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Un éléphant, ça trompe
Date de parution : 28/10/2010
Éditeurs :
12-21

Un éléphant, ça trompe

Date de parution : 28/10/2010

Rappelez-vous bien ce que je vais vous dire, les gars : si Béru ne m'avait pas demandé d'assister à la distribution des prix de Marie-Marie, votre descendance allait se trouver...

Rappelez-vous bien ce que je vais vous dire, les gars : si Béru ne m'avait pas demandé d'assister à la distribution des prix de Marie-Marie, votre descendance allait se trouver compromise. Car une bande d'olibrius britanniques s'occupait déjà sérieusement de vos hormones, mes chéries ! Heureusement que le Gros est...

Rappelez-vous bien ce que je vais vous dire, les gars : si Béru ne m'avait pas demandé d'assister à la distribution des prix de Marie-Marie, votre descendance allait se trouver compromise. Car une bande d'olibrius britanniques s'occupait déjà sérieusement de vos hormones, mes chéries ! Heureusement que le Gros est à la hauteur des situations les plus périlleuses comme les plus scabreuses ! Seulement, le problème, avec lui, c'est qu'il croit parler anglais. Enfin, grâce à des gestes éloquents, il s'en tire tout de même. Surtout avec les Anglaises !

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EAN : 9782265089969
Code sériel : 70
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782265089969
Code sériel : 70
Façonnage normé : EPUB2
Format : 108 x 177 mm
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lecassin 13/01/2022
    Avec « Viva Bertaga », on avait assisté à l’entrée en scène de Marie-Marie, la nièce adoptive du couple Bérurier. Avec « Un éléphant, ça trompe », l’environnement d’icelle se précise avec l’apparition de son subrogé-tuteur (ou surgelé tuteur, si on suit Béru), Evariste Plantin, lors de la remise des prix de miss tresses. Evariste qui n’est autre que le maire d’Embourbe-le-Petit, un village dont la particularité est de n’avoir enregistré aucune naissance dans l’année. On jase aux alentours. De là à penser que les habitants d’Embourbe-le-Petit sont impuissants… Mieux, le village est jumelé à Swell-the-Children, dans la banlieue de Londres où l’on observe le même phénomène : le ventre des swell-the-childrenaises reste désespérément plat. Ajoutez à ça qu’on retrouve deux cadavres à Embourbe-le-Petit alors que la fête d’inauguration du jumelage avec Swell-the-Children bat son plein. Vous, vous le connaissez, il n’en faut pas plus pour que notre commissaire national s’annonce chez les rosbifs, accompagné de Béru, dont on se souvient qu’il parle couramment anglais, et de Marie Marie. Après l’excellent « Viva Bertaga » qui entre dans le top 10 de mes favoris, je dois bien reconnaître que ce épisode est bien moyen. Où est la folie de certains précédents opus ? Où est Pinuche ? Certes, Marie-Marie apporte, comme dans le précédent épisode, une touche de fraîcheur à la Zazie, mais c’est bien peu. Nous n’avons pas Béru ici, juste Alexandre-Benoit, policé, aseptisé (presque) … Il sauvera néanmoins San A. d’une situation aussi périlleuse que désespérée, en fin de bouquin, malgré une présence limitée dans l’intrigue. Tiens, l’intrigue… Parlons-en de l’intrigue : on se croirait revenus quinze ans en arrière, dans la période chasse aux nazis. Il est loin le temps où on lisait en préambule de « En peignant la girafe » (1963) , cet avertissement au lecteur : « Coup de semonce aux lecteurs : j'aime mieux vous prévenir tout de suite. Les choses étant ce qu'elles sont, et l'époque que vous savez, j'ai décidé de réagir en écrivant des bouquins de plus en plus délirants et riches en calembredaines. […] J'irai jusqu'au délire. Et si vous n'avez pas assez de fantaisie pour m'accompagner dans ce voyage farfelu, eh bien ! allez donc vous faire cuire un œuf ! Ou deux si votre foie est aussi résistant que votre bêtise. » Un peu déçu, on l’aura compris… Vivement le prochain dans l’ordre de la série : « Faut-il vous l'envelopper ? » Avec « Viva Bertaga », on avait assisté à l’entrée en scène de Marie-Marie, la nièce adoptive du couple Bérurier. Avec « Un éléphant, ça trompe », l’environnement d’icelle se précise avec l’apparition de son subrogé-tuteur (ou surgelé tuteur, si on suit Béru), Evariste Plantin, lors de la remise des prix de miss tresses. Evariste qui n’est autre que le maire d’Embourbe-le-Petit, un village dont la particularité est de n’avoir enregistré aucune naissance dans l’année. On jase aux alentours. De là à penser que les habitants d’Embourbe-le-Petit sont impuissants… Mieux, le village est jumelé à Swell-the-Children, dans la banlieue de Londres où l’on observe le même phénomène : le ventre des swell-the-childrenaises reste désespérément plat. Ajoutez à ça qu’on retrouve deux cadavres à Embourbe-le-Petit alors que la fête d’inauguration du jumelage avec Swell-the-Children bat son plein. Vous, vous le connaissez, il n’en faut pas plus pour que notre commissaire national s’annonce chez les rosbifs, accompagné de Béru, dont on se souvient qu’il parle couramment anglais, et de Marie Marie. Après l’excellent « Viva Bertaga » qui entre dans le top 10 de mes favoris, je dois bien reconnaître que ce épisode est bien moyen. Où est la folie de...
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  • BVIALLET 31/12/2021
    Prêt à partir en vacances d’été, San Antonio tombe par hasard sur son adjoint Bérurier installé à la terrasse d’un café en compagnie de son cousin Evariste Plantin. Béru envisage un petit séjour à Embourbe le Petit, village dont Evariste est le maire. Mais pas question de s’installer chez son cousin vu qu’il doit héberger une délégation de Britanniques venus pour un jumelage. Alors Béru trouve un prétexte imparable pour s’imposer quand même : il prétend causer couramment le british. Quelque temps plus tard, à la cérémonie d’accueil, alors que le Gros pérore dans un anglais plus qu’approximatif, tombent deux nouvelles surprenantes : Kiki la vinasse, la clocharde du village vient d’accoucher de jumeaux dans le hangar de la pompe à incendie, performance devenue rarissime dans le coin, et Moïse Assombersaut, directeur du service des eaux de la région, a été retrouvé assassiné d’une balle de révolver dans son petit pavillon de pierres meulières… « Un éléphant ça trompe » est un des innombrables romans policiers picaresques, parodiques et décalés dont nous gratifia pendant des années le très regretté Frédéric Dard, alias San Antonio. Même à un demi-siècle de distance, c’est toujours un plaisir de lire ou de relire une des aventures du célèbre commissaire et de son peu reluisant adjoint. L’intrigue, basée sur un complot de néo-nazis tentant de stériliser la population en empoisonnant l’eau de la ville, est bien menée et toujours d’actualité. Mais le plus intéressant reste quand même le style de l’auteur, cette langue verte, pleine de tournures argotiques ou inventées, de jeux de mots, de trouvailles et d’humour goguenard. Le vrai esprit français fait d’ironie, d’intelligence, de dérision et de légèreté. On s’amuse beaucoup à lire cet ouvrage, comme tous les autres San Antonio d’ailleurs. Un excellent dérivatif, sans prétention, pétillant et amusant à souhait. À consommer sans modération, pour se détendre entre deux ouvrages sérieux ou pour oublier la noirceur ambiante…Prêt à partir en vacances d’été, San Antonio tombe par hasard sur son adjoint Bérurier installé à la terrasse d’un café en compagnie de son cousin Evariste Plantin. Béru envisage un petit séjour à Embourbe le Petit, village dont Evariste est le maire. Mais pas question de s’installer chez son cousin vu qu’il doit héberger une délégation de Britanniques venus pour un jumelage. Alors Béru trouve un prétexte imparable pour s’imposer quand même : il prétend causer couramment le british. Quelque temps plus tard, à la cérémonie d’accueil, alors que le Gros pérore dans un anglais plus qu’approximatif, tombent deux nouvelles surprenantes : Kiki la vinasse, la clocharde du village vient d’accoucher de jumeaux dans le hangar de la pompe à incendie, performance devenue rarissime dans le coin, et Moïse Assombersaut, directeur du service des eaux de la région, a été retrouvé assassiné d’une balle de révolver dans son petit pavillon de pierres meulières… « Un éléphant ça trompe » est un des innombrables romans policiers picaresques, parodiques et décalés dont nous gratifia pendant des années le très regretté Frédéric Dard, alias San Antonio. Même à un demi-siècle de distance, c’est toujours un plaisir de lire ou de relire une des aventures du célèbre commissaire...
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  • NicolasGK 23/11/2021
    J'ai lu beaucoup de San Antonio à une époque mais celui -ci m'a fait pisser de rire dans les transport en commun. Je ne sais pas si il a été traduit en anglais mais son traducteur a du en chier. Il faut le lire pour comprendre ce que je veux dire "en chier" avec Béru qui prétend parler la langue de Shakespeare.
  • Beathi 20/04/2015
    70ème roman de San-Antonio publié le 31/10/1968. L'histoire se déroule à Embourbe-le-Petit, Swell-the-Children et Londres en juillet et août 1968. Histoire : Bérurier souhaite passer quelques jours de congés chez le cousin de Berthe, Evariste Plantin, subrogé-tuteur de Marie-Marie. Mais ce dernier est très réticent d'accueillir cet encombrant cousin. Mais Bérurier a plus d'un tour dans son sac. Il profite qu'Evariste soit maire de sa commune et doit recevoir le village anglais, Swell-the-Children, dans le cadre du jumelage pour s'improviser interprète. Mais un mystère pèse sur ce village : il n'y a plus de naissance depuis un an ...Un mystère qui emmènera San-Antonio, Bérurier et Marie-Marie en Grande-Bretagne. Un roman qui fait suite à "Viva Bertaga !" avec San-Antonio, Béru et Marie-Marie. On retrouve la même complicité entre le trio mais cette fois sans Pinaud. De plus, une intrigue intéressante dont on ne s'attend pas du tout à cette fin. Un très bon divertissement !
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