N'en jetez plus !

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• lecassin 24/07/2022

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  « N’en jetez plus » Fleuve Noir 1er trimestre 1971 Une nouvelle mission échoit à notre commissaire préféré, qui vole en direction d’Israël en compagnie d’un rabbin, le rabbin Bérurheim, si vous voyez ce que je veux dire… Les services secrets israéliens ont retrouvé, en France, un ancien nazi, Von Chichmann que tout le monde croyait mort. Le boss n’a pas l’intention de voir ce nazi trucidé sans procès par le Shin-Bet ; étrange, non ? Aussi a-t ’il mandaté son meilleur élément pour filocher les deux agents israéliens qui lui filent le train… Revoila San-Antonio reparti sur la piste d’un ancien nazi comme au bon vieux temps, dans les années 50, début de la saga. Et comme au début de la saga, une intrigue plutôt bien ficelée. Un épisode un peu moins délirant que certains autres précédemment, mais très plaisant ; ne manque qu’un grain de folie, de démesure, de n’importe quoi … Mieux, un épisode qui nous en apprend beaucoup sur le passé glorieux du boss. Au suivant : « Moi, vous me connaissez ? »
• LectureChronique 10/07/2022

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  Ca démarre avec un Béru en rabbin, puis pilote de ligne, la prise d'otage est excellente. Puis s'ensuit l'espionne iranienne, avec les israéliens, les libanais et les français à la poursuite d'un même individu qui n'est autre qu'un ancien nazi, de quoi remettre à sa place le James Bond anglais au profit de notre équipe française. Toujours aussi truculentes, les aventures de Béru et de San-A me passionnent. Le langage, les coutumes du moyen orient et même les scènes un peu olé-olé évoqués dans le livre ont un autre goût aujourd'hui. Les traductions valent le coup d'œil. J'ai aimé la fin, moins les descriptions. Du Frédéric Dard comme on aime en lire.
• GentlemanW 27/07/2021

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  Lu, relu, re-relu, j'ai toujours ce plaisir de rire dès les premières plages non pour l'histoire mais pour cette façon incroyable de narrer avec des mots bien à lui des situations impossibles où Bérurier devient pilote de ligne et rabbin à la fois. Je ris, je me gausse, je me courbe aussi, je continue encore et toujours à jouer de cette musique des voyelles et des consonnes avec GOURMANDISE. Merci Monsieur DARD pour ce lyrisme joyeux.
• JML38 30/05/2020

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  San-Antonio et Bérurier se voient confier par le big boss, Achille, la mission très spéciale de suivre deux membres des services secrets israéliens, et de découvrir les intentions dudit service, le Shin-Bet, au sujet d'un ancien nazi repéré sur le territoire français. C'est le début d'une aventure des plus mouvementés pour nos compères. D'abord déguisés en rabbins, ils sont victimes, en même temps que leur vol de la compagnie El Al, d'un détournement perpétré par un groupe terroriste qui, ayant malencontreusement occis tous les pilotes, se trouve dans l'obligation de laisser Béru tenter de poser le DC8 dans le désert irakien. C'est ensuite San-A qui démontre ses qualités de pilote aux commandes d'un hélico puis d'un antique Jodel qu'il fait décoller de l'unique porte-avions soudanais, le seul au monde à pédales. Tour à tour la cible des Arabes puis des Juifs, ils ne peuvent pas se fier à l'israélien Horry Zonthal, ni à la sublime irakienne PI 3-1416, et encore moins à Akel-Brâkmâr Bérurier, un cousin musulman du Gros. Du désert au kibboutz prospère de Youde-Labboûm, il n'y a qu'un pas franchit allègrement par le duo de choc, avant de rejoindre la mère-patrie pour un dénouement surprenant. Que du parfaitement crédible donc, et comme souvent, Frédéric Dard n'hésite pas à mettre le lecteur à l'aise dans la compréhension des dialectes des pays concernés par l'histoire. C'est le cas ici avec l'irakien moderne, le lecteur inculte que je suis n'ayant pas de mal à comprendre la signification de « Kiquî m' feshyié âstheur ». Un grand merci à l'auteur, c'est toujours mieux de pouvoir lire une langue étrangère dans le texte.San-Antonio et Bérurier se voient confier par le big boss, Achille, la mission très spéciale de suivre deux membres des services secrets israéliens, et de découvrir les intentions dudit service, le Shin-Bet, au sujet d'un ancien nazi repéré sur le territoire français. C'est le début d'une aventure des plus mouvementés pour nos compères. D'abord déguisés en rabbins, ils sont victimes, en même temps que leur vol de la compagnie El Al, d'un détournement perpétré par un groupe terroriste qui, ayant malencontreusement occis tous les pilotes, se trouve dans l'obligation de laisser Béru tenter de poser le DC8 dans le désert irakien. C'est ensuite San-A qui démontre ses qualités de pilote aux commandes d'un hélico puis d'un antique Jodel qu'il fait décoller de l'unique porte-avions soudanais, le seul au monde à pédales. Tour à tour la cible des Arabes puis des Juifs, ils ne peuvent pas se fier à l'israélien Horry Zonthal, ni à la sublime irakienne PI 3-1416, et encore moins à Akel-Brâkmâr Bérurier, un cousin musulman...

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• Wyoming 11/02/2019

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  75ème San-Antonio, paru en 1971. La traque d'un ancien nazi au menu de Bérurier et du commissaire; un beau plat de résistance, bien différent du poulet, jusqu'alors inédit chez Dard. Les deux compères s'en donnent à coeur joie dans une intrigue honnête déroulée avec la verve habituelle de l'auteur et nombre de références sexuelles, quelques fois à la hauteur, d'autres au raz des pâquerettes. Un bon San-A.