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Frankenstein
Eugène Rocartel (traduit par), Georges Cuvelier (traduit par)
Date de parution : 07/06/2018
Éditeurs :
Pocket

Frankenstein

Eugène Rocartel (traduit par), Georges Cuvelier (traduit par)
Date de parution : 07/06/2018
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

16 juin 1816. L'orage gronde. Dans une ville cachée au milieu des arbres, sur les bords riants du lac de Genève, une petite société s'ennuie....
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

16 juin 1816. L'orage gronde. Dans une ville cachée au milieu des arbres, sur les bords riants du lac de Genève, une petite société s'ennuie. Il y a deux poètes, Byron et Shelley, leurs compagnes, Claire et Mary, un médecin, Polidori. On se raconte d'horribles...
LES GRANDS TEXTES DU XIXe SIÈCLE

16 juin 1816. L'orage gronde. Dans une ville cachée au milieu des arbres, sur les bords riants du lac de Genève, une petite société s'ennuie. Il y a deux poètes, Byron et Shelley, leurs compagnes, Claire et Mary, un médecin, Polidori. On se raconte d'horribles histoires, selon la mode du temps. On décide même d'en écrire. Dans la nuit, la jeune Mary – elle n'a pas encore 19 ans – ne peut dormir : elle rêve d'un hideux fantasme d'homme. Quelques jours plus tard naissent Victor Frankenstein et sa créature. Récit d'une inquiétante nouveauté, vite porté à la scène, très souvent ensuite à l'écran. Devenu si mythique que, dans l'esprit du public qui a oublié Mary Shelley, le créateur et sa créature se sont confondus.

@ Disponible chez 12-21
L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE
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EAN : 9782266288590
Code sériel : 3252
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 304
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266288590
Code sériel : 3252
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 304
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Tatiana1203 11/04/2024
    Jamais je n’aurais eu l’idée d’entreprendre ce romain si un très cher ami à moi ne me l’avait pas chaudement recommandé. On pourrait dire qu’il s’agit d’un classique intemporel, et pourtant comme l’histoire originale a été altérée de milles façons différentes jusqu’à ce qu’elle soit totalement oubliée. Qui pourrait affirmer ne pas connaître le mythe qu’est Frankenstein ? Et pourtant, je pense que peu de personnes pourraient se targuer d’en connaître la réelle intrigue. Loin des histoires d’horreur à la Stephen King, j’ai tout de même été happée par l’atmosphère sombre, presque suffocante de cette œuvre, qui pour mon plus grand plaisir se déroule dans ma ville adorée, ma très chère Genève natale ! Pas une seule fois ce monstre presque légendaire n’est nommé dans ce roman, mais la terreur qu’il inspire est bien présente et laisse derrière ses pages un sentiment de malaise marqué.
  • chessvger 08/04/2024
    le fond est vraiment interessant presque moderne si on transpose la creature creee a une ia par exemple. difficile de prendre partie pour le createur ou le resultat de son travail En revanche la forme souffre de son epoque, on traine en longueur sur des details ou des evenements sans interet pour l histoire.
  • hfon 30/03/2024
    J ai eu une assez longue période roman gothique vers 18 ans, en haut de laquelle trône " le Promothée moderne", roman parfait jusque dans ses imperfections qu on peut décrire : interminable, parfois loghorreique... Quand on aime on aime aussi les defauts, voilà Les meilleurs livres laissent des traces mnesiques et des images des années plus tard : voyez vous vous aussi l ombre géante de la silhouette de la creature errant seule sous le soleil crépusculaire des pôles, arpentant la banquise glacée ? Moi je le vois...peut être parfois dans mes rêves aussi
  • manonbrsn 28/03/2024
    En partant à la rencontre de la Créature de Frankenstein, tout enfant abandonné et rejeté par l'un de ses parents se reconnaîtra, ou reconnaîtra une partie de sa propre souffrance, magnifiquement exprimée par la jeune et talentueuse Mary Shelley. Car, en réalité, dans Frankenstein ou le prométhée moderne, la « création scientifique » de la Créature est à peine mentionnée. C'est avant tout le récit d'une naissance, celui d'un être simplement là, qui possède une âme et, malheureusement pour lui, une trop grande humanité - ce qui le conduira à commettre des crimes. Aussi, la Créature sans nom contraste parfaitement avec le personnage du savant démiurge qu'incarne le Dr Frankenstein, et fait comprendre au Lecteur que le véritable monstre, c'est le Créateur, le Père. Avoir osé donner la vie, avoir permis à un être de ressentir, pour finalement le rejeter, l'abandonner et enfin le laisser se confronter seul, au monde ; voilà le véritable crime du Docteur, mais voilà aussi, à mon sens, toute l'éclatante et triste poésie de la condition humaine. Bref, un de mes romans préférés, et qui m'a le plus touché au cours de ma petite vie ! Certes, l'histoire n'est pas joyeuse, mais elle reste absolument SPLENDIDE ! Je ne peux que vous inviter à la lire ou à la relire ! Par ailleurs, si vous souhaitez découvrir la plus SUBLISSIME adaptation de ce récit à l'écran, je vous conseille vivement la série Penny Dreadful.En partant à la rencontre de la Créature de Frankenstein, tout enfant abandonné et rejeté par l'un de ses parents se reconnaîtra, ou reconnaîtra une partie de sa propre souffrance, magnifiquement exprimée par la jeune et talentueuse Mary Shelley. Car, en réalité, dans Frankenstein ou le prométhée moderne, la « création scientifique » de la Créature est à peine mentionnée. C'est avant tout le récit d'une naissance, celui d'un être simplement là, qui possède une âme et, malheureusement pour lui, une trop grande humanité - ce qui le conduira à commettre des crimes. Aussi, la Créature sans nom contraste parfaitement avec le personnage du savant démiurge qu'incarne le Dr Frankenstein, et fait comprendre au Lecteur que le véritable monstre, c'est le Créateur, le Père. Avoir osé donner la vie, avoir permis à un être de ressentir, pour finalement le rejeter, l'abandonner et enfin le laisser se confronter seul, au monde ; voilà le véritable crime du Docteur, mais voilà aussi, à mon sens, toute l'éclatante et triste poésie de la condition humaine. Bref, un de mes romans préférés, et qui m'a le plus touché au cours de ma petite vie ! Certes, l'histoire n'est pas joyeuse, mais elle reste absolument SPLENDIDE ! Je...
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  • cmog 14/03/2024
    J'ai longtemps été attiré de loin par ce roman que l'on décrit comme le premier roman de science-fiction, par ce statut, autant que par son auteure, Mary Shelley, qui l'a d'abord publié anonymement à une époque où les femmes étaient trop peu considérées en littérature. Existe-t-il plus belle preuve de l'avant-gardisme de cette littérature ? Et pourtant, je remettais la lecture, jusqu'à découvrir qu'il s'agit d'un roman épistolaire. En étant particulièrement friand, j'ai fini par ouvrir mon vieux livre de poche, et je n'ai pas été déçu. Le roman narre, sous forme de récits enchassés à travers des lettres, la création d'une créature vivante à partir de l'inerte, par le docteur Frankenstein, lequel verra sa créature se retourner contre son créateur pour punir son hubris. La plume a l'élégance des écrits anciens. Une véritable élégance dans les formules et les images, de celles qui forment une image limpide dans l'esprit de celui qui les lit. Les considérations philosophiques sont habilement saupoudrées dans le récit et le suspense est ominiprésent. Le seul passage un peu moins bon, parce que moins crédible, est la façon dont la créature acquiert le language, mais la suspension d'incrédulité requise vaut la peine : Il y a de tout dans ce récit mythique. De l'émotion, de l'action, de l'angoisse, de l'émerveillement. A la lecture, si claire, on perçoit presque un vaste arbre de possibilités envisagées à chaque instant par l'auteur, et l'on se prend à imaginer quel tournant aurait prit ce merveilleux roman si une autre voie avait été explorée. Quelle richesse ! Un roman qui mérite amplement son aura mythique. J'ai longtemps été attiré de loin par ce roman que l'on décrit comme le premier roman de science-fiction, par ce statut, autant que par son auteure, Mary Shelley, qui l'a d'abord publié anonymement à une époque où les femmes étaient trop peu considérées en littérature. Existe-t-il plus belle preuve de l'avant-gardisme de cette littérature ? Et pourtant, je remettais la lecture, jusqu'à découvrir qu'il s'agit d'un roman épistolaire. En étant particulièrement friand, j'ai fini par ouvrir mon vieux livre de poche, et je n'ai pas été déçu. Le roman narre, sous forme de récits enchassés à travers des lettres, la création d'une créature vivante à partir de l'inerte, par le docteur Frankenstein, lequel verra sa créature se retourner contre son créateur pour punir son hubris. La plume a l'élégance des écrits anciens. Une véritable élégance dans les formules et les images, de celles qui forment une image limpide dans l'esprit de celui qui les lit. Les considérations philosophiques sont habilement saupoudrées dans le récit et le suspense est ominiprésent. Le seul passage un peu moins bon, parce que moins crédible, est la façon dont la créature acquiert le language, mais la suspension d'incrédulité requise vaut la peine : Il y a de tout dans...
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