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Nouveauté
Le Déversoir
Date de parution : 28/03/2024
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Le Déversoir

Date de parution : 28/03/2024
Le premier recueil de poésie d'Arthur Teboul, auteur et chanteur du groupe Feu! Chatterton.
« Que trouverez-vous dans ce livre ?
98 poèmes minute.
Qu'est-ce qu'un poème minute ?
C'est un poème instantané (comme une photographie
ou une soupe), souvent en prose, écrit en
un temps compté, entre cinq...
« Que trouverez-vous dans ce livre ?
98 poèmes minute.
Qu'est-ce qu'un poème minute ?
C'est un poème instantané (comme une photographie
ou une soupe), souvent en prose, écrit en
un temps compté, entre cinq et sept minutes.
Écrit à toute vitesse pour subjuguer la conscience
de soi et l'étourdir, afin de laisser libre cours
à ce qui...
« Que trouverez-vous dans ce livre ?
98 poèmes minute.
Qu'est-ce qu'un poème minute ?
C'est un poème instantané (comme une photographie
ou une soupe), souvent en prose, écrit en
un temps compté, entre cinq et sept minutes.
Écrit à toute vitesse pour subjuguer la conscience
de soi et l'étourdir, afin de laisser libre cours
à ce qui traverse l'esprit. C'est une divagation,
sans volonté, sans technique ni logique,
hors de toute préoccupation esthétique et morale.
Si on ne se laisse pas intimider par cette langue de l'enfance
et de l'inconnu, le réel s'offre dans une profondeur nouvelle.
La vitalité du geste délivre une vérité.
Un poème minute est toujours vrai. D'une vérité, peut-être, qu'on ne voudrait pas connaître. D'une vérité qui nous rend – comme toutes les vérités, au fond – vulnérables. »
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EAN : 9782266342759
Code sériel : 19390
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 272
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266342759
Code sériel : 19390
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 272
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Arthur Teboul est d’abord un poète. » 
Marianne

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Stelphique 07/04/2024
    #x26f2Chronique#x26f2 C’est dimanche. Dimanche matin, pour être plus précise. Le matin est une occasion, l’occasion de faire quelque chose, comme lire, écrire des poèmes minute. Vite, vite. Avant que la matinée ne passe, que le moment s’envole. Toujours vite, pour grappiller un peu de plaisir, un peu de beauté, un peu d’évidence. Sans réfléchir, les prendre pour ce qu’ils sont. Là. Ils sont là. Vivants. Visibles, introuvables, malicieux, goguenards, irrévérencieux, puissants, indolores, sifflants, insaisissables, inédits. Une centaine. De quoi se remplir. De la joie en puissance. Des mots en équilibre. Des photographies déversées. Des impressions fixées. L’exercice n’est pas simple, et pourtant, il n’y a rien de compliqué. La poésie est le ramassis des morceaux de nous, d’eux, du monde, de la ville, du ciel, de gloire, d’incertitudes et d’innombrables questions sans réponses. Ramassis d’une indomptable volonté candide. Le Déversoir à cette incandescence. Tu sais que tu sois sur une pelouse ou sur un building, la poésie sera présente. Elle cuira le poète. Elle réveillera les aubes. Déversera son autorité. Rien ne l’empêche la poésie. Vaut mieux t’y faire. Prends donc un stylo, et va te mettre en déflagration. Teste l’automatisme. Perd-toi en fatrasie. Essaye. Recommence. Déverse. Recueille la nuit, le jour, l’offrande, le plastique rose, une chanson, le diagnostic, l’aubépine…De ton œil nu, cherche la joie. Et reste bien focus dessus. Car lire ce déversoir c’est accéder à une vérité plus haute. Être aligné. Aligné en prose, aligné en vers, aligné noir sur blanc, blanc sur noir. Aligné à la vitalité, à la vulnérabilité, à la jubilation. De mes yeux verts, j’ai tout absorbé. Tout a débordé. J’ai arrêté une course frénétique virtuelle pour quelques minutes de beauté joyeuse. Quelque minutes arrachées au nulle part, à l’horizon, à l’espoir. Minute précieuse que de se perdre en une poésie qui ne peut mentir. Retrouver les associations incohérentes et voir ce que ça fait en-dedans. La lumière, l’ombre, l’émotion. Fugace sensation réjouissante que de se mettre en coalition avec ce contre-pouvoir. Et aimer de tout son cœur, l’étourdissement. Aimer le Feu. Aimer ce dimanche matin, où les minutes prennent la vérité du besoin. Aimer l’allégeance, y re-prêter serment avec conviction. Aimer déverser les étoiles de mes yeux verts, sur vos ciels pixels, quand Le Déversoir ouvre un horizon constrictor…Dis moi, dis-moi, vas-tu entendre leurs clapotis? Gratitude et ancrage ce matin, avec la douceur flamboyante d’Arthur Teboul#x1faf6#x26f2Chronique#x26f2 C’est dimanche. Dimanche matin, pour être plus précise. Le matin est une occasion, l’occasion de faire quelque chose, comme lire, écrire des poèmes minute. Vite, vite. Avant que la matinée ne passe, que le moment s’envole. Toujours vite, pour grappiller un peu de plaisir, un peu de beauté, un peu d’évidence. Sans réfléchir, les prendre pour ce qu’ils sont. Là. Ils sont là. Vivants. Visibles, introuvables, malicieux, goguenards, irrévérencieux, puissants, indolores, sifflants, insaisissables, inédits. Une centaine. De quoi se remplir. De la joie en puissance. Des mots en équilibre. Des photographies déversées. Des impressions fixées. L’exercice n’est pas simple, et pourtant, il n’y a rien de compliqué. La poésie est le ramassis des morceaux de nous, d’eux, du monde, de la ville, du ciel, de gloire, d’incertitudes et d’innombrables questions sans réponses. Ramassis d’une indomptable volonté candide. Le Déversoir à cette incandescence. Tu sais que tu sois sur une pelouse ou sur un building, la poésie sera présente. Elle cuira le poète. Elle réveillera les aubes. Déversera son autorité. Rien ne l’empêche la poésie. Vaut mieux t’y faire. Prends donc un stylo, et va te mettre en déflagration. Teste l’automatisme. Perd-toi en fatrasie. Essaye. Recommence. Déverse. Recueille la nuit, le...
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  • hillingrid 05/03/2024
    Dans sa préface, le leader de Feu Chatterton explique que : "La poésie est un contre pouvoir. Ce n'est pas anodin qu'elle soit un secret si bien gardé. Emparons-nous de ce feu". "La poésie est une attention, une délicate attention". "Le déversoir" est un recueil de courts textes écrits selon le concept de poème minute, entre 5 7 minutes. Ce recueil fait place à des poèmes, des textes qui se dégustent et se lisent avec délectation. J'ai savouré chaque mot, j'y ai apposé des post-it pour y revenir plus tard, pour relire ces mots qui m'ont touché, émerveillé. C'est parfois surréaliste mais c'est ce qui fait l'originalité des écrits d'Arthur Teboul. L' émotion, la vivacité, la drôlerie des pensées de l'auteur vous cueillent et vous émeuvent. Laissez-vous attraper par les mots du poète de l'enfance et de l'imaginaire qui laisse libre court à ses pensées. Puis prenez exemple sur lui et tenter d'écrire votre poème minute sans y réfléchir vraiment, laissez votre plume courir sur une feuille et peut-être serez-vous surpris par votre imagination. "Ce que l'on s'autorise à espérer Prends racine quelque part"
  • Pasoa 03/03/2024
    Prendre rendez-vous. Se rendre à l'adresse indiquée, entrer dans l'espace réservé (feutré). Une table, des chaises. Rencontre avec Arthur Teboul. Après les civilités d'usage, s'asseoir et lui donner votre prénom puis patienter quelques instants, en silence. L'écrivain est en train de composer pour vous un poème-minute. Ne pas le regarder écrire, cela risquerait de le déstabiliser. Un instant plus tard, quelques minutes seulement, le poème achevé, l'auteur vous en fait la lecture et vous le remet en mains propres. le poème est à présent le vôtre. Après quelques mots échangés avec l'auteur, quitter le Cabinet d'écriture. Inspirée de l'écriture automatique des surréalistes, l'initiative d'Arthur Teboul est en soi originale et singulière. Elle me rappelle un peu celle du grand poète américain Richard Brautigan qui, en 1966-1967, distribuait ses poèmes en pleine rue aux passants. Que dire de plus de ce projet d'écriture de poème-minute ? Même si André Breton aimait à dire que « Tout acte porte en lui-même sa justification, […] que la moindre glose est de nature à l'affaiblir », je vais essayer d'en dire quelque chose. Le poème-minute est en soi une véritable performance d'écriture. La maîtrise du style, le champ lexical, le pouvoir imaginaire d'Arthur Teboul sont en soi assez remarquables. Certains textes sont très beaux, comme À Bobin (poème dédié à Christian Bobin à qui Arthur Teboul voue une grande admiration), La nuit habituelle, ou encore La Petite empreinte : « Reviens le brumeux matin des espoirs enivrés. L'écume parlait à la mer par-dessus. On entendait l'embrun et les cris des oiseaux indélébiles et la main invisible qui les promenait faisait du vent. Un château tout au bout de la digue, luminescent. Une pierre brillait en sa hauteur, on aurait dit un miroir très lointain ou une pierre précieuse, très précieuse. Rappliquant, le chien sur le bord de la plage haletait en trottant, langue pendue comme tous les chiens. Ah le bord de la mer, on n'y reste pas longtemps mais l'impression est profonde, c'est une empreinte même, comme sur le sable mouillé, mieux que le sceau de l'intaille du plus grand des rois humains. Une petite empreinte de pied. De ton pied d'enfant. » Cependant, tout n'est pas égal dans le recueil. de nombreux textes cèdent au prétexte du temps imparti à l'écriture et n'ont pas le retentissement escompté. Les poèmes minute nés d'un projet ambitieux et louable, portent pourtant en eux une certaine contradiction. La poésie, comme la littérature en général, est un moment particulier, privilégié, qui requiert du temps, une attention particulière, un certain retrait du monde qui nous entoure, qui poursuit alors sa course sans nous. L'idée d'écrire des poèmes en quelques minutes me semble aller à l'encontre de tout ça. le poème-minute, c'est écrire sans perdre de temps, c'est s'enfermer dans un souci « d'efficacité », dans un dépassement de soi et des contraintes liées à l'écriture. Même si avec le Déversoir, les Éditions Seghers publient ici quelques-uns de ses nombreux poèmes, l'initiative d'Arthur Teboul, comme celles de beaucoup d'autres poètes de sa génération, porte en elle le désir de promouvoir une poésie qui ne soit plus seulement celle des livres, qui ne soit plus seulement à lire, qui sorte des sentiers battus. Le Cabinet d'écriture (lieu d'un rendez-vous entre un auteur et son lecteur) et les Poèmes minute (un poème-objet qui atteste de la rencontre) sont quelques-uns des marqueurs d'un nouveau courant poétique très actif, très imaginatif, qui s'affranchit des normes jusque-là encloses de la poésie, où pointe cependant une part d'incertitude : « L'armure scintillante Je ne sais vraiment pas où cela me mène. J'avoue avoir quelques craintes. Je me sens vulnérable, à moitié nu. C'est assez difficile de persévérer dans la désinvolture. Rester léger, s'y tenir. Il y a quelque chose de paradoxal dans la démarche. Faire durer le geste. Sans gesticuler. Je fais comme si je gardais mon sang-froid. Je fais comme si tout cela n'avait que peu d'importance. Mais c'est faux. Je prie pour que ça marche. Je durcis l'armure scintillante. Puisse-t-elle éblouir quiconque la verra portée. Pourquoi s'accrocher si fermement à cette entreprise dérisoire? S'accrocher à l'ombre d'un oiseau qui passe. À ce fétu de paille emporté par le vent. Je voudrais dire Laisse-toi aller Laisse-toi porter Tout flotte Je n'y crois pas moi-même Mes pieds sont lourds comme des pierres envasées dans le lit d'un ruisseau Et je ne vous parle pas de ma tête punitive. » .Prendre rendez-vous. Se rendre à l'adresse indiquée, entrer dans l'espace réservé (feutré). Une table, des chaises. Rencontre avec Arthur Teboul. Après les civilités d'usage, s'asseoir et lui donner votre prénom puis patienter quelques instants, en silence. L'écrivain est en train de composer pour vous un poème-minute. Ne pas le regarder écrire, cela risquerait de le déstabiliser. Un instant plus tard, quelques minutes seulement, le poème achevé, l'auteur vous en fait la lecture et vous le remet en mains propres. le poème est à présent le vôtre. Après quelques mots échangés avec l'auteur, quitter le Cabinet d'écriture. Inspirée de l'écriture automatique des surréalistes, l'initiative d'Arthur Teboul est en soi originale et singulière. Elle me rappelle un peu celle du grand poète américain Richard Brautigan qui, en 1966-1967, distribuait ses poèmes en pleine rue aux passants. Que dire de plus de ce projet d'écriture de poème-minute ? Même si André Breton aimait à dire que « Tout acte porte en lui-même sa justification, […] que la moindre glose est de nature à l'affaiblir », je vais essayer d'en dire quelque chose. Le poème-minute est en soi une véritable performance d'écriture. La maîtrise du style, le champ lexical, le pouvoir imaginaire d'Arthur Teboul sont...
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  • dupuisjluc 03/01/2024
    Un recueil de texte d'Arthur Teboul du groupe Feu! Chatterton. Des textes très divers, des poèmes minutes comme il les nomme, entre prose et poésie sur des sujets très variés. Comme souvent dans ce genre de livres, certains textes m'ont fortement touchés et d'autres beaucoup moins... Un ouvrage à lire comme on picore, petit à petit afin de s'imprégner de chaque atmosphère...
  • le_Bison 31/12/2023
    "Journal d'une nuit espérée, rendue triste par la situation en général. Il est douloureux d'imaginer que cela aurait pu être autrement. Roulis d'un soir sans crépitement, je devinais sous la profonde écriture un sens caché aux choses du monde qui attendent une heure. Qui attendent leur heure. Que quelqu'un nous donne l'heure. Avez-vous l'heure ?" Je regarde ma montre. Peu m'importe l'heure, le temps qu'il fait dehors. Je regarde l'eau couler sur la fenêtre du salon. Un type devant un clavier, une tasse de thé, parfum pu-ehr. Une platine qui défile les titres, disque de Feu Chatterton ! Donc, ma montre me dit que j'ai cinq minutes pour finir mon pu-ehr, j'aime bien ce nom, et cinq autres avant de décapsuler une bière. Le temps est compté, mais le temps ne compte pas pour la poésie. Poésie dite minute, écrite sur l'instant, sans réfléchir. Comme un brouillon de la pensée. Alors, tu veux mon avis ? C'est bien pour ça qu'on est là. Mais mon avis n'a que peu d'importance dans ce monde-là. Après tout c'est comme des nouvelles, on en pioche une, on aime bien, on en pioche une seconde, on aime moins, mais on continue, on trouve une belle phrase, on la note, on essaie de s'en souvenir, on la garde pour soi. Et on l'écrit ici, par exemple. "Dans le noir la pudeur n'a plus d'ennemi." Puis on referme le livre et on le ré-ouvre. D'une facilité déconcertante, comme pour décapsuler une bière ou caresser les jambes d'une femme. Mais si le véritable intérêt d'un tel bouquin était de donner envie de prendre un stylo, ou de se mettre devant son clavier, et de jeter sur le papier, ou sur l'écran, quelques phrases comme ça, comme on jetterait quelques brindilles dans la cheminée pour animer la flamme de la beauté, du souvenir ou de la poésie. Un instantanée de l'inspiration, pas besoin d'être écrivain ou musicien, les notes défilent dans la tête, faut juste les coucher sur un morceau de papier toilette, un carnet moleskine ou un prospectus qui promet de te démarabouter. Sans se prendre pour Arthur... Rimbaud ou Teboul... et prendre du plaisir à écrire son spleen. Merci A. Sans idée de départ, je balance au vent un mot et c'est parti. Bière, un mot qui coule de source, pour ce type-là, moi. De son esprit, il cherche la rime, une pierre qui ricoche dans sa tête avant de faire des ronds sur le lac éclairé par une lune d'un bleu indécent. Elle file au-delà de l'horizon, pierre devient boule et roule, roule, comme sur un déhanché de Mick Jagger, avant de sombrer dans l'écume de mon verre. Le barman vient de jeter un shot de whisky dans la pinte de bière qui attend seule sur le comptoir collant, des souillures de cacahuètes à son pied. Une voisine, parfumé de l'absence et de jasmin, s'assoit à coté et sourit face à la solitude de ce verre. Scène d'une tristesse terrible, ne trouves-tu pas. "Journal d'une nuit espérée, rendue triste par la situation en général. Il est douloureux d'imaginer que cela aurait pu être autrement. Roulis d'un soir sans crépitement, je devinais sous la profonde écriture un sens caché aux choses du monde qui attendent une heure. Qui attendent leur heure. Que quelqu'un nous donne l'heure. Avez-vous l'heure ?" Je regarde ma montre. Peu m'importe l'heure, le temps qu'il fait dehors. Je regarde l'eau couler sur la fenêtre du salon. Un type devant un clavier, une tasse de thé, parfum pu-ehr. Une platine qui défile les titres, disque de Feu Chatterton ! Donc, ma montre me dit que j'ai cinq minutes pour finir mon pu-ehr, j'aime bien ce nom, et cinq autres avant de décapsuler une bière. Le temps est compté, mais le temps ne compte pas pour la poésie. Poésie dite minute, écrite sur l'instant, sans réfléchir. Comme un brouillon de la pensée. Alors, tu veux mon avis ? C'est bien pour ça qu'on est là. Mais mon avis n'a que peu d'importance dans ce monde-là. Après tout c'est comme des nouvelles, on en pioche une, on aime bien, on en pioche une seconde, on aime moins, mais on continue, on trouve une belle...
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