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Le Cinquième cœur
Cécile Arnaud (traduit par)
Date de parution : 21/10/2021
Éditeurs :
Pocket

Le Cinquième cœur

Cécile Arnaud (traduit par)
Date de parution : 21/10/2021
Paris, 1893. A deux pas du Pont Neuf, Henry James a décidé d’en finir. Or, avant de plonger dans l’eau noire, une main puissante saisit le col du grand romancier... Paris, 1893. A deux pas du Pont Neuf, Henry James a décidé d’en finir. Or, avant de plonger dans l’eau noire, une main puissante saisit le col du grand romancier américain. Le fanal d’un bateau éclaire bientôt son sauveur : ses yeux perçants, ce profil aquilin… Sherlock Holmes ! Voilà deux ans... Paris, 1893. A deux pas du Pont Neuf, Henry James a décidé d’en finir. Or, avant de plonger dans l’eau noire, une main puissante saisit le col du grand romancier américain. Le fanal d’un bateau éclaire bientôt son sauveur : ses yeux perçants, ce profil aquilin… Sherlock Holmes ! Voilà deux ans que le célèbre détective, qu’on dit mort depuis les chutes du Reichenbach, enquête incognito. Clover Adams, la riche fondatrice du club des « Cinq du Cœur » s’est-elle réellement suicidée ? En quoi James peut-il l’aider ? Et Holmes lui-même ? Existe-t-il seulement ? Entre le romancier et la créature de papier, se forme alors un duo peu élémentaire…
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EAN : 9782266298315
Code sériel : 17666
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 864
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266298315
Code sériel : 17666
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 864
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

"Un polar historique savoureux où le héros de Conan Doyle côtoie Mark Twain et Henry James."
Le Figaro littéraire
"L’auteur de Drood (sur les dernières années de Dickens) et de l’Abominable (équipée sur l’Everest après la disparition de Mallory et Irvine en 1924), exploite avec érudition et minutie ce qui lui est apparu comme une faille spatio-temporelle."
Libération

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Surfeurfou974 07/12/2023
    J’ai écouté ce livre en livre audio, c’est un mixte hautement improbable de suspense, de littérature, de policier et presque de fiction. Seul un esprit génial comme celui de Dan Simons dont tous les livres, bien qu’étant très différents les uns des autres , sont des chef-d’œuvre, on peut imaginer un tel amalgame de personnages et de situation. Je pense notamment aux deux derniers chefs-d’œuvre de Dan SIMONs, que j’ai lu, une nuit d’été, et bien entendu, l’immense échiquier du mal en deux tomes. Un écrivain qui parle lui-même, d’un autre écrivain qui lui-même s’interroge sur l’existence réelle de son personnage. Certains propos du livre laissent est un peu songeur, et la fin est curieusement un peu abrupte mais on passe un très bon moment dans l’imaginaire de SIMONs, un petit point négatif tout de même, j’ai trouvé Que les développements sur la vie personnelle des gentlemans sont un peu répétitifs et cette habitudes d’appeler à chaque fois leurs interlocuteurs par leur nom complet et d’entretenir une série d’expression désuète est un peu fatigante à la fin
  • Salix_alba 14/05/2023
    Un thriller pour le moins surprenant, entre rêve et réalité, qui associe un écrivain américain Henry James et un personnage de sir Arthur Conan Doyle : Sherlock Holmes. " Dan Simmons, " qui excelle dans plusieurs domaines – science-fiction, horreur et policiers – va entraîner le lecteur dans une folle aventure de la fin du XIXe siècle. Un pavé de huit-cent-soixante pages, dont l'intrigue de départ, idéale pour le cerveau bien affuté de Sherlock, consiste à résoudre la mort de Marian Hooper Adams, qui se serait suicidée d'après les premières investigations. Aussi quitte-t-il Paris avec Henry James, le succédané du Dr. Watson, pour Washington. Une lecture qui m'a surpris, par notamment : la question de l'existence réelle ou fictionnelle du détective privé posée maintes fois par Henri James, alors que nous suivons avec pugnacité ses péripéties rocambolesques, ainsi que d'innombrables digressions, que l'on pourrait trouver inadéquates mais qui imprègnent le lecteur de cette période – par exemple : sur l'architecture de la ville de Washington, sur le massacre de Haymarket Square – mai 1886 –, sur la célébration de l'exposition universelle de Chicago en 1893. D'ailleurs, sur le dernier sujet, un clin d'œil de l'auteur, Il y eu un escroc nommé H. H. Holmes qui pendant l'exposition, assassinait des clients de son hôtel pour s'accaparer leurs biens. Mais ce n'est pas tout, hormis une intrigue bien fournie, et surtout la description du monde de la haute société de l'époque, fondée sur la richesse, quand ce n'est pas sur la naissance, et sur le pouvoir quand ce n'est pas la richesse. Une peinture sans artifice de ce monde frivole, avec l'irrémissible besoin d'être dans l'apparence, de respecter les codes, et ceci pour exister dans ce monde ! À l'instar des commentaires parfois longs, " Dan Simmons ", se révèle d'une grande érudition, qui nécessite d'approfondir tel ou tel personnage cité, entre autres personnalités : Mark Twain, John Bunyan, Harriet Beecher Stowe, William James, Montague Druitt, Louis Agassiz, etc. À trop vouloir détailler, l'auteur risque de perdre le lecteur dans trop de circonlocutions. Une bonne étude de mœurs de l'époque, animée par des grands noms de la littérature anglaise et américaine, et qui nécessite d'avoir la patience de s'immerger dans ce récit pour en savourer les vagues du suspens et de l'écriture. Et laissons la dernière parole à Sherlock Holmes : " Je ne devine jamais, James, je déduis ! ". Un thriller pour le moins surprenant, entre rêve et réalité, qui associe un écrivain américain Henry James et un personnage de sir Arthur Conan Doyle : Sherlock Holmes. " Dan Simmons, " qui excelle dans plusieurs domaines – science-fiction, horreur et policiers – va entraîner le lecteur dans une folle aventure de la fin du XIXe siècle. Un pavé de huit-cent-soixante pages, dont l'intrigue de départ, idéale pour le cerveau bien affuté de Sherlock, consiste à résoudre la mort de Marian Hooper Adams, qui se serait suicidée d'après les premières investigations. Aussi quitte-t-il Paris avec Henry James, le succédané du Dr. Watson, pour Washington. Une lecture qui m'a surpris, par notamment : la question de l'existence réelle ou fictionnelle du détective privé posée maintes fois par Henri James, alors que nous suivons avec pugnacité ses péripéties rocambolesques, ainsi que d'innombrables digressions, que l'on pourrait trouver inadéquates mais qui imprègnent le lecteur de cette période – par exemple : sur l'architecture de la ville de Washington, sur le massacre de Haymarket Square – mai 1886 –, sur la célébration de l'exposition universelle de Chicago en 1893. D'ailleurs, sur le dernier sujet, un clin d'œil de l'auteur, Il y eu un escroc nommé H....
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  • MiryLec 30/09/2022
    J’ai lu l’intégrale des aventures de Sherlock Holmes avant de lire ce roman. Dan Simmons semble ici s’amuser à relever certaines faiblesses de l’oeuvre de Conan Doyle tout en soulignant l’envoûtement qu’a suscité le personnage du célèbre détective à l’époque de la parution originelle. On peut même attester que Dan Simmons réussit le pari de donner, dans son roman, une profondeur psychologique à Holmes, quasi absente des aventures rédigées par Conan Doyle. Henry James, auteur d’euvres dites réellement « littéraires », est celui qui critique dans ce roman la pauvreté littéraire de l’oeuvre de Conan Doyle et qui envie en même temps le succès de Sherlock Holmes qui reste ancré dans l’imaginaire collectif. Loin de jouer le rôle de faire-valoir d’un Watson dans l’oeuvre de Conan Doyle, le personnage d’Henry James devient à la fois le plus grand critique et le plus grand allié de ce Sherlock humanisé. Ajoutons à cela l’idée fort intéressante d’un personnage fictif (Holmes) qui se questionne sur sa réalité, alors qu’effectivement, beaucoup de gens croyaient à la véritable existence du détective. Intégrons des célèbres figures historiques de l’époque qui discutent des dernières découvertes en psychologie et de théories philosophiques dans des dialogues savoureux qui font à la fois évoluer l’intrigue et donnent une substance aux personnages. On obtient un roman à la fois intelligent, remplis de rebondissements et qui continue à faire état du surnaturel talent de déduction du détective.J’ai lu l’intégrale des aventures de Sherlock Holmes avant de lire ce roman. Dan Simmons semble ici s’amuser à relever certaines faiblesses de l’oeuvre de Conan Doyle tout en soulignant l’envoûtement qu’a suscité le personnage du célèbre détective à l’époque de la parution originelle. On peut même attester que Dan Simmons réussit le pari de donner, dans son roman, une profondeur psychologique à Holmes, quasi absente des aventures rédigées par Conan Doyle. Henry James, auteur d’euvres dites réellement « littéraires », est celui qui critique dans ce roman la pauvreté littéraire de l’oeuvre de Conan Doyle et qui envie en même temps le succès de Sherlock Holmes qui reste ancré dans l’imaginaire collectif. Loin de jouer le rôle de faire-valoir d’un Watson dans l’oeuvre de Conan Doyle, le personnage d’Henry James devient à la fois le plus grand critique et le plus grand allié de ce Sherlock humanisé. Ajoutons à cela l’idée fort intéressante d’un personnage fictif (Holmes) qui se questionne sur sa réalité, alors qu’effectivement, beaucoup de gens croyaient à la véritable existence du détective. Intégrons des célèbres figures historiques de l’époque qui discutent des dernières découvertes en psychologie et de théories philosophiques dans des dialogues savoureux qui font à la...
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  • Papyriri 25/07/2021
    J ai hésité a critiquer ce livre vu la réputation de l auteur , dont je vous avoue avoir lu il y fort longtemps Hypérion , qui ne m' a laissé aucun souvenir sauf peut-être un ennui brumeux et un arrêt de lecture , je n ai pas renouvelé l expérience depuis ( mais bon chacun ses goûts ) . Revenons donc au présent Tout d abord les personnages Henri James a la place de ce brave Watson pourquoi pas d 'autres continuateurs ont fait croiser des célébrités telles qu'Einstein , Freud etc a mon détective préféré . Mais je n en ai pas vu trop l intérêt le personnage , qui se trimbale un peu des cendres de sa soeur dans une tabatière , qui est un rêve de psy monté sur pattes reste conventionnel et falot . En fait il ne sert qu'a mettre en scène tout un cénacle de riches américains qui vont meubler le vide du scénario avec leur snobisme et les horribles problèmes de leur tristes vies de milliardaires . Iréne Adler est un ectoplasme n 'existant que pour avoir procréé , avec Sherlock , le méchant assassin de service , lui même ombre chinoise vite disparue . Sur le même thème de bébé holmés et maman diva si vous avez l 'occasion de voir un téléfilm de 1976 ( oui c est vieux ) Intitulé "Sherlock Holmes à New york avec Roger Moore dans le rôle titre , Pactrick Mc Nee ( john Steed de chapeau melon ) en Watson , Charlotte Rampling en Iréne et John Huston ( le réalisateur ) en Moriarty foncez , un vrai bijou kitch . Revenons à nos moutons . Je n aime pas trop que l 'on s'e n prenne au personnage pour l équarrir comme s'y était employé consciencieusement Michael Dibdin dans " le dernier défi de S.H " .Même si Doyle avait donné toute licence d'en faire se qui plairait a ses successeurs . Qu' apporte au récit ou même au protagoniste d'être né dans la misère avec un père alcoolique et violent ? De même ou est le plaisir , par l intermédiaire de James de dépiauter 3 nouvelles de Watson pour en montrer certaines incohérences ? On ne demande pas au roi des détectives d'être trop précis , mais de nous faire ouvrir des yeux émerveillés , nous ne souhaitons pas tous que le magicien révèle ses tours . Ou alors jalousie d'auteur, je ne suis pas certain que l oeuvre de M. Simmons égale dans 100 ans la célébrité celle d ' Arthur. D ailleurs comme tous les auteurs il s'expose a lui aussi a être découpé tout vif . Enfin l'histoire " l'énigme du siècle " Yark Yark comme rirait le concombre masqué , si on oublie les petits secrets nauséabonds et les contorsions sociales des gros bourges cités plus haut , sachant que le président n'a PAS été assassiné ça lui fait un sacré croc en jambes a "l énigme du siècle Bien là j ai vraiment été très ( trop ) long alors Hop je sors J ai hésité a critiquer ce livre vu la réputation de l auteur , dont je vous avoue avoir lu il y fort longtemps Hypérion , qui ne m' a laissé aucun souvenir sauf peut-être un ennui brumeux et un arrêt de lecture , je n ai pas renouvelé l expérience depuis ( mais bon chacun ses goûts ) . Revenons donc au présent Tout d abord les personnages Henri James a la place de ce brave Watson pourquoi pas d 'autres continuateurs ont fait croiser des célébrités telles qu'Einstein , Freud etc a mon détective préféré . Mais je n en ai pas vu trop l intérêt le personnage , qui se trimbale un peu des cendres de sa soeur dans une tabatière , qui est un rêve de psy monté sur pattes reste conventionnel et falot . En fait il ne sert qu'a mettre en scène tout un cénacle de riches américains qui vont meubler le vide du scénario avec leur snobisme et les horribles problèmes de leur tristes vies de milliardaires . Iréne Adler est un ectoplasme n 'existant que pour avoir procréé , avec Sherlock , le méchant assassin de service...
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  • Dieselle 11/06/2021
    Henry James est à Paris, bien décidé à en finir avec la vie. Depuis quelques temps, il sombre dans la dépression. Entre le décès de sa sœur Alice dont il ne se remet pas et son travail d’écrivain qui lui demande constamment de se réinventer, il décide de se rendre en bord de Seine pour en finir. Soudain, surgit derrière lui un personnage que James reconnaît immédiatement malgré son déguisement. Sherlock Holmes. Ce dernier vit sous une fausse identité depuis son prétendu décès lors d’un combat avec son ennemi juré, le Pr Moriarty. Étonné de la perspicacité de l’écrivain, Holmes ne nie pas sa véritable identité et lui confie avoir survécu et être sur une affaire de la plus haute importance. Il est en effet chargé de résoudre le meurtre de Clover Adams. Il se trouve que James a bien connu Clover et son cercle d’amis, ils formaient un club de lettrés dans la haute bourgeoisie américaine. Pour lui, il est clair que la mort de Clover est un suicide et non un meurtre comme le prétend Holmes. Mais ce dernier lui apprend que chaque année, tous les membres de ce cercle d’amis reçoivent une carte sur laquelle il est écrit : « elle a été assassiné ». Holmes entraîne alors James dans cette enquête qui les fera voyager jusqu’aux États Unis. Avis personnel C’est un excellent Roman ! Le narrateur omniscient est plein d’humour et en même temps, il ne s’impose pas trop au lecteur. Les problèmes psychologiques de Henry James et surtout ceux de Holmes sont très intéressants à suivre. En effet, Holmes n’est-il pas qu’un personnage de fiction, né de la plume conjointe de Watson et de Doyle ? James semble confondre les personnages de roman et les personnes réelles. Jusqu’au bout, je me suis demandé si Holmes n’était pas simplement inventé par James, personnage fictif capable de faire tout ce que James n’ose pas faire lui même. Holmes, qu’il soit réel ou inventé par l’esprit imaginatif de James, l’aide à reprendre pieds dans la réalité, il l’aide à trouver un intérêt à la vie. C’est un roman extrêmement bien fait, avec un style à la fois original et irréprochable à mon avis. Je suis conquise. Henry James est à Paris, bien décidé à en finir avec la vie. Depuis quelques temps, il sombre dans la dépression. Entre le décès de sa sœur Alice dont il ne se remet pas et son travail d’écrivain qui lui demande constamment de se réinventer, il décide de se rendre en bord de Seine pour en finir. Soudain, surgit derrière lui un personnage que James reconnaît immédiatement malgré son déguisement. Sherlock Holmes. Ce dernier vit sous une fausse identité depuis son prétendu décès lors d’un combat avec son ennemi juré, le Pr Moriarty. Étonné de la perspicacité de l’écrivain, Holmes ne nie pas sa véritable identité et lui confie avoir survécu et être sur une affaire de la plus haute importance. Il est en effet chargé de résoudre le meurtre de Clover Adams. Il se trouve que James a bien connu Clover et son cercle d’amis, ils formaient un club de lettrés dans la haute bourgeoisie américaine. Pour lui, il est clair que la mort de Clover est un suicide et non un meurtre comme le prétend Holmes. Mais ce dernier lui apprend que chaque année, tous les membres de ce cercle d’amis reçoivent une carte sur laquelle il est écrit...
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