant) et qui refuse de faire des recherches parce que c’est « compliqué ». Je n’ai pas trouvé d’intérêt au passé de la policière car ça n’apporte rien à l’histoire. On nous le raconte comme une anecdote sans que cela change l’attitude de la policière face à l’affaire de Jennifer. Les deux criminels qui ont enlevé la jeune fille ne semblent pas se considérer comme tels. Ils se voient comme des artistes incompris et, puisqu’il y a un marché pour le genre de « télé-réalité » qu’ils proposent, ils ne voient pas pourquoi ils s’abstiendraient ni qui aurait le droit de les en empêcher. Leur attitude fait vraiment froid dans le dos ! Adrian, le protagoniste principal, est un homme brisé. Il a successivement vu mourir son frère, son fils, et sa femme et se retrouve seul face au diagnostic d’une force de démence foudroyante. Professeur et chercheur à l’université, cet homme brillant sait qu’il va décliner et se retrouver complètement dépendant. Quand il assiste, impuissant, à l’enlèvement de Jennifer il ne sait pas comment réagir dans un premier temps car un des symptômes de son mal est les hallucinations, qu’elles soient visuelles ou auditives. Adrian va être épaulé et aidé dans ses recherches par trois assistants de choix : son frère, sa femme et son fils. S’il sait que ce ne sont que des hallucinations et qu’ils ne font que lui révéler que ce que son cerveau a remarqué sans qu’il en ait conscience immédiatement, ces « apparitions » sont pour lui un soulagement. Il va être le meilleur allié de Jennifer car il n’a pas l’intention de laisser tomber et a bien l’intention d’aller jusqu’au bout de ses forces pour aider la jeune fille. Devant le refus de la police de faire le nécessaire, il va se risquer à la limite de la légalité pour embarquer dans l’affaire Mark Wolf, un pédophile en liberté surveillée. Mark Wolf est un personnage intéressant. D’un côté c’est un être ignoble, dont le nom même évoque le prédateur qu’il est, qui revendique sa pédophilie et qui n’a aucune intention de se soigner, juste de faire attention à rester sous les radars, de l’autre, il prend soin de sa mère malade avec beaucoup d’attention. Même si ses motivations ne sont guère altruistes, il est la meilleure chance d’Adrian pour trouver Jennifer. Parallèlement aux recherches que mènent Adrian et Wolf, on suit également Jennifer, dans le lieu où elle est retenue prisonnière. Cette adolescente de 16 ans seulement force l’admiration. Elle se résigne et obéit juste ce qu’il faut pour ne pas s’attirer les foudres de ses ravisseurs tout en faisant tout ce qui est en son pouvoir pour conserver son identité et ne pas être réduite à « numéro 4 ». Régulièrement, on peut également voir les réactions de ceux qui regardent « l’émission ». Leur comportement fait froid dans le dos. D’autant plus qu’on trouve là toute sorte de personnes et pas seulement des pédophiles lubriques enfermés dans leur sous-sol. A aucun moment l’un d’eux ne semble prendre conscience que Jennifer est une adolescente, avec une famille qui doit être morte d’inquiétude, aucun d’entre eux ne semble avoir l’intention de prévenir les autorités. J’ai une petite réserve sur la fin parce que je trouve que trop souvent les auteurs de thriller font se terminer leur histoire de la même façon qui semble être la solution de facilité. Mais en dehors de ce petit bémol, j’ai bien aimé ce thriller avec une trame originale.Dans ce livre, comme le protagoniste principal, on sait dès le début qu’un crime a été commis. On en sait même plus que lui car dès le début, on connait le nom et les intentions des ravisseurs de Jennifer. J’ai été choquée par l’inertie de la police qui part forcément du principe qu’une ado qui disparait ne peut qu’être fugueuse (et limite que si c’est plus que ça, elle l’aurait bien cherché en fuguant) et qui refuse de faire des recherches parce que c’est « compliqué ». Je n’ai pas trouvé d’intérêt au passé de la policière car ça n’apporte rien à l’histoire. On nous le raconte comme une anecdote sans que cela change l’attitude de la policière face à l’affaire de Jennifer. Les deux criminels qui ont enlevé la jeune fille ne semblent pas se considérer comme tels. Ils se voient comme des artistes incompris et, puisqu’il y a un marché pour le genre de « télé-réalité » qu’ils proposent, ils ne voient pas pourquoi ils s’abstiendraient ni qui aurait le droit de les en empêcher. Leur attitude fait vraiment froid dans le dos ! Adrian, le protagoniste principal, est un homme brisé. Il a successivement vu mourir son frère, son fils, et...
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  • Balthazar21 08/12/2017
    Voici un roman qui interpelle !!! Le pitch: une jeune fille de 16 ans se fait enlever par un couple pour se retrouver enfermée dans une cave, filmée 24 heures sur 24, et diffusée en direct sur le dark net où, à travers le monde, de très nombreux voyeurs paient cher pour vivre ses derniers jours, espérant certainement un viol et bien sûr sa mort en direct ... Je ne vous raconte pas l'histoire, mais le sujet fait peur ... et si demain votre fille fait une fugue et que vous avez eu le malheur de lire ce livre, vous vivrez des heures voire des jours d'enfer ... bien pires que si vous ne l'aviez pas lu! L'analyse psychologique de l'otage est remarquable, le suspens est prenant ... seul bémol, certains passages avec le vieux professeur sont tantôt puérils, tantôt trop long, mais sinon le sujet mérite un réel questionnement, à savoir sommes-nous dans le roman ou proche d'une réalité que certaines jeunes filles peuvent vivre ... comme par exemple dans le film "Taken". J'avais déjà lu "l'Analyste", très bon roman psychologique aussi !
  • Maliae 13/10/2016
    Je me suis embarquée dans ce petit thriller dont le résumé me faisait pas mal envie et j’ai beaucoup aimé ma lecture. Adrian apprend qu’il est atteint de la démence à corps de Lewy, une maladie aussi rare que destructrice. Adrian se retrouve victime d’hallucinations et perd peu à peu la tête. Il a donc prévu de se suicider avant de ne plus être maître de lui-même, sauf que ses projets sont annulés quand il assiste à un kidnapping. De là, il va se mettre dans la tête d’aider cette victime et de la sauver, en partie parce qu’il n’a pas pu sauver son frère, sa femme et son fils tous morts bien trop tôt. Accompagné des hallucinations de sa famille, il va mener son enquête qui vont l’emmener très loin. Même si au début, j’ai eu un peu de mal avec l’écriture, au fur et à mesure de ma lecture, j’ai de plus en plus accroché, m’attachant au personnage d’Adrian. Ce professeur qui perd la tête est super attachant, et sa vie a été vraiment difficile, il a vu toutes les personnes qu’il aimait mourir. Pouvoir les retrouver en hallucination est presque un soulagement pour lui, en fait. On sent qu’Adrian est sur un fil, entre folie et réalité, et malgré ça, il va se battre pour retrouver Jennifer et je l’ai vraiment aimé. J’ai beaucoup moins apprécié la flic, Terry. Elle aussi a un passé difficile, fuyant avec ses filles un mari violent. Mais je l’ai trouvé presque trop terre-à-terre. Elle pensait beaucoup à sa carrière, allant parfois jusqu’à souhaiter être débarrassée de cette affaire. Elle restait très droite, certes, mais inutile du coup. Je pense que ça représente une certaine réalité de la police, ils ont des règles à suivre et ils sont parfois bloqués par la peur des journalistes, la peur de voir leur carrière détruite par une erreur. On se retrouve aussi dans la tête de Jennifer, et je l’ai trouvé hyper courageuse, j’avais envie qu’elle se batte, qu’elle lutte, j’avais tellement envie qu’elle s’en sorte. On sent qu’elle a du caractère, qu’elle ne veut pas céder, mais en même temps, elle est terrifiée par ce qui lui arrive. Pour autant, elle réussit à obtenir des petites victoires face à ses agresseurs. Des agresseurs qui se prennent pour des grands scénaristes et ne voient pas le problème dans ce qu’ils font. Ils ne se sentent ni violeur, ni meurtrier. On sent leur folie chaque fois qu’on se retrouve dans leur tête, une folie guidée par leur amour. Ils font froid dans le dos, mais j’ai trouvé que ceux qui regardaient le site, tels des voyeurs, étaient encore pire qu’eux. Ils assistent à ce que doit subir Numéro Quatre, ils la regardent jour après jour, essaie de ne pas rater les meilleurs moments (un peu à la Truman Show, mais en vraiment plus glauque), et pas un seul ne prévient la police, n’essaie de sauver Numéro Quatre. On voit diverses sortes de persos, des gros pervers, des étudiants pas nets, mais également des jeunes filles, des réalisateurs… Et aucun n’essaie d’aider la jeune fille qu’ils voient souffrir à l’écran. Ils se délectent simplement du spectacle et franchement, pour moi, ils valaient pas mieux que Linda et Michael, les agresseurs de Jennifer. Et puis il y a Wolfe, le délinquant sexuel qui va aider Adrian à retrouver la jeune fille, et lui, je ne l’ai pas aimé pour tous pleins de raisons, mais c’est un personnage intéressant qui montre la psychologie de ce genre de personnes. Leur perversité, mais également leurs autres facettes. Par exemple, ici, Wolfe malgré ses actes, consacre beaucoup de temps à sa mère malade. Le récit est donc vu à travers tous ces points de vue, et si on sait déjà qui est coupable, pourquoi et comment, ça n’enlève rien au thriller qui est une course contre la montre, mais qui va surtout visiter la psychologie des personnages, et qui est donc très intéressant. Chaque personnage est vraiment visité, on voit leurs pensées, c’est très profond. L’intrigue est donc prenante, et à la fois malsaine. Parce qu’on a l’impression aussi d’être des voyeurs, en regardant ce qu’il va arriver à Jennifer. Sauf qu’on n’a pas les pouvoirs de prévenir personne, on peut juste espérer qu’elle soit retrouvée à temps. La fin m’a pas mal émue, j’en ai eu les larmes aux yeux. Même si je regrette que certains personnages soient effacés, pour lesquels j’aurais voulu en savoir plus sur leur devenir. Mais ça reste une belle fin et un bon livre.Je me suis embarquée dans ce petit thriller dont le résumé me faisait pas mal envie et j’ai beaucoup aimé ma lecture. Adrian apprend qu’il est atteint de la démence à corps de Lewy, une maladie aussi rare que destructrice. Adrian se retrouve victime d’hallucinations et perd peu à peu la tête. Il a donc prévu de se suicider avant de ne plus être maître de lui-même, sauf que ses projets sont annulés quand il assiste à un kidnapping. De là, il va se mettre dans la tête d’aider cette victime et de la sauver, en partie parce qu’il n’a pas pu sauver son frère, sa femme et son fils tous morts bien trop tôt. Accompagné des hallucinations de sa famille, il va mener son enquête qui vont l’emmener très loin. Même si au début, j’ai eu un peu de mal avec l’écriture, au fur et à mesure de ma lecture, j’ai de plus en plus accroché, m’attachant au personnage d’Adrian. Ce professeur qui perd la tête est super attachant, et sa vie a été vraiment difficile, il a vu toutes les personnes qu’il aimait mourir. Pouvoir les retrouver en hallucination est presque un soulagement pour lui, en fait. On sent...
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