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Un assassinat de qualité
Delphine Rivet (traduit par)
Date de parution : 21/05/2015
Éditeurs :
12-21
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Un assassinat de qualité

Delphine Rivet (traduit par)
Date de parution : 21/05/2015
Lizzie Martin enquête sur le meurtre de la femme d'un marchand d'art dans le Londres brumeux de 1867
Londres, 1867, le mal rôde dans les rues… Un soir d’octobre, alors que l’inspecteur Ben Ross de Scotland Yard rentre chez lui un samedi soir, le fog tourbillonne et l’enveloppe... Londres, 1867, le mal rôde dans les rues… Un soir d’octobre, alors que l’inspecteur Ben Ross de Scotland Yard rentre chez lui un samedi soir, le fog tourbillonne et l’enveloppe comme une bête vivante. Lorsque le brouillard se lève lendemain matin, une femme gît assassiné dans Green Park. Allegra Benedict... Londres, 1867, le mal rôde dans les rues… Un soir d’octobre, alors que l’inspecteur Ben Ross de Scotland Yard rentre chez lui un samedi soir, le fog tourbillonne et l’enveloppe comme une bête vivante. Lorsque le brouillard se lève lendemain matin, une femme gît assassiné dans Green Park. Allegra Benedict était la belle épouse italienne d'un marchand d'art de Piccadilly. Mais qu'avait-elle été faire à Londres cet après-midi, et pourquoi avait-elle été vendre sa broche dans Burlington Arcade quelques heures avant sa mort ? Alors que Ben commence son enquête, son épouse Lizzie – avec l'aide de leur bonne Bessie – se penche sur la vie privée d'Allegra et découvre plus d'une raison pour laquelle quelqu'un pourrait vouloir sa mort…
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EAN : 9782823823561
Code sériel : 4938
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
12-21
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EAN : 9782823823561
Code sériel : 4938
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ulfinliath 31/10/2023
    Le Londres victorien reste une période que j'adore et dans ce troisième opus des enquête de Lizzie Martin nous y sommes. Dans ce troisième tome Lizzie est enfin mariée à Ben Ross son ami d'enfance et inspecteur du Yard. Nous suivons d'avantage Ben dans cette résolution d'enquête mais Lizzie est toujours aussi importante dans l'enquête. Trouver le meurtrier de Mrs Benedict mais aussi le spectre, cet individu qui terrorise les prostituées de Londres. Une enquête pleine de rebondissement jusqu'à la fin l'auteure préserve le nom de l'assassin auquel je n'aurais jamais pensé. Bien joué.
  • ebrush 21/10/2023
    J’ai retrouvé avec grand plaisir Lizzie et Ben Ross pendant une double enquête intrigante , a de nombreux moments j’ai cru devenir qui était le meurtrier mais les rebondissements m’ont tenus en haleine jusqu’à la fin ! J’aime beaucoup la plume d’Ann Granger fluide efficace qui nous plante rapidement dans le décor d’une ancienne version de Londres brumeuse et pleine de secrets
  • polacrit 30/03/2023
    Un Assassinat de qualité, A Better Quality of Murder dans la version originale parue en 2010, traduit par Delphine Rivet, a été publié en 2015 par les éditions 10/18 dans la collection Grands Détectives. Le style d'Ann Granger est fluide, agréable à lire: "Je regardai autour de moi. Des tableaux étaient accrochés avec goût au mur, surtout des huiles mais aussi quelques aquarelles. Celles-ci étaient regroupées et semblaient toutes exécutées par le même artiste. Quand je me retournai, je sursautai en me trouvant nez à nez avec la statue d'un satyre à l'air mauvais, perché sur une colonne, et qui plantait sur moi son regard maléfique." (Page 106). La construction originale du roman: un chassé-croisé entre la version et l'interprétation des faits, ainsi que les agissements d'Elizabeth et celles de l'inspecteur Ben Ross amène la répétition de certaines scènes mais d'un point de vue différent, celui de la jeune femme complétant celui de l'inspecteur, et vice-versa, sans redondance fastidieuse. Procédé  inhabituel qui permet au lecteur de combler certaines lacunes du récit, les deux narrateurs ne participant pas à toutes les scènes. Thèmes: misère du peuple; dégâts de l'alcoolisme. Fil rouge: budget alloué aux policiers pour mener leurs enquêtes. Novembre. Le Fog a pris possession de la capitale anglaise. On n'y voit pas à plus de deux mètres.  Le lendemain, alors que le brouillard s'est levé, le corps d'une femme gît dans les buissons de Green Park. Retrouvé de bonne heure le dimanche matin par l'un des gardiens du parc. Elle a été étranglée. La morte portait toujours son alliance, une bague en diamant et des boucles d'oreille en or et perles. Mais il n'y avait ni sac, ni bourse près du corps. Le vol n'est visiblement pas le mobile. Le crime serait-il imputable au Spectre du fleuve évoqué par les prostituées? Ou serait-ce un crime passionnel? Comment la victime s'est-elle retrouvée dans un lieu aussi bucolique par une soirée aussi épouvantable? Il serait légitime de supposer qu'avec un tel brouillard elle se soit perdue, mais l'inspecteur Ross n'est pas convaincu par cette hypothèse. Certains détails le troublent... Décors soigneusement plantés, juste de quoi permettre au lecteur de se faire une idée précise des endroits dans lesquels se déroule l'intrigue: Lieu du crime: Green Park: "... étendue de verdure située entre l'immense Hyde Park et le très distingué St James's Park. Sans oublier qu'à l'est de ce parc se dresse le palais de Buckingham, avec ses dépendances et ses jardins." (Pages 46-47) =>Lieu du crime très embarrassant car pratiquement aux portes de Sa Majesté, même si le crime a été perpétré à l'est du parc, dans une partie moins soignée. A l'abri d'un vieux chêne, planté à l'époque de Charles II. Propriété des Benedict: Les Cèdres: située tout en haut d'une colline, avant le village d'Englefield Green, à laquelle on accède par une montée très raide. C'est avec un bonheur sans mélange que nous retrouvons le couple Lizzie/ Ben Ross, comme lorsqu'on prend un verre avec de vieux amis que l'on n'a pas vus depuis un certain temps. Un Assassinat de Qualité allie le sens de la description et de la mise en scène à l'art du portrait, l'histoire se déroulant à un rythme lent, ponctué de rebondissements dont la tension dramatique soulève le lecteur et l'entraîne aux confins de cette intrigue savamment échafaudée. Ann Granger a réussi le pari de créer, dans un style moderne très plaisant, un roman à l'ambiance victorienne, digne des récits de Wilkie Collins.Un Assassinat de qualité, A Better Quality of Murder dans la version originale parue en 2010, traduit par Delphine Rivet, a été publié en 2015 par les éditions 10/18 dans la collection Grands Détectives. Le style d'Ann Granger est fluide, agréable à lire: "Je regardai autour de moi. Des tableaux étaient accrochés avec goût au mur, surtout des huiles mais aussi quelques aquarelles. Celles-ci étaient regroupées et semblaient toutes exécutées par le même artiste. Quand je me retournai, je sursautai en me trouvant nez à nez avec la statue d'un satyre à l'air mauvais, perché sur une colonne, et qui plantait sur moi son regard maléfique." (Page 106). La construction originale du roman: un chassé-croisé entre la version et l'interprétation des faits, ainsi que les agissements d'Elizabeth et celles de l'inspecteur Ben Ross amène la répétition de certaines scènes mais d'un point de vue différent, celui de la jeune femme complétant celui de l'inspecteur, et vice-versa, sans redondance fastidieuse. Procédé  inhabituel qui permet au lecteur de combler certaines lacunes du récit, les deux narrateurs ne participant pas à toutes les scènes. Thèmes: misère du peuple; dégâts de l'alcoolisme. Fil rouge: budget alloué aux policiers pour mener leurs enquêtes. Novembre. Le Fog a pris possession...
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  • Maxime4369 15/12/2022
    Ce troisième opus a les mêmes qualités et défauts que ses deux prédécesseurs. Le cadre historique est très bien rendu. Ann Granger met toujours en avant un aspect de la vie quotidienne britannique à l'époque victorienne. Ici, c'est le fameux smog qui donne à ce roman son ambiance particulière. Encore une fois, la faiblesse réside dans l'enquête policière. Celle-ci est basée sur des hasards quelque peu crédibles... et la conclusion est très prévisible.
  • Babette28 20/10/2022
    Toujours un plaisir de retrouver les personnages de Lizzie et Benjamin, maintenant mariés et de se replonger dans cette atmosphère victorienne et dans les brumes londoniennes. Dommage que Lizzie soit un peu moins présente dans ce tome, car j'aime beaucoup la perspicacité et la sagesse de ce personnage. Néanmoins, beaucoup de surprises et une fin un peu déconcertante.
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