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Chant II de la Mallorée
Dominique Haas (traduit par)
Date de parution : 19/10/2006
Éditeurs :
Pocket

Chant II de la Mallorée

Dominique Haas (traduit par)
Date de parution : 19/10/2006

Les Gardiens du Ponant poursuivent leur quête de pays en pays pour retrouver le petit enfant de Garion, enlevé par la mystérieuse Zandramas.
Elle l'a emmené à l'Endroit-qui-n'est-plus pour l'égorger devant...

Les Gardiens du Ponant poursuivent leur quête de pays en pays pour retrouver le petit enfant de Garion, enlevé par la mystérieuse Zandramas.
Elle l'a emmené à l'Endroit-qui-n'est-plus pour l'égorger devant la pierre maléfique ; le Dieu Noir renaîtra alors. Et le Père des dieux sait que tous ses efforts, depuis...

Les Gardiens du Ponant poursuivent leur quête de pays en pays pour retrouver le petit enfant de Garion, enlevé par la mystérieuse Zandramas.
Elle l'a emmené à l'Endroit-qui-n'est-plus pour l'égorger devant la pierre maléfique ; le Dieu Noir renaîtra alors. Et le Père des dieux sait que tous ses efforts, depuis l'origine des âges, seront anéantis.
Le sort de l'univers va se décider pour des millénaires, mais où ? Le ravisseur a plusieurs mois d'avance sur Garion et ses compagnons, et la piste refroidit...

 

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EAN : 9782266170130
Code sériel : 5481
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266170130
Code sériel : 5481
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 448
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Aouan 04/03/2021
    On se dit que c’est toujours pareil, une poursuite désespérée après un ennemi insaisissable, et puis on est happé par les péripéties, les personnages nous font rire car tous ont des bons et des mauvais côtés, des forces et des faiblesses, qui les rend attachants. Dommage que le machisme soit aussi présent malgré où à cause de la contribution de la femme de l’auteur, les clichés sur le genre sont vraiment datés et finissent par irriter. Pour le reste que du bonheur.
  • lehibook 24/11/2019
    Donc ,le manège recommence à tourner , le groupe des quêteurs s’étoffe de nouveaux membres (ennuque empoisonneur, espionne à fossettes , costaud mutique …) et parcourt à nouveau le monde ;tout semble se répéter au point que les personnages eux-mêmes s’en aperçoivent : Eddings a génialement intégré la répétition des péripéties à sa narration . A noter un Murgo sympa (Urgit) mais aussi un peu de lenteur , des tics un peu lourdingues ( l’obsession halieutique de Durnik , le côté agence matrimoniale d’Eddings). Mais cela reste très agréable à lire
  • axel86 29/02/2016
    beaucoup mieux que le tome 1 mais il faut encore améliorer certaine chose, après les passages avec Urgit le roi des Murgos sont pas mal et Garion est toujours un brave petit gars mais je n'ai pas eu la même sensation qu'avec la Belgariade.
  • Prudence 06/09/2015
    Toujours une belle qualité concernant l'aventure épique, et un bon dosage de politique, d'intrigue, d'action, de mystère. Rien à reprocher sur le plan de l'écriture et de la structure de cette œuvre de fantasy. Si je ne mets que 3* et non 5* c'est à cause de la misogynie particulièrement importante dans ce livre, cela m'avait déjà gênée dans le premier tome et j'ai trouvé cela encore pire dans celui ci. Imaginez-vous, avec votre groupe d'aventurier, dans le pire endroit possible au monde: vous êtes en infiltration chez vos ennemis jurés, ces ennemis sont du genre à faire un sacrifice humain par heure et ils le font, ils aiment torturer... Enfin vous voyez l'ambiance. Un des aventurier demande où est sa femme et on lui répond qu'elle dort (j'ai relu trois fois le passage en me disant que ce n'était pas possible mais si), donc dans l'endroit le plus dangereux du monde, la princesse pionce... parce qu'elle a fait une crise de nerf. La tendance à l'hystérie pour se personnage est récurrente. Voici également deux citations (parmi d'autres) et à quelques pages d'intervalle: Un personnage féminin a contribué à la perte d'un ennemi puissant et sadique (avec l'aide d'un dieu, masculin, bien sûr), j'étais contente qu'un personnage féminin fasse enfin quelque chose d'un peu épique (même s'il a forcément fallu y coller une figure mâle à côté pour qu'elle réussisse). Et voici ce qui suit: "- Pol n'est pas encore levée? demanda-t-il en bâillant. - Durnik était là il y a un moment et il m'a dit qu'elle était très abatture après... enfin, hier, répondit Garion. - Il n'y a pourtant pas de quoi; grogna le vieux sorcier. C'était spectaculaire, d'accord, mais pas si épuisant que a. - Je ne pense pas que ce soit le problème, Grand-père. Selon Durnik, elle aurait passé la moitié de la nuit à ruminer. - Ah, fit le vieux sorcier en se grattant la barbe. J'oublie toujours que Pol est une femme. Il y a des choses qu'elle n'arrive pas à admettre, et elle est beaucoup trop portée à la compassion. " p321 Et: En parlant des femmes (ils ont mal à la tête parce qu'ils ont bu comme des trous la veille et on une gueule de bois magistrale): "- Elles sont toutes aussi sadiques? geignit le monarque en souffrant. - Les femmes? Ben, oui, pourquoi? rétorqua Belgarath avec un haussement d'épaules. Elles ont ça dans le sang. " Toujours une belle qualité concernant l'aventure épique, et un bon dosage de politique, d'intrigue, d'action, de mystère. Rien à reprocher sur le plan de l'écriture et de la structure de cette œuvre de fantasy. Si je ne mets que 3* et non 5* c'est à cause de la misogynie particulièrement importante dans ce livre, cela m'avait déjà gênée dans le premier tome et j'ai trouvé cela encore pire dans celui ci. Imaginez-vous, avec votre groupe d'aventurier, dans le pire endroit possible au monde: vous êtes en infiltration chez vos ennemis jurés, ces ennemis sont du genre à faire un sacrifice humain par heure et ils le font, ils aiment torturer... Enfin vous voyez l'ambiance. Un des aventurier demande où est sa femme et on lui répond qu'elle dort (j'ai relu trois fois le passage en me disant que ce n'était pas possible mais si), donc dans l'endroit le plus dangereux du monde, la princesse pionce... parce qu'elle a fait une crise de nerf. La tendance à l'hystérie pour se personnage est récurrente. Voici également deux citations (parmi d'autres) et à quelques pages d'intervalle: Un personnage féminin a contribué à la perte d'un ennemi puissant et sadique (avec l'aide d'un dieu,...
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  • akimball 10/10/2014
    J'ai lu les 2 sagas (la Belgariade, la Mallorée) il y'a fort longtemps. Un univers très présent. Des personnages nous faisant nous sentir près d'eux. Des intrigues claires. J'ai beaucoup apprécier cet univers et accompagner ces aventuriers. De la très bonne Heroic Fantasy;)) A ne surtout pas hésiter;)
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