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Aphorismes sous la lune
Et autres pensées sauvages
Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 07/11/2013
Éditeurs :
Pocket

Aphorismes sous la lune

Et autres pensées sauvages

Collection : Aventure Humaine
Date de parution : 07/11/2013

« En vieillissant, la forêt sent le sapin. »
« Y a-t-il des mers enchaînées ? »
« Le dieu Odin redressa bien des Thor. »

Chaque soir, en voyage, devant un paysage...

« En vieillissant, la forêt sent le sapin. »
« Y a-t-il des mers enchaînées ? »
« Le dieu Odin redressa bien des Thor. »

Chaque soir, en voyage, devant un paysage ou après une rencontre, Sylvain Tesson piège sa pensée et l’épingle dans son carnet. Quelques mots forment un aphorisme et...

« En vieillissant, la forêt sent le sapin. »
« Y a-t-il des mers enchaînées ? »
« Le dieu Odin redressa bien des Thor. »

Chaque soir, en voyage, devant un paysage ou après une rencontre, Sylvain Tesson piège sa pensée et l’épingle dans son carnet. Quelques mots forment un aphorisme et suffisent à décrire les fleurs d’un alpage, l’odeur de l’aube dans les sous-bois, le plaisir de la marche, la mélancolie des crépuscules. L’amoureux d’aphorismes est un peintre sans pinceau, un photographe sans appareil. Il saisit l’instant en entomologiste. L’aphorisme, lui, est comme le papillon : il éclôt de la pensée et s’envole, léger.

Édition revue et enrichie de plus de 200 aphorismes de l'auteur

Avant-propos inédit de l’auteur

Peintures originales de Michel Pinosa

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EAN : 9782266233835
Code sériel : 15361
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 176
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266233835
Code sériel : 15361
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 176
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Ce qui s'appelle avoir le sens de la formule... » L'Express

« L'auteur cueille images et sentiments au détour des chemins. Ses mots, parfois légers, parfois vertigineux, invitent à divaguer. » Ouest France

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • alexandra1967 06/10/2022
    (octobre 2008) Son carnet et son stylo ne quittent pas Sylvain Tesson. Il parle comme il écrit. Il oeuvre tel un souffleur de verre, la matière aussi dure qu'elle se brise, fragile. Les mots s'entrechoquent, risquant à chaque instant de rompre par l'effet d'une telle densité, mais cela n'arrive justement pas. A nous de nous accrocher !
  • Rhapsodie 06/02/2022
    Gros coup de coeur pour cet ouvrage artistique, poétique, mélancolie de l'âme d'un poète voyageur. Quelle drôle de recueil que celui-ci, sous forme d'aphorismes : courtes pensées souvent métaphoriques et poétiques, très brèves. L'auteur y livre toute sorte d'idées, de notes de passage, pleine d'humour, de jeux de mots, captures instantanées de ces pensées lors de ses voyages. Le livre m'avait clairement attiré : de par sa couverture, de par son titre, puis ce qu'en disait la 4e de couverture. Je n'avais pas prévu de le lire aussitôt, mais j'ai craqué, il m'attirait comme une pleine lune. J'ai trouvé un écho familier avec mes propres pensées souvent métaphoriques, poétiques, un peu chaotiques dans leur formulation. J'ai souri devant certaines tournures. J'ai beaucoup apprécié l'éphémère de ces phrases qui semblent volatiles, intouchables, pleines de légèreté et sans la prétention du poids des mots. Sylvain Tesson est comme un patineur qui swingue sur le jazz des mots. J'ai voyagé, avec ces images instantanées, brèves et courtes comme ces aphorismes, mais qui laissent une empreinte et donnent une âme à cet ouvrage. On y voit de la neige, une nuit de pleine lune, des arbres et des forêts, les monts de montagnes et... Gros coup de coeur pour cet ouvrage artistique, poétique, mélancolie de l'âme d'un poète voyageur. Quelle drôle de recueil que celui-ci, sous forme d'aphorismes : courtes pensées souvent métaphoriques et poétiques, très brèves. L'auteur y livre toute sorte d'idées, de notes de passage, pleine d'humour, de jeux de mots, captures instantanées de ces pensées lors de ses voyages. Le livre m'avait clairement attiré : de par sa couverture, de par son titre, puis ce qu'en disait la 4e de couverture. Je n'avais pas prévu de le lire aussitôt, mais j'ai craqué, il m'attirait comme une pleine lune. J'ai trouvé un écho familier avec mes propres pensées souvent métaphoriques, poétiques, un peu chaotiques dans leur formulation. J'ai souri devant certaines tournures. J'ai beaucoup apprécié l'éphémère de ces phrases qui semblent volatiles, intouchables, pleines de légèreté et sans la prétention du poids des mots. Sylvain Tesson est comme un patineur qui swingue sur le jazz des mots. J'ai voyagé, avec ces images instantanées, brèves et courtes comme ces aphorismes, mais qui laissent une empreinte et donnent une âme à cet ouvrage. On y voit de la neige, une nuit de pleine lune, des arbres et des forêts, les monts de montagnes et des nuées d'oiseaux... De très belles images aussi issues des peintures de Michel Pinosa, qui rendent le livre plus précieux, plus sensible. Quelle originalité, quel voyage... Un coup de coeur.
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  • alberthenri 28/01/2022
    Depuis quelques temps déjà, j'avais envie de découvrir la plume de Sylvain Tesson. En guise d'entrée en matière, j'ai opté pour ce recueil d'aphorismes, histoire de me faire une petite idée de l'esprit du bonhomme. La plupart de ses aphorismes -et autres pensées sauvages- font mouche ; tour à tour drôles, pertinents, poétiques. Quelques-uns, très peu à vrai dire, tombent à plat, ou sont un peu faciles , comme cette histoire de caméléon sur un kilt, blague que je racontais déjà au collège ! Mais l'ensemble est solide, sent le bon sens et un esprit ouvert, aux jugements sûrs et précis. Vais-je vouloir poursuivre ma découverte de l'œuvre de Sylvain Tesson ? Pour l'instant je n'en suis pas très sûr ; ce condensé de pensée ne se suffit-il pas à lui-même, ne dispense t-il pas de la lecture des textes plus longs de cet auteur (je crois que j'ai compris les grandes lignes de sa pensée.) A voir...
  • raime 22/12/2021
    Un carnet à la main et Sylvain Tesson recueille ses pensées le long de sa routE. J'ai regardé la définition d'un aphorisme sur le dictionnaire : pas explicite. Mais page 71 : "L'aphorisme permet de gagner du temps en économisant de l'espace". Tout devint plus clair ! Avec de l'humour ("La couronne mortuaire est un bouquet final"), de la poésie, un bon moment de détente.
  • BRUMANT 13/11/2021
    ne cultivent l’aphorisme que ceux qui ont connu la peur au milieu des mots (Cioran) . En vieillissant la forêt sent le sapin. Chaque soir, en voyage, Odin redressa bien des Thor. La fabrique de l’aphorisme. Comment écrire la folie du monde. Le spectacle du marché aux bestiaux d’oulan c’est le 10eme livre que je lis de Sylvain Tesson. L’aphoriste flâne en entomologiste. Le voyageur vaque en chemin avec son filet. Cette fiente de l’esprit qui vole ( Hugo) et des œufs mollets sur un lit de cresson (Zola). Il faut de la légèreté. Le livre-brouillard. Miroir de l’âme. que tout homme qui possède deux pantalons en vende un et achète mon livre. La mer : un cœur qui bat entre 2 côtes. L’aiguille de granit recoud le manteau des neiges au fil de l’arête. Rhabillez-vous ordonne le printemps aux arbres. La houle mord la terre : elle lui pardonne pas de briser sa course.Une ancolie chiffonnée qu’un myosotis l’ait oubliée .y a t’il des mers ? on fait couler tant d’encre sur Venise qu’elle se noie. Venise digère la foule par l’intestin de ses ruelles et la recrache par ses foules. Crachin : avarice des nuages britanniques. Nuage :pâtisserie... ne cultivent l’aphorisme que ceux qui ont connu la peur au milieu des mots (Cioran) . En vieillissant la forêt sent le sapin. Chaque soir, en voyage, Odin redressa bien des Thor. La fabrique de l’aphorisme. Comment écrire la folie du monde. Le spectacle du marché aux bestiaux d’oulan c’est le 10eme livre que je lis de Sylvain Tesson. L’aphoriste flâne en entomologiste. Le voyageur vaque en chemin avec son filet. Cette fiente de l’esprit qui vole ( Hugo) et des œufs mollets sur un lit de cresson (Zola). Il faut de la légèreté. Le livre-brouillard. Miroir de l’âme. que tout homme qui possède deux pantalons en vende un et achète mon livre. La mer : un cœur qui bat entre 2 côtes. L’aiguille de granit recoud le manteau des neiges au fil de l’arête. Rhabillez-vous ordonne le printemps aux arbres. La houle mord la terre : elle lui pardonne pas de briser sa course.Une ancolie chiffonnée qu’un myosotis l’ait oubliée .y a t’il des mers ? on fait couler tant d’encre sur Venise qu’elle se noie. Venise digère la foule par l’intestin de ses ruelles et la recrache par ses foules. Crachin : avarice des nuages britanniques. Nuage :pâtisserie du ciel entre fondant et moelleux.Regarder un singe en cage c’est mettre des barreaux à un miroir. Sur l’étal : les poissons son les tripes de l’océan qu’on vide. Vin : le fruit est dans le verre. J’ai observé un bousier Sisyphe est un jean-foutre. Une uitrevavec une coquille. Cioran
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