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La Hanse galactique - tome 1 Le Prince-Marchand
Arlette Rosenblum (traduit par)
Date de parution : 15/11/2018
Éditeurs :
Pocket

La Hanse galactique - tome 1 Le Prince-Marchand

Arlette Rosenblum (traduit par)
Date de parution : 15/11/2018
XXIIIe siècle. Nicholas Van Rijn dirige la Compagnie solaire des épices et liqueurs au sein de la Ligue polesotechnique, l'alliance des négociants interstellaires. La Ligue transcende toutes les frontières politiques,... XXIIIe siècle. Nicholas Van Rijn dirige la Compagnie solaire des épices et liqueurs au sein de la Ligue polesotechnique, l'alliance des négociants interstellaires. La Ligue transcende toutes les frontières politiques, et son pouvoir est à la mesure de l'étendue des routes commerciales : pour le moins considérable.
Des princes-marchands parcourant l'univers,...
XXIIIe siècle. Nicholas Van Rijn dirige la Compagnie solaire des épices et liqueurs au sein de la Ligue polesotechnique, l'alliance des négociants interstellaires. La Ligue transcende toutes les frontières politiques, et son pouvoir est à la mesure de l'étendue des routes commerciales : pour le moins considérable.
Des princes-marchands parcourant l'univers, Van Rijn est probablement le plus flamboyant, truculent et ingénieux. Débonnaire et fin négociateur, il arpente les mondes, mettant sa verve et son panache au service de ses intérêts et de ceux de la Ligue.
Voici ses aventures...

« Poul Anderson s'amuse des codes du pulp tout en faisant œuvre de démiurge en créant ex nihilo un monde et ses créatures. » Laurent Lefeu – Bifrost

« Un plaisir de lecture, une gourmandise de l'esprit. Un space-opera original et rafraîchissant qui n'a pas pris une ride. En un mot : excellent. » Lecture42
 
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EAN : 9782266281379
Code sériel : 7244
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266281379
Code sériel : 7244
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Difficile de ne pas être enthousiaste face à une telle intelligence et tant d’astuces. Le Prince-Marchand est un plaisir de lecture, une gourmandise de l’esprit. Nicholas Van Rijn est à la fois sérieux et comique, un homme riche dans tous les sens du terme. Poul Anderson, avec La Hanse Galactique, nous offre un space opera original et rafraichissant qui n’a pas pris une ride. En un mot : excellent. »
Lecture42

« Sur une trame sans surprise, Poul Anderson s’amuse des codes du pulp tout en faisant œuvre de démiurge en créant ex nihilo un monde et ses créatures. »
Laurent Leleu, Bifrost

« Le Prince-marchand tient davantage du planet-opera que du space-opera avec un texte cohérent et élégant qui ne néglige pas la trame et les rebondissements. Poul Anderson met sa plume et sa créativité au service d’une histoire flamboyante dans un cadre propice à l’aventure, avec un personnage atypique, agaçant parfois, captivant certainement.» 
Lutin, Albédo

« Il faut reconnaître que l’ensemble se lit aisément, que l’histoire du roman est vraiment prenante et que les nombreuses scènes de bataille sont très bien retranscrites par l’auteur, ce qui traduit d’autant mieux l’horreur des combats. Il s’agit là d’une réédition bienvenue et propice à la réflexion sur notre société actuelle où il est parfois si compliqué de se comprendre. »
La Yozone

« Ce tome 1 est vraiment excellent, avec son truculent et tonitruant personnage principal, son univers moins centré sur la force brute que sur la diplomatie, le commerce, la négociation et la roublardise, ses dialogues savoureux... »
Le Culte d'Apophis


 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • jjjjjjjj 12/06/2021
    Poul Anderson, l'un des plus meilleurs auteurs de SF (avis subjectif) et l'un des plus importants (avis objectif). Ceci est l'une de ces nombreuses sagas traduite en français. Nicholas van Rijn est l'un des nombreux héros d'Anderson. Il n'y a pas vraiment de chronologie dans cette série, donc les différents tomes peuvent se lire indépendamment. Ce que je veux dire, c'est que chaque tome n'est pas la suite chronologique du précédent. Chaque histoires sont des nouvelles aventures pour Nicholas van Rijn. Dans cette aventure, Nicholas et deux autres de ses coéquipiers sont les seuls survivants de leurs vaisseaux. Ils sont échoués sur une petite planète barbare : Diomedes. S'ensuit une course contre la montre. En effet, Nicholas et sa bande ont de la nourriture pour seulement 6 semaines et la nourriture autochtone est venimeuse pour les hommes. Mais comment faire quand les barbares ailés de cette planète sont en guerre ? Encore un très bon roman signé Poul Anderson. Oh, et pour ceux qui se le demandent, une Hanse, c'est une ligue de marchands.
  • YannMarcDrieu 19/04/2021
    Un Hollandais de la Renaissance au XXVème siècle. Des mondes extra-terrestres inventés de toutes pièces, détaillés avec toute la rigueur scientifique possible, bénéficient d'une véritable crédibilité et sont l'atout dans ce cycle de la Hanse galactique. Le personnage de Van Rijn, cependant, paraît totalement en décalage et jure au milieu des autres protagonistes. Comme aspiré, de pied en cap, du XVIIème au XXVème siècle, le personnage est contrastant et ne me convainc pas (!) Quant à la trame des récits, elle reste acceptable, un peu brouillonne parfois - sûrement à cause d'une traduction faillible- et reste commune dans l'univers de la fantasy.
  • Tatooa 16/09/2019
    Poul Anderson est un de mes auteurs favoris, un de ceux que je lis quand je veux "quelque chose de bon". Ce tome 1 de la Hanse Galactique ne fait pas exception à la règle, et je me suis régalé. L'ensemble des nouvelles permet à l'auteur de construire un univers riche, très documenté, ultra-cohérent. Nicholas van Rijn, personnage central et principal de ce tome 1, est absolument exceptionnel, dans le style anti-héros bedonnant, jouisseur et truculent, esprit brillantissime et totalement axé sur le profit. Il m'a irrésistiblement fait penser au personnage de Red campé par l'excellent Walter Matteau dans le film Pirates de Polanski ! C'est exactement le même mélange d'aventure et de comédie, violente et à la moralité douteuse souvent, où le capitaine en question tire toujours son épingle du jeu ! C'est très bien écrit, formidablement traduit par m. Brèque, vraiment savoureux (dans tous les sens du terme !). Ici, le prince-marchand (un peu pirate sur les bords... et beaucoup au milieu) prône la paix et l'entente, dans la plupart des cas, parce que ça favorise le commerce. Quitte à provoquer une guerre pour en arriver où il veut... Mdr ! C'est fin, c'est intelligent, c'est bourré d'humour et d'action, de néologismes et d'interjections inventifs (merci au traducteur, une fois de plus), de science plus ou moins hard, bref c'est que du bonheur. Je sais, je le dis à chaque fois. Et je le redis : Poul Anderson, c'est excellent, lisez-en ! :)Poul Anderson est un de mes auteurs favoris, un de ceux que je lis quand je veux "quelque chose de bon". Ce tome 1 de la Hanse Galactique ne fait pas exception à la règle, et je me suis régalé. L'ensemble des nouvelles permet à l'auteur de construire un univers riche, très documenté, ultra-cohérent. Nicholas van Rijn, personnage central et principal de ce tome 1, est absolument exceptionnel, dans le style anti-héros bedonnant, jouisseur et truculent, esprit brillantissime et totalement axé sur le profit. Il m'a irrésistiblement fait penser au personnage de Red campé par l'excellent Walter Matteau dans le film Pirates de Polanski ! C'est exactement le même mélange d'aventure et de comédie, violente et à la moralité douteuse souvent, où le capitaine en question tire toujours son épingle du jeu ! C'est très bien écrit, formidablement traduit par m. Brèque, vraiment savoureux (dans tous les sens du terme !). Ici, le prince-marchand (un peu pirate sur les bords... et beaucoup au milieu) prône la paix et l'entente, dans la plupart des cas, parce que ça favorise le commerce. Quitte à provoquer une guerre pour en arriver où il veut... Mdr ! C'est fin, c'est intelligent, c'est bourré d'humour...
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  • LeScribouillard 16/03/2019
    Le XXIIIe siècle. Des quatre coins de la Terre, des gigantesques vaisseaux partent à la conquête de nouveaux mondes. À bord de ces engins, des hommes, avides de rêves, d’aventures et d’espace, à la recherche de fortune. Qui n’a jamais rêvé de ces mondes extraterrestres, de ces nébuleuses lointaines, peuplées de légendes, ou d’une richesse soudaine qui se conquerrait au détour de l’hyperespace ? Qui n’a jamais rêvé de voir les étoiles souveraines guider ses pas, au cœur de la galaxie, vers la richesse et l’histoire des mystérieuses routes marchandes ? Impression globale* *Les cités d’or remix psytrance, Arnaud Gonnachon (2017) C’est donc une première idée géniale de la part de Poul Anderson d’imaginer que les relations commerciales inter-espèces de l’Univers, après la découverte de celles-ci, seraient semblables à celles de la Renaissance : on installe des comptoirs sur diverses planètes afin d’établir des relations privilégiées, la mode vestimentaire est au XVIIIe siècle, et tout est question de séduire l’indigène à force soieries et pierres précieuses histoire de s’en mettre derrière plein les poches. C’est ce qu’a bien compris Nicholas Van Rijn. À cadre original, personnage original : ce marchand et aventurier, le plus riche ayant jamais existé est un antihéros de première, fort en gueule, fourbe et grossier ; l’orbite d’une planète se modifie rien que lorsqu’il se pose dessus, avec son poids énorme et celui de son ego. Cette créature détestable n’en est pas moins diaboliquement rusée dès lors qu’il s’agit de tirer la couverture vers lui. Nous suivons donc sur ces 300 pages un personnage aussi coloré et grandiloquent que Kruppe et plus rusé qu’un Hober Mallow, amateur de bonne chère (et de même avec l’autre orthographe), de musique classique et de jurons pétaradants : bref, pas le temps de s’ennuyer. C’est donc deux aventures de cette figure de proue truculente que Le Bélial (et, dans l’édition que j’ai, après lui, Pocket) édite le tome 1 de l’intégrale des nouvelles, novelettes, novellas et romans constituant le cycle La Hanse Galactique. Et autant vous dire que si ça c’est pas un bon début de saga, c’est que j’en ai jamais vu. Les histoires Marge bénéficiaire Une novelette mettant en scène Van Rijn chargé de démêler un imbroglio autour d'un système solaire belliqueux. Si l'histoire en elle-même ne brille pas pour sa capacité à produire de gros twists, le Prince-Marchand nous éblouit de sa personnalité grandiloquente. Quelques rebondissements, des dialogues intelligents mais pas en trop grosse quantité pour pas nous assommer, et nous voilà dans l'espace, à côtoyer l'exotisme et l’aventure... Un homme qui compte Van Rijn, un jeune assistant et une princesse en exil se crashent sur la planète Diomède dont ils tentent de s’échapper. Ils se retrouvent pris dans une guerre entre deux peuples qu’ils vont devoir démêler… Un roman où l’on rit quasiment à chaque chapitre malgré l'ambiance sombre et violente. Certes, les personnages sont pour la plupart transparents, mais ils n'en restent pas moins juste travaillés comme il faut pour être crédibles et surtout éclipsés par Van Rijn. Le récit peine aussi à décoller étant donné le tempo plutôt lent dont il est victime malgré sa courteur, mais à côté de ça se dévoile à nous un monde riche et extrêmement cohérent ! Nicholas n'en finit pas de nous épater entre deux empiffrages de sandwiches, au point que nous avons affaire, fin douce-amère ou non, à un feel-good bouquin pacifiste, tolérant, et glissant ses messages avec humour et sans jamais s'appesantir dessus ; bref, ce que je recherche le plus en ce moment dans la SFFF. Conclusion* *The Tide, Singularity (The Fat Rat remix) (2013) Si Poul Anderson parvient à créer un autre héros comme celui-ci et continuer à nous étonner de la sorte avec son worldbuilding, La Hanse Galactique s’annonce un cycle passionnant ! Qu’importe si ça a été écrit il y a un demi-siècle, le style n’a pas pris une ride à l’instar des plus grands écrits d’Asimov. Tout est tellement pétillant et pétulant qu’on en oublie aisément les longueurs, toujours pimentées par une foule de détails humoristiques. Bref, si vous voulez un space op avec tout c’qui faut là où y faut, vous savez où chercher ! Enfin bon, c’est pour votre culture… On ripaille aussi chez : Apophis, Lutin, Lorhkan, Samuel, Nebal, la Yozone, Angua, Célindanaé, Chien critique, le Chroniqueur, Yossarian… Note du 15/07/22 : Aujourd'hui, je serais un peu plus sévère envers ce livre, bien qu'il conserve toutes les qualités que j'ai décrites. Outre les désaccords philosophiques que j'ai avec cet auteur libertarien, sur l'idée que le commerce finit toujours par apporter la paix et la civilisation ou que certaines personnes sont plus utiles à la société que d'autres, on regrettera que le premier texte ne donne à la compagne de Van Rijn qu'un caractère très stéréotypé, hystérique. Malgré ces défauts, nous avons un worldbuilding solide, un grand sens de l'intrigue, un grand humour, bref : Poul Anderson reste un grand auteur.Le XXIIIe siècle. Des quatre coins de la Terre, des gigantesques vaisseaux partent à la conquête de nouveaux mondes. À bord de ces engins, des hommes, avides de rêves, d’aventures et d’espace, à la recherche de fortune. Qui n’a jamais rêvé de ces mondes extraterrestres, de ces nébuleuses lointaines, peuplées de légendes, ou d’une richesse soudaine qui se conquerrait au détour de l’hyperespace ? Qui n’a jamais rêvé de voir les étoiles souveraines guider ses pas, au cœur de la galaxie, vers la richesse et l’histoire des mystérieuses routes marchandes ? Impression globale* *Les cités d’or remix psytrance, Arnaud Gonnachon (2017) C’est donc une première idée géniale de la part de Poul Anderson d’imaginer que les relations commerciales inter-espèces de l’Univers, après la découverte de celles-ci, seraient semblables à celles de la Renaissance : on installe des comptoirs sur diverses planètes afin d’établir des relations privilégiées, la mode vestimentaire est au XVIIIe siècle, et tout est question de séduire l’indigène à force soieries et pierres précieuses histoire de s’en mettre derrière plein les poches. C’est ce qu’a bien compris Nicholas Van Rijn. À cadre original, personnage original : ce marchand et aventurier, le plus riche ayant jamais existé est un antihéros de première, fort...
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  • LeChroniqueur 28/09/2018
    Pendant les années 50, la SF comportait beaucoup de héros musclés qui se battaient à tout va avec leurs ennemis. Certains écrivains, tels Isaac Asimov dans Fondation ou Poul Anderson dans la Hanse Galactique, se sont donc joués de ce qui commençait (et est peut-être devenu) à ressembler à un cliché. C'est pourquoi le personnage principal des deux récits que vous trouverez dans ce volume, Nicholas Van Rijn est un homme bedonnant, bien plus habile à jouer de la ruse et de la roublardise plutôt que des muscles, et toujours partant pour tirer un profit financier des situations dans lesquelles il se retrouve. C'est donc une sorte d'anti-héros, doté d'un sens de la répartie très fourni (ses prises de paroles sont souvent très farcesques), et qui, malgré son apparence, se révèle être un grand meneur d'hommes !
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