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La Vie après Birkenau
David Teboul (textes réunis par)
Date de parution : 22/09/2022
Éditeurs :
Pocket

La Vie après Birkenau

David Teboul (textes réunis par)
Date de parution : 22/09/2022
« On m’a parfois demandé comment j’avais pu, après les camps, retrouver le désir de vivre. La seule réponse valable à mes yeux est celle-ci : on n’a pas le choix. Cela... « On m’a parfois demandé comment j’avais pu, après les camps, retrouver le désir de vivre. La seule réponse valable à mes yeux est celle-ci : on n’a pas le choix. Cela me paraît valable pour une personne comme pour un pays tout entier. »
Simone Veil raconte son enfance, sa déportation et l’importance...
« On m’a parfois demandé comment j’avais pu, après les camps, retrouver le désir de vivre. La seule réponse valable à mes yeux est celle-ci : on n’a pas le choix. Cela me paraît valable pour une personne comme pour un pays tout entier. »
Simone Veil raconte son enfance, sa déportation et l’importance de cette épreuve dans sa vie.
 
« Un livre magnifique et nécessaire. » Olivia de Lamberterie, ELLE
« Avec ce livre, Simone Veil ne suscite pas seulement l’admiration. Elle bouleverse. » Valérie Lehoux, Télérama
 
Ce récit a déjà été publié dans l’ouvrage L’Aube à Birkenau.
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EAN : 9782266329781
Code sériel : 18852
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266329781
Code sériel : 18852
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 160
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lorieheymes 02/04/2024
    Ma seule lecture de décembre, et une lecture bien plus sérieuse que d’habitude. La note attribuée à ce livre ne correspond évidemment pas au récit en lui-même, ce qui me semble inenvisageable ici, mais à la qualité de la retranscription faite par David Teboul. À travers ce témoignage rempli de sagesse et presque de douceur, Simone Veil revient sur sa vie avant la déportation, sur les conditions de celle-ci, sur sa survie à Auschwitz. Elle raconte ce qu’elle y a vu et vécu, jusqu’à la Libération. Par moment, elle évoque un souvenir précis, et en développe les conséquences qu’il a eu sur sa vie. Toute sa vie, elle a constamment revécu certaines scènes à travers des épisodes traumatiques qu’elle appelle des « flashs ». Elle évoque ensuite sa vie juridique puis politique française, et l’influence que la déportation a tenue sur celles-ci. Des conditions de vie dans les prisons durant la guerre d’Algérie jusqu’à sa place au Parlement Européen, en passant évidemment par la loi Veil, elle revient sur sa place en tant que femme juive dans ces différents milieux. Elle évoque également des souvenirs de l’antisémitisme et du sexisme qu’elle a endurés après guerre, jusqu’à l’année de sa mort. Ce récit est à lire, au moins une fois dans sa vie. N’oublions pas l’Histoire. Le devoir de Mémoire nous revient.Ma seule lecture de décembre, et une lecture bien plus sérieuse que d’habitude. La note attribuée à ce livre ne correspond évidemment pas au récit en lui-même, ce qui me semble inenvisageable ici, mais à la qualité de la retranscription faite par David Teboul. À travers ce témoignage rempli de sagesse et presque de douceur, Simone Veil revient sur sa vie avant la déportation, sur les conditions de celle-ci, sur sa survie à Auschwitz. Elle raconte ce qu’elle y a vu et vécu, jusqu’à la Libération. Par moment, elle évoque un souvenir précis, et en développe les conséquences qu’il a eu sur sa vie. Toute sa vie, elle a constamment revécu certaines scènes à travers des épisodes traumatiques qu’elle appelle des « flashs ». Elle évoque ensuite sa vie juridique puis politique française, et l’influence que la déportation a tenue sur celles-ci. Des conditions de vie dans les prisons durant la guerre d’Algérie jusqu’à sa place au Parlement Européen, en passant évidemment par la loi Veil, elle revient sur sa place en tant que femme juive dans ces différents milieux. Elle évoque également des souvenirs de l’antisémitisme et du sexisme qu’elle a endurés après guerre, jusqu’à l’année de sa mort. Ce récit est à...
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  • Celinemlire 02/02/2024
    Difficile de trouver les mots pour faire part de mes sentiments après une telle lecture. Quel roman ! On est au-delà de la résilience dans cet ouvrage dans lequel David TEBOUL a laissé, avec beaucoup d'humilité, toute la place à Simone VEIL et ses proches qui racontent, avec pudeur, leur expérience de la déportation. Aucune haine, aucune rancœur, aucune méchanceté ni aucun désir de vengeance dans les propos de Simone et de ses proches. Et pourtant, après avoir vécu l'inimaginable, et traversé les épreuves auxquelles Simone, Denise, Marceline et Paul ont été confronté, ainsi que les scènes abominables auxquelles ils ont assisté quotidiennement, il y aurait de quoi nourrir amertume et ressentiment. Mais non, ils sont parvenus à survivre au camp, à se relever, à redresser la tête et à poursuivre leur chemin pas à pas. Comment ont fait ces gens ? Pour supporter ? Pour survivre à toutes ces horreurs ? Pour vivre, après ? Concernant la structure narrative, elle est très intéressante : découpé en 8 volets, le récit n'est pas concentré uniquement sur la déportation. Certaines parties sont la narration des souvenirs de Simone : son enfance, la famille aimante et cultivée au sein de laquelle elle a grandi, sa rencontre avec le jeune homme qui allait devenir son époux/père de ses fils, son entrée en politique... ainsi que les combats menés tout au long de sa vie afin que personne, jamais, ne vivent dans l'humiliation ni de manière indigne. D'autres passages sont 1 retranscription d'un échange filmé (Simone et sa sœur Denise), ou d'une interview (Simone-Marceline, puis Simone Paul). La partie que j'ai "préférée", c'est la discussion entre Simone et Paul SCHAFFER (son ami du camp de Bobreck). C'est un échange entre les 2 amis autour des conditions de leur déportation, de leurs conditions de vie dans le camp, de l'enfermement, du travail à Bobreck...ponctué par quelques questions de David TEBOUL. On sent Simone VEIL très à l'aise avec Paul, et l'affection qu'ils ont l'un pour l'autre se ressent à travers leur conversation. Par ailleurs, je dois dire que le discours de Marceline sur la tombe de son amie Simone est également un moment très poignant du livre. Mais il y a tant à dire de cette grande dame qu'est Simone VEIL, de son parcours, de sa vie, de l'exemple qu'elle nous donne... Et il y aurait également tant à dire sur de nombreux sujets comme : -le désintérêt des alliés quant au sort réservé aux juifs (choisissant, à l'époque, de se concentrer sur l'aspect militaire), -l'inaction du Vatican (qui savait), -l'action toute relative de la Croix-Rouge (qui savait aussi) -l'impossibilité de témoigner, au retour des camps, face au scepticisme de la population, Impossible de continuer, ma critique sur ce livre n'en terminerai jamais. Donc un conseil : lisez-le !!Difficile de trouver les mots pour faire part de mes sentiments après une telle lecture. Quel roman ! On est au-delà de la résilience dans cet ouvrage dans lequel David TEBOUL a laissé, avec beaucoup d'humilité, toute la place à Simone VEIL et ses proches qui racontent, avec pudeur, leur expérience de la déportation. Aucune haine, aucune rancœur, aucune méchanceté ni aucun désir de vengeance dans les propos de Simone et de ses proches. Et pourtant, après avoir vécu l'inimaginable, et traversé les épreuves auxquelles Simone, Denise, Marceline et Paul ont été confronté, ainsi que les scènes abominables auxquelles ils ont assisté quotidiennement, il y aurait de quoi nourrir amertume et ressentiment. Mais non, ils sont parvenus à survivre au camp, à se relever, à redresser la tête et à poursuivre leur chemin pas à pas. Comment ont fait ces gens ? Pour supporter ? Pour survivre à toutes ces horreurs ? Pour vivre, après ? Concernant la structure narrative, elle est très intéressante : découpé en 8 volets, le récit n'est pas concentré uniquement sur la déportation. Certaines parties sont la narration des souvenirs de Simone : son enfance, la famille aimante et cultivée au sein de laquelle elle a grandi, sa rencontre avec le jeune homme qui allait...
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  • Eddy_Vingean 14/01/2024
    Poignant. Ce témoignage m'a beaucoup retourné. On a beau en apprendre tant qu'on peut sur la Shoah, la vie dans les camps... Les mots des survivants, c'est vraiment différent. Et encore ce n'est rien, car ce qu'ils ont vécu reste inimaginable. Mais au moins à défaut de l'imaginer peut on tout faire pour ne pas oublier. C'est la lecture de Adieu Birkenau, le témoignage de Ginette Kolinka mis en BD, qui m'a donné envie d'enchaîner avec ce livre qui était dans ma pile à lire. Les histoires se croisent évidemment puisque les deux femmes étaient ensemble dans le camp de Birkenau et se connaissent. L'expérience de lecture est très différente et j'aime à penser ces deux ouvrages complémentaires. Le témoignage de Simone Veil est plus complet, l'avant est pris bien plus tôt, le pendant est plus complexe car elle a un parcours un peu plus compliqué, mais surtout l'après y est raconté aussi. Le juste après et le longtemps après. Et c'est essentiel car c'est loin de ce qu'on pourrait s'imaginer, même en sachant les difficultés rencontrées par les déportés juifs à la sortie des camps, ce n'est pas assez. Simone Veil raconte bien plus longtemps après et son parcours professionnel et politique y est aussi résumé et raconté sous le spectre de la déportation et l'antisémitisme qui ont évidemment joué un rôle majeur durant toute sa vie. J'ai particulièrement aimé la discussion avec Marceline Loridan-Ivens que j'ai trouvé très touchante. À lire donc, je recommande d'avoir le cœur bien accroché, ce n'est pas une lecture dont on ressort indemne.Poignant. Ce témoignage m'a beaucoup retourné. On a beau en apprendre tant qu'on peut sur la Shoah, la vie dans les camps... Les mots des survivants, c'est vraiment différent. Et encore ce n'est rien, car ce qu'ils ont vécu reste inimaginable. Mais au moins à défaut de l'imaginer peut on tout faire pour ne pas oublier. C'est la lecture de Adieu Birkenau, le témoignage de Ginette Kolinka mis en BD, qui m'a donné envie d'enchaîner avec ce livre qui était dans ma pile à lire. Les histoires se croisent évidemment puisque les deux femmes étaient ensemble dans le camp de Birkenau et se connaissent. L'expérience de lecture est très différente et j'aime à penser ces deux ouvrages complémentaires. Le témoignage de Simone Veil est plus complet, l'avant est pris bien plus tôt, le pendant est plus complexe car elle a un parcours un peu plus compliqué, mais surtout l'après y est raconté aussi. Le juste après et le longtemps après. Et c'est essentiel car c'est loin de ce qu'on pourrait s'imaginer, même en sachant les difficultés rencontrées par les déportés juifs à la sortie des camps, ce n'est pas assez. Simone Veil raconte bien plus longtemps après et son parcours professionnel et...
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  • Billie72 24/07/2023
    David Teboul retranscrit plusieurs entretiens avec Simone Veil, ainsi que des rencontres auxquelles il lui a été donné d’assister, mettant en présence Simone et sa soeur Denise (ancienne résistante), Simone et Marceline Loridan, Simone et Paul Schaffer. Simone Veil, puis Simone et ses proches, évoquent leurs souvenirs. Dénonciation. Arrestation. Déportation. Déshumanisation. Famine. Froid. Promiscuité. Humiliations. Injustice. Maladies. Vermine. Corvées. Survie. Parfois, au milieu de tout cela, un éclair d’humanité, une main tendue, un sourire. Plus tard, la solitude et la difficile reconstruction. Une vie qui plus jamais ne pourra être « normale ». Simone Veil raconte également ses débuts en politique et sa peur de ne pas être légitime. Ce qui ressort de ces entretiens, ce sont sa ténacité et sa droiture. Simone Weil n’a jamais renoncé à ses convictions, même après avoir essuyé moqueries et propos antisémites. L’auteur s’efface totalement, laissant au lecteur l’impression d’être dans un coin de la pièce, témoin direct du récit de Simone. Ce parti pris narratif, parsemé de petites digressions et même de quelques répétitions, confère à ce témoignage des accents de sincérité, d’humilité et de spontanéité. Simone ne se pose pas en victime. Dans ses mots, aucune rancoeur ni désir de vengeance. Seulement la dignité d’une femme qui, en butte aux pires humiliations, a toujours su garder la tête haute. Une femme au destin « hors normes », qui de part son histoire et ses combats ne peut qu’inspirer le plus grand respect. L’ouvrage est enrichi de photographies montrant les parents de Simone, Simone enfant puis adolescente (donc avant et pendant la guerre), seule ou aux côtés des membres de sa famille, ainsi que Simone adulte au moment des rencontres avec Denise, Marceline et Paul. L’aube à Birkenau est une histoire bouleversante (car elle n’en est pas une…) qu’il convient de ne jamais oublier.David Teboul retranscrit plusieurs entretiens avec Simone Veil, ainsi que des rencontres auxquelles il lui a été donné d’assister, mettant en présence Simone et sa soeur Denise (ancienne résistante), Simone et Marceline Loridan, Simone et Paul Schaffer. Simone Veil, puis Simone et ses proches, évoquent leurs souvenirs. Dénonciation. Arrestation. Déportation. Déshumanisation. Famine. Froid. Promiscuité. Humiliations. Injustice. Maladies. Vermine. Corvées. Survie. Parfois, au milieu de tout cela, un éclair d’humanité, une main tendue, un sourire. Plus tard, la solitude et la difficile reconstruction. Une vie qui plus jamais ne pourra être « normale ». Simone Veil raconte également ses débuts en politique et sa peur de ne pas être légitime. Ce qui ressort de ces entretiens, ce sont sa ténacité et sa droiture. Simone Weil n’a jamais renoncé à ses convictions, même après avoir essuyé moqueries et propos antisémites. L’auteur s’efface totalement, laissant au lecteur l’impression d’être dans un coin de la pièce, témoin direct du récit de Simone. Ce parti pris narratif, parsemé de petites digressions et même de quelques répétitions, confère à ce témoignage des accents de sincérité, d’humilité et de spontanéité. Simone ne se pose pas en victime. Dans ses mots, aucune rancoeur ni désir de vengeance. Seulement la dignité d’une femme qui, en butte aux pires...
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  • patriciabiron 11/07/2023
    Après lui avoir consacré un documentaire à la fin des années 90, David Teboul a enregistré au fil des ans, plus de 40 h d’entretiens avec Simone Veil. De leurs rencontres est née une réelle amitié. Ce livre bouleversant restitue le récit de Simone Veil sur son enfance, sa déportation, son retour des camps, la mémoire et l’antisémitisme, et l’impact des événements sur ses engagements ultérieurs , notamment la cause des femmes. Il restitue aussi les dialogues entre Simone Veil et sa soeur aînée Denise, déportée comme résistante, puis ceux avec Marceline Loridan-Ivens et Paul Schaeffer, ses anciens camarades de déportation. La partie heureuse de son enfance, a vite été balayée par la guerre, la déportation, l’éclatement de la famille et le sort atroce réservé aux juifs. Elle n’avait pas 16 ans lorsqu’elle a plongé dans l’enfer des camps, a Birkenau puis a Bobreck. Par tout ce qu’elle a vécu ou vu, et par le regard qu’elle porte sur cette période et sur celle qui a suivi, cette femme d’exception, nous exhorte à ne jamais oublier ce que 6 millions d’humains ont subi au seul motif qu’ils étaient juifs…. Un récit bouleversant et digne d’où n’émerge aucune plainte ni sentiment de haine. Respect pour cette grande dame. L’intimité entre Simone Veil et David Teboul a été telle que les enfants de Simone lui ont confié la cérémonie du Panthéon. 📌 …. « Il ne m’est pas possible de dissocier le souvenir sans cesse présent, obsédant même, de 6 millions de juifs exterminés pour la seule raison qu’ils étaient juifs, 6 millions dont furent mes parents, mon frère et nombre de mes proches. Je ne peux me séparer d’eux. Cela suffit pour que, jusqu’a ma mort, ma judéité soit imprescriptible. Le Kaddish sera dit sur ma tombe. » Simone VeilAprès lui avoir consacré un documentaire à la fin des années 90, David Teboul a enregistré au fil des ans, plus de 40 h d’entretiens avec Simone Veil. De leurs rencontres est née une réelle amitié. Ce livre bouleversant restitue le récit de Simone Veil sur son enfance, sa déportation, son retour des camps, la mémoire et l’antisémitisme, et l’impact des événements sur ses engagements ultérieurs , notamment la cause des femmes. Il restitue aussi les dialogues entre Simone Veil et sa soeur aînée Denise, déportée comme résistante, puis ceux avec Marceline Loridan-Ivens et Paul Schaeffer, ses anciens camarades de déportation. La partie heureuse de son enfance, a vite été balayée par la guerre, la déportation, l’éclatement de la famille et le sort atroce réservé aux juifs. Elle n’avait pas 16 ans lorsqu’elle a plongé dans l’enfer des camps, a Birkenau puis a Bobreck. Par tout ce qu’elle a vécu ou vu, et par le regard qu’elle porte sur cette période et sur celle qui a suivi, cette femme d’exception, nous exhorte à ne jamais oublier ce que 6 millions d’humains ont subi au seul motif qu’ils étaient juifs…. Un récit bouleversant et digne d’où n’émerge aucune plainte ni sentiment de...
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