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Je voudrais que la nuit me prenne
Date de parution : 14/08/2019
Éditeurs :
Pocket

Je voudrais que la nuit me prenne

Date de parution : 14/08/2019
Loin du bruit du monde, Clémence grandit auprès de parents rivalisant de fantaisie. Mais elle n’a pas la voix d’une petite fille et ses mots sont ceux d’un mystère cruel.... Loin du bruit du monde, Clémence grandit auprès de parents rivalisant de fantaisie. Mais elle n’a pas la voix d’une petite fille et ses mots sont ceux d’un mystère cruel. Que s’est-il passé pour que l’innocence se borde ainsi de noir ?
Plongée vertigineuse et poétique dans l’univers de l’enfance, Je...
Loin du bruit du monde, Clémence grandit auprès de parents rivalisant de fantaisie. Mais elle n’a pas la voix d’une petite fille et ses mots sont ceux d’un mystère cruel. Que s’est-il passé pour que l’innocence se borde ainsi de noir ?
Plongée vertigineuse et poétique dans l’univers de l’enfance, Je voudrais que la nuit me prenne raconte le danger du bonheur. Entre troubles et éclairs de joie, ce roman explore le lien fragile et inaltérable qui nous unit à nos plus proches. Et la redoutable force du souvenir.

Cet ouvrage a reçu le Prix Femina des Lycéens

« Porté par la sublime plume d’Isabelle Desesquelles, ce roman prend aux tripes autant qu’il éblouit. » Amandine Cirez – Version Femina

« Lumineux et fort, d’une gravité bouleversante. » Michel Abescat – Télérama

« Ce roman mystérieux et poétique est une ode à la magie de la littérature, à sa capacité de retenir l’enfance, de ressusciter le passé, de vaincre la nuit. » Claire Julliard – L’Obs
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EAN : 9782266290326
Code sériel : 17533
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266290326
Code sériel : 17533
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

"Il y a de l'urgence dans ce récit. De l'urgence d'écrire qui fonde la littérature. Inclassable, obsédant et magnifique !"
Denis Bénévent / Le Livre en Fête - Figeac

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • IsaE 06/02/2023
    Une claque. Je me suis prise une claque. J'ai ri, j'ai pleuré. Du rire aux larmes j'ai lutté pour ne pas m'effondrer. Un drame familial avec des mots d'enfants, avec des émotions à fleur de peau. Tout est dit : l'absence, l'Amour, la résilience, le couple, la famille, la force... Merci pour ce roman qui a résonné en moi comme peu l'ont fait. Résumé (très très succinct pour ne pas divulgacher !) : Clémence est une petit fille heureuse, elle nous raconte son quotidien, ses parents, son amoureux, sa grand-mère... Mais est-ce vraiment tout ? Quelque chose cloche, on sent que ça va exploser mais on ne sait pas de quelle manière. Et puis tout à coup. C'est dit. La vérité qui étourdit, donne le vertige. Où va-t-on ?
  • Maresol82 28/10/2022
    J'ai beaucoup aimé la façon dont c'est écrit, beaucoup de sentiments, d'émotions... Et la vérité à la fin. Une image du bonheur impermanent comme il est dans la réalité. La mère me plaît par son côté original et plein de vie. Un livre a garder et à relire délicatement.
  • Minette29 26/07/2022
    Difficile de faire la chronique d’un tel roman. On chavire dans la mer, dans l’amour inconditionnel. C’est fort. C’est profond. C’est le bonheur. C’est la tristesse. Isabelle Desesquelles met des mots là où il n’y en a plus. Porté par une écriture troublante, un roman d’une beauté incontestable. Chaque mot est pesé pour n’être que poésie. Chaque maux s’enfonce. Inoubliable Clémence. « Toujours ne veut rien dire. Quand on le comprend, on n’est plus exactement un enfant. »
  • Kittiwake 28/07/2021
    Elle a huit ans, et cet âge est pour elle celui de l’éternité. Souvenir d’une enfance heureuse et ordinaire, près d’une mère fantasque et d’un père vénéré. Les jeux interdits avec la cousine, l’amour d’enfance, l’apprentissage des choses de la vie, le parfum des étés radieux, la morsure sublime du froid , tout ce qui emplit la vie de Clémence a le goût du bonheur, le goût des sens en éveil découvrant le monde avec délice. Malgré cela, le récit semble cacher un sous-texte et une issue mystérieuse… Texte onirique, très poétique qui dit avec beaucoup de grâce les émois d’une enfant vive et curieuse, mais dit aussi l’absence, le deuil qui enlise, qui exclut, qui broie les vivants. Laisser partir pour revivre, accorder le repos à ceux qui nous manquent et nous figent dans un coin immuable et délétère. Une très belle prose pour un récit d’une grâce émouvante et une une originalité dans la manière de dire la perte et l’absence.
  • ManouB 16/12/2020
    La narratrice, c'est Clémence, une petite fille de 8 ans qui avec ses propres mots, nous parle de son enfance, de ses parents, de leur amour et de son quotidien. Son père Alexandre est instituteur, il aime les mots, les livres, la mer et sa mère. Sa mère, Rosalie est un peu "fofolle". Elle entretient des maisons vides, des résidences secondaires donc, qu'elle fait vivre durant l'absence de leurs propriétaires. Elle aime la poésie, la mer et les étoiles, les mots et...Alexandre. Tous deux élèvent leur petite fille dans un monde fabuleux, poétique, où la fantaisie n'est jamais très loin. Clémence nous parle aussi de sa grand-mère, de sa cousine Lise, de Just son amoureux et de l'ambiance de bonheur qui a baigné son enfance. Mais au milieu de tout ce bonheur, le lecteur sent une faille, quelque chose qui ne va pas, des choses que cette petite fille n'aurait pas du voir ou entendre, des réflexions qui ne sont pas de son âge. Dès le départ en effet elle semble être plus âgée, ne pas avoir huit ans mais beaucoup plus. Dès la page 80, le lecteur saura pourquoi, je peux donc le dire. Clémence meurt dans... La narratrice, c'est Clémence, une petite fille de 8 ans qui avec ses propres mots, nous parle de son enfance, de ses parents, de leur amour et de son quotidien. Son père Alexandre est instituteur, il aime les mots, les livres, la mer et sa mère. Sa mère, Rosalie est un peu "fofolle". Elle entretient des maisons vides, des résidences secondaires donc, qu'elle fait vivre durant l'absence de leurs propriétaires. Elle aime la poésie, la mer et les étoiles, les mots et...Alexandre. Tous deux élèvent leur petite fille dans un monde fabuleux, poétique, où la fantaisie n'est jamais très loin. Clémence nous parle aussi de sa grand-mère, de sa cousine Lise, de Just son amoureux et de l'ambiance de bonheur qui a baigné son enfance. Mais au milieu de tout ce bonheur, le lecteur sent une faille, quelque chose qui ne va pas, des choses que cette petite fille n'aurait pas du voir ou entendre, des réflexions qui ne sont pas de son âge. Dès le départ en effet elle semble être plus âgée, ne pas avoir huit ans mais beaucoup plus. Dès la page 80, le lecteur saura pourquoi, je peux donc le dire. Clémence meurt dans des circonstances qui resteront floues pour le lecteur jusqu'à la fin et seront à peine évoquées. Ce jour-là, ses parents ont cessé d'être heureux. Et ce jour-là aussi, Clémence découvre que c'est elle que ses parents aiment le plus au monde. En doutait-elle ? "Je voudrais que la vie me prenne" est un livre triste, un roman d'ambiance. Le lecteur passe de la vie à la mort sans transition aucune, la vie s'entremêle avec la mort, le bonheur avec la tristesse et l'absence. Heureusement, l'amour inconditionnel prime sur tout le reste et l'écriture est tellement belle qu'on ne peut lâcher ce livre sans avoir le sentiment de trahir l'auteur. L'écriture est superbe, légère et poétique, et puissamment évocatrice. Pas étonnant que les grands ados, lycéens soient tombés sous le charme de cette petite fille qui nous rappelle que la vie doit être croquée à pleines dents sans attendre, et le présent, primer sur le futur, cette petite fille qui nous parle comme si elle était elle-même déjà grande et presque adulte. Elle nous dit aussi que les souvenirs d'enfance sont dangereux, qu'il faut se méfier du bonheur, de l'amour de ceux qui nous sont proches car tout peut disparaître d'un seul coup, les promesses ne pas être tenues et surtout, parce qu'ils nous manquent trop quand ils ne sont plus là. J'ai aimé lire ce roman car il est bouleversant, mais je l'ai trouvé cependant trop douloureux et sombre. Je pense que ce n'était peut-être pas le bon moment pour moi de le découvrir et pourtant je voulais le faire depuis longtemps car je ne connaissais l'auteur que pour ses œuvres jeunesse et n'avais encore jamais lu un de ses romans à destination des plus grands ados et des adultes. Je comprendrais que vous ne soyez pas tentés... Prix Femina des Lycéens 2018.
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