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À l'ombre de l'arbre kauri
Jean-Marie Argeles (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 06/06/2018
Éditeurs :
Archipoche

À l'ombre de l'arbre kauri

Jean-Marie Argeles (traduit par)
Collection : Romans Archipoche
Date de parution : 06/06/2018
Le deuxième volet de la nouvelle saga de l'auteure du Pays du nuage blanc.
« L’auteure déroule son intrigue avec le talent qui a fait le succès de sa trilogie
Le Pays du nuage blanc. » Historia
Nouvelle-Zélande, 1875. Lizzie et Michael espèrent un jour posséder leur propre domaine. Mais ce rêve est soudain assombri par la disparition de leur fille adoptive, kidnappée par un chef maori.

Pendant...
Nouvelle-Zélande, 1875. Lizzie et Michael espèrent un jour posséder leur propre domaine. Mais ce rêve est soudain assombri par la disparition de leur fille adoptive, kidnappée par un chef maori.

Pendant que Michael se démène pour retrouver sa fille, Kathleen – son ancienne fiancée – reçoit une bonne nouvelle : son...
Nouvelle-Zélande, 1875. Lizzie et Michael espèrent un jour posséder leur propre domaine. Mais ce rêve est soudain assombri par la disparition de leur fille adoptive, kidnappée par un chef maori.

Pendant que Michael se démène pour retrouver sa fille, Kathleen – son ancienne fiancée – reçoit une bonne nouvelle : son fils Colin rentre au pays. Or, nul ne mesure les conséquences de ce retour pour les deux familles...

Prenant pour toile de fond les paysages grandioses de Nouvelle-Zélande, Sarah Lark fait la part belle à ses héroïnes, et au combat qu’elles mènent pour conquérir liberté et indépendance.
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EAN : 9782377351565
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 734
Format : 111 x 179 mm
EAN : 9782377351565
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 734
Format : 111 x 179 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MaggyM 09/02/2022
    Dans ce deuxième tome nous faisons un bond dans le temps (un petit bond) et les personnages principaux du premier opus passent au second plan. D'un côté, sous suivons Matariki, la fille que Lizzie a eue avec un chef Maori et que Michaël a adoptée. La jeune fille se fait kidnapper par la tribu de son père naturel; celui-ci souhaitant la mettre sur le chemin de sa succession. D'un autre côté, c'est avec la famille Pesley que nous faisons connaissance au Pays de Galle où Kathleen et Peter se sont rendus pour régler une histoire d'héritage. Touchés par le destin de Violette et Rosie, les deux filles maltraitées par leur père alcoolique, ils reprendront le ferry en leur compagnie. C'est donc aux côtés de cette jeune génération que nous cheminerons à travers ce pavé de 800 pages. Toujours très bien documentée, Sarah Lark nous fera vivre de l'intérieur les conflits entre Maori et anglais, jusqu'à l'accession au droit de vote accordé aux habitants ancestraux de l'île. De même, nous pénétrerons dans l'univers équestre et des paris truqués. Enfin, c'est tout le combat des femmes pour obtenir le droit de vote que nous suivrons avec intérêt. Car ce tome est résolument féministe. En effet, si nous avions déjà deux femmes fortes avec Lizzie et Kathleen, ce n'était rien comparé aux femmes qui tiennent ce récit. Outre Violette et Matariki, nous aurons aussi le plaisir d'accompagner Esther, la fille de Kathleen, dans un périple à travers l'Europe des artistes en cette fin de 19e siècle. A cette occasion, l'autrice introduit la thématique de l'homosexualité entre femmes dans cette époque pudibonde. Les hommes ne sont pas en reste, mais font plutôt figure de personnages secondaires quand même. Ce sont essentiellement les deux fils de Lizzie, Sean et Colin que nous retrouverons. Si le premier est devenu un avocat au service de la cause féminine et engagé en politique libérale, le second a suivi les traces de son père maquignon. Donc un roman très réussi, une peinture de l'histoire néo-zélandaise, et donc maorie, très travaillée et qui s'intègre parfaitement à l'intrigue, des personnages décidément bien construits... Sarah Lark est une vraie conteuse et sa plume nous permet de voyager à travers le temps et l'espace en quelques phrases. C'est avec gourmandise que j'attends de lire le troisième et dernier volet de la trilogie.Dans ce deuxième tome nous faisons un bond dans le temps (un petit bond) et les personnages principaux du premier opus passent au second plan. D'un côté, sous suivons Matariki, la fille que Lizzie a eue avec un chef Maori et que Michaël a adoptée. La jeune fille se fait kidnapper par la tribu de son père naturel; celui-ci souhaitant la mettre sur le chemin de sa succession. D'un autre côté, c'est avec la famille Pesley que nous faisons connaissance au Pays de Galle où Kathleen et Peter se sont rendus pour régler une histoire d'héritage. Touchés par le destin de Violette et Rosie, les deux filles maltraitées par leur père alcoolique, ils reprendront le ferry en leur compagnie. C'est donc aux côtés de cette jeune génération que nous cheminerons à travers ce pavé de 800 pages. Toujours très bien documentée, Sarah Lark nous fera vivre de l'intérieur les conflits entre Maori et anglais, jusqu'à l'accession au droit de vote accordé aux habitants ancestraux de l'île. De même, nous pénétrerons dans l'univers équestre et des paris truqués. Enfin, c'est tout le combat des femmes pour obtenir le droit de vote que nous suivrons avec intérêt. Car ce tome est résolument féministe....
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  • EnjeeMetivier 06/02/2021
    Ici, Sarah Lark nous offre un livre beaucoup plus politique que ce à quoi elle nous a habitué ! Les héroïnes sont ici Matakiri la fille de Lizzie et du chef Maori Kaou, et Violette une jeune galloise que Kathleen et le révérend, lors d'un voyage au pays de Galles prenne sous leur aile. Les 2 jeunes filles ont un point commun : elles veulent et doivent se libérer du joug des hommes, d'abord l'emprise paternel, puis celle d'un amant. Et pour cela elles choisissent de s'engager pour le droit de votes des femmes, nous suivons donc ces 2 suffragettes dans leur combat. Pour Matariki nous suivons aussi le combat de son peuple, les Maoris, pour leurs droits Humains et leurs terres, volés par les Pakehas. C'est un tome historiquement très intéressant, il est de notoriété publiques que la Nouvelle Zélande a toujours était un pays au développement rapide et précurseur mais on connait peu les détails de son évolution. De même pour l'histoire des Maoris un peuple dont personnellement j'ignorais tout. Attention ce tome est sans doute l'un des plus violent de Sarah Lark j'ai trouvé.
  • charlottelit 19/09/2020
    toujours le même style et le même talent malgré quelques longueurs 650 pages à raccourcir
  • RLSblog 27/04/2020
    A l’ombre de l’arbre kauri est la preuve qu’il faut parfois lire le tome 2 même quand on a moyennement apprécié le tome 1 (Les Rives de la terre lointaine). J’espérais que l’histoire des enfants de Michael, Lizzie et Kathleen serait plus passionnante et plus heureuse que celles de leurs parents et je n’ai pas été déçue ! Dans ce tome, on découvre les aventures de Matariki, fille de Lizzie et fille adoptive de Michael, et de Violette Paisley, une fille de mineur anglais fraîchement débarquée en Nouvelle-Zélande. Le destin de Matariki nous permet de suivre une aventure qui mêle Pakeha (comprendre les hommes blancs) et Maoris : elle est la figure, qu’il y a toujours dans les livres de Sarah Lark, qui sert de pont entre ces deux cultures. L’histoire de Violette, quant à elle, aborde les thèmes de la pauvreté, de la misère sociale et de la débrouillardise. Ce roman est réellement une bonne surprise. En plus de suivre des destins passionnants dans les paysages verdoyants de la Nouvelle-Zélande, on découvre des combats que Sarah Lark n’avait pas abordés avant. Quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai découvert que les héroïnes s’engagaient dans la lutte pour le droit de vote des femmes ! C’est un thème que j’ai beaucoup recherché dans des livres mais j’ai toujours été déçue de l’angle d’approche que les auteurs prenaient. Ici, le sujet est traité avec brio, à travers des caractères attachants. Parmi ces personnages, on retrouve Sean, le fils de Kathleen et de Michael. Je regrette qu’il n’arrive qu’au milieu du livre car j’espérais le revoir bien avant, mais je comprends que Sarah Lark ne l’ait pas fait revenir plus tôt. Son implication dans la deuxième partie du roman est juste parfaite. Autre thème abordé par l’autrice : l’homosexualité féminine. Alors qu’elle avait déjà traité de l’homosexualité masculine dans Le Pays du Nuage Blanc, dans A l’ombre de l’arbre kauri on suit un personnage (je ne dirai pas qui pour garder le suspense) qui s’épanouit lorsqu’elle comprend que les stéréotypes sexuels sont sociaux et qu’elle a le droit d’aimer qui elle veut. Si je devais décrire ce roman en un mot, je dirais qu’il est féministe : homosexualité féminine, droit de vote des femmes, émancipation de la femme et soutien de certains personnages masculins à la cause féministe. Parmi tous les romans de Sarah Lark qu’il m’a été donné de lire, c’est certainement celui que j’ai préféré car les combats menés par les personnages sont puissants et sincères. Plus de chroniques littéraires sur :A l’ombre de l’arbre kauri est la preuve qu’il faut parfois lire le tome 2 même quand on a moyennement apprécié le tome 1 (Les Rives de la terre lointaine). J’espérais que l’histoire des enfants de Michael, Lizzie et Kathleen serait plus passionnante et plus heureuse que celles de leurs parents et je n’ai pas été déçue ! Dans ce tome, on découvre les aventures de Matariki, fille de Lizzie et fille adoptive de Michael, et de Violette Paisley, une fille de mineur anglais fraîchement débarquée en Nouvelle-Zélande. Le destin de Matariki nous permet de suivre une aventure qui mêle Pakeha (comprendre les hommes blancs) et Maoris : elle est la figure, qu’il y a toujours dans les livres de Sarah Lark, qui sert de pont entre ces deux cultures. L’histoire de Violette, quant à elle, aborde les thèmes de la pauvreté, de la misère sociale et de la débrouillardise. Ce roman est réellement une bonne surprise. En plus de suivre des destins passionnants dans les paysages verdoyants de la Nouvelle-Zélande, on découvre des combats que Sarah Lark n’avait pas abordés avant. Quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai découvert que les héroïnes s’engagaient dans la lutte pour le droit...
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  • LesLecturesdEole 27/03/2020
    J’avais adoré Les rives de la terre lointaine, qui racontait l’arrivée de Kathleen, Lizzie et Michael en Nouvelle-Zélande, j’ai un peu moins aimé suivre leurs enfants. Dans ce deuxième volume, Colin, le fils voleur et mauvais de Kathleen revient en Nouvelle-Zélande, tandis que Matariki, la fille de Lizzie et Michael redécouvre ses racines maories. A ces personnages s’ajoutent Heather, la fille de Kathleen, qui prend sous son aile Violette, une enfant irlandaise immigrée avec son père alcoolique. On suit donc quatre personnages principaux avec leurs joies et leurs malheurs, qui se croisent et se recroisent, comme toujours dans les romans de Sarah Lark. Si j’ai un peu moins apprécié ce deuxième tome c’est parce que je lui ai trouvé moins d’aventures et de rebondissements que dans le premier, je m’attendais à beaucoup des événements qui se sont produits et je n’ai donc pas eu l’effet de surprise. En revanche, il faut souligner l’importance du contexte historique ici, peut-être encore plus que dans Les rives de la terre lointaine car on assiste à la colonisation complète de la Nouvelle-Zélande, aux conflits avec les maoris et aux croyances indigènes. Cette partie du roman était proprement passionnante, on sent que l’autrice s’est documentée et on a peine à déceler le réel de la fiction. De plus, il faut aussi souligner la présence d’un personnage homosexuel et c’est vraiment bien de montrer que l’homosexualité a toujours existé et n’est pas propre à notre société moderne. Les personnages sont comme d’habitude si bien décrits dans leur caractère et leur histoire qu’il est difficile de ne pas s’y attacher (hormis Colin qui est un pourri du début à la fin). Mon petit coup de coeur va à Violette qui essaie de s’en sortir malgré les difficultés de sa vie, et à Heather qui nous montre la vivacité de la vie artistique à l’époque, notamment en Europe. J’ai eu un peu plus de difficultés avec Matariki car son indécision me tapait sur le système, mais en même temps comment ne pas la comprendre ? Mi Pakeha, mi maorie, elle doit trouver sa place et découvrir qui elle est réellement. Sarah Lark a encore une fois réussi à m’embarquer en Nouvelle-Zélande, à mettre en avant des femmes fortes et à me captiver sur près de 800 pages. Il me tarde de lire le dernier tome de cette trilogie, avec la belle édition collector qui sortira surement en décembre !J’avais adoré Les rives de la terre lointaine, qui racontait l’arrivée de Kathleen, Lizzie et Michael en Nouvelle-Zélande, j’ai un peu moins aimé suivre leurs enfants. Dans ce deuxième volume, Colin, le fils voleur et mauvais de Kathleen revient en Nouvelle-Zélande, tandis que Matariki, la fille de Lizzie et Michael redécouvre ses racines maories. A ces personnages s’ajoutent Heather, la fille de Kathleen, qui prend sous son aile Violette, une enfant irlandaise immigrée avec son père alcoolique. On suit donc quatre personnages principaux avec leurs joies et leurs malheurs, qui se croisent et se recroisent, comme toujours dans les romans de Sarah Lark. Si j’ai un peu moins apprécié ce deuxième tome c’est parce que je lui ai trouvé moins d’aventures et de rebondissements que dans le premier, je m’attendais à beaucoup des événements qui se sont produits et je n’ai donc pas eu l’effet de surprise. En revanche, il faut souligner l’importance du contexte historique ici, peut-être encore plus que dans Les rives de la terre lointaine car on assiste à la colonisation complète de la Nouvelle-Zélande, aux conflits avec les maoris et aux croyances indigènes. Cette partie du roman était proprement passionnante, on sent que l’autrice s’est documentée et on...
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