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Le Goût du soleil
Date de parution : 01/02/2018
Éditeurs :
Pocket

Le Goût du soleil

Date de parution : 01/02/2018
Dans ces terres cévenoles gorgées de soleil où il a trouvé refuge, le Catalan Emilio incarne, malgré lui, la figure de l’estranger. Ouvrier agricole au domaine des Grandes Terres, respecté... Dans ces terres cévenoles gorgées de soleil où il a trouvé refuge, le Catalan Emilio incarne, malgré lui, la figure de l’estranger. Ouvrier agricole au domaine des Grandes Terres, respecté pour son sérieux et son expertise de la vigne, le jeune homme n’oublie pas les siens et la sourde menace... Dans ces terres cévenoles gorgées de soleil où il a trouvé refuge, le Catalan Emilio incarne, malgré lui, la figure de l’estranger. Ouvrier agricole au domaine des Grandes Terres, respecté pour son sérieux et son expertise de la vigne, le jeune homme n’oublie pas les siens et la sourde menace qui plane sur son pays.
En cette année 1936, alors qu’un grand reporter lui propose de l’accompagner en Espagne en tant qu’interprète pour couvrir le conflit qui, déjà, gronde de l’autre côté de la frontière, Emilio doit choisir. Entre deux pays, deux amours et deux destins…

« Un roman riche et dense, bien documenté, qui parle de différence, d’exil, de fraternité et bien sûr d’amour. » L’Est éclair

« À lire d’une traite… » Le Courrier indépendant
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EAN : 9782266278300
Code sériel : 17030
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266278300
Code sériel : 17030
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 544
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un roman riche et dense, bien documenté, qui parle de différence, d'exil, de fraternité et bien sûr d'amour. » L'Est-Éclair

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Caran 15/02/2024
    J’étais loin de me douter dans quoi j’étais en train de me lancer en attaquant la lecture de ce roman. De base, ce roman possède une double étiquette sur le site où j’ai mes petites habitudes, à savoir littérature du terroir et surtout, ma bête noire, la romance. Ouais, j’étais en train de fournir mon petit effort de l’année pour ce genre et avec ce roman, je me suis senti épargné. En effet, la romance est bien présente mais tellement en arrière plan que, sur le moment, je me suis interrogé. Par contre, cette œuvre aurait mérité une troisième étiquette de genre car elle prend une sacrée grosse place : l’historique. Ici, on replonge dans la seconde guerre mondiale et même j’ai lu beaucoup de romans dédiés à ce sujet, je ne savais pas presque rien au sujet d’un pays se situant de l’autre côté de l’une de nos frontières : l’Espagne. Avec ce bouquin, d’importantes lacunes sont désormais comblées. Après ces quelques lignes, l’heure est venue pour moi de rédiger mes fameuses listes. Point négatif : • Un seul et pas des moindres. Pour une fois, j’ose me plaindre du manque de place pour la romance. Cette dernière parvient à s’exprimer mais faiblement. Comme j’ai su l’expliquer quelques lignes plus haut. Bizarrement, j’étais en demande. Comme quoi, avec l’âge, les goûts et les couleurs sont appelés à changer… Et j’en suis le premier étonné. Points positifs : • La taille aléatoire des chapitres. • Au tout début, la grosse dose massive d’historique m’a posé problème. En effet, je voulais lire une petite littérature de terroir et là, je tombe sur ce genre. Sur le moment, j’ai considéré ce roman comme une belle arnaque mais au fur et à mesure de mon avancée, mon avis a totalement changé et j’ai su apprécier cette histoire à sa juste valeur. • Mine de rien, nos sentiments et nos émotions sont bousculés avec ce roman et c’est ce que j’aime. Des trahisons, des retrouvailles, des morts atroces… Tantôt je criais à l’injustice et parfois, je me sentais heureux quand le karma s’en mêlait. Toutefois, le destin n’était pas tendre avec ce pauvre Emilio et je croisais les doigts pour que ses jours s’améliorent. C’est un homme qui mérite le respect et son histoire se doit d’être connue. • Même si je n’ai su m’attacher à un ou des personnages, il y en a deux, par contre, qui ont su m’agacer fortement. Pierre, un membre de la famille Rochefort et la propre sœur de Justine. Avec le premier, c’est une réalité propre à l’historique qui s’exprime tandis qu’avec Irène, c’est la romance qui tente de retrouver ses droits. Néanmoins, l’un comme avec l’autre, Emilio n’est pas épargné.J’étais loin de me douter dans quoi j’étais en train de me lancer en attaquant la lecture de ce roman. De base, ce roman possède une double étiquette sur le site où j’ai mes petites habitudes, à savoir littérature du terroir et surtout, ma bête noire, la romance. Ouais, j’étais en train de fournir mon petit effort de l’année pour ce genre et avec ce roman, je me suis senti épargné. En effet, la romance est bien présente mais tellement en arrière plan que, sur le moment, je me suis interrogé. Par contre, cette œuvre aurait mérité une troisième étiquette de genre car elle prend une sacrée grosse place : l’historique. Ici, on replonge dans la seconde guerre mondiale et même j’ai lu beaucoup de romans dédiés à ce sujet, je ne savais pas presque rien au sujet d’un pays se situant de l’autre côté de l’une de nos frontières : l’Espagne. Avec ce bouquin, d’importantes lacunes sont désormais comblées. Après ces quelques lignes, l’heure est venue pour moi de rédiger mes fameuses listes. Point négatif : • Un seul et pas des moindres. Pour une fois, j’ose me plaindre du manque de place pour la romance. Cette dernière parvient à...
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  • rugi 07/03/2021
    Le Goût du soleil est un très bon roman sur l'exil, la fraternité, et la guerre civile espagnole qui divisa le pays. C'est très bien documenté pour le côté historique. Quant à la description des terres cévenoles, et bien on s'y croirait. Bref, à lire absolument. J'ai passé de très bons moments...
  • ARMONIE 14/12/2020
    Un bon point à Christian Laborie pour avoir écrit ce livre qui évoque la guerre d'Espagne, la retirade et les camps de concentration dans lesquels les Républicains ont été bien mal traités. Il y a un gros travail de recherche mais dommage que certains points de détail n'aient pas été mieux traités tels que l'horaire des repas en Espagne en 1937 qui étaient les mêmes qu'en France jusqu'en 1941, la "quinta del biberon" ces adolescents partis à la guerre du côté républicain et qui étaient nés en 1920 et 1921 (et non en 1941 comme indiqué dans le livre), et nos deux catalans qui se nomment Alvarez et García alors qu'il y a tant de patronymes catalans. même s'il est vrai qu'il y a aussi d'authentiques catalans portant des patronymes espagnols.
  • alger70 10/06/2019
    très agréable a lire
  • latina 06/06/2019
    En ces temps de proches vacances, je suis certaine que beaucoup pensent à l’Espagne. D’autres ont en tête de belles régions de France, comme les Cévennes, le Languedoc. Ah les vignes sucrées sous le soleil, les Pyrénées majestueuses, le lumineux pays catalan... Pourtant, que de vicissitudes ont-elles connues, ces régions traversées par les touristes ! Que de chocs, que de peines, que de combats, que de malheurs et de victoires ! Le goût du soleil, Christian Laborie veut le partager avec nous, après ces âpres combats, à travers la personne d’Emilio Alvarez, un jeune Catalan ayant quitté son village de Montserrat ainsi que sa fiancée afin de pouvoir gagner un peu d’argent pour en faire profiter sa famille. Sur les terres de vignes de Mr Lansac, il y rencontrera ses filles. Rencontre ô combien déterminante... Et puis la guerre civile espagnole le cueille et l’entraine à la suite d’amis français. Guerre civile de tous les dangers, de toutes les surprises... La Retirada le voit également faire partie de ses rangs, énorme afflux de réfugiés espagnols ne voulant pas vivre le joug franquiste. Retirada et son pendant ignoble, les camps de concentration français, préfigurant la guerre mondiale qui suit. La misère, la détention, la torture, la mort d’êtres proches, Emilio connaitra tout cela. Mais aussi l’amour. Ce goût du soleil m’a paru un peu fade, à vrai dire. Et même très fade. Si j’ai été très intéressée par la Retirada, dont j’avais jusque maintenant entendu parler de façon très succincte, je me suis ennuyée à la lecture des amours d’Emilio, amours racontées sans grande psychologie ! Soit tout nous est ressassé pour bien nous faire comprendre les réactions des personnages (mais oui, Mr Laborie, on a compris !!), soit les réactions de ceux-ci sont tellement prévisibles et sans aucun relief que cela en devient risible. Bref, je n’ai guère aimé ces personnages peu consistants. Et le style « fluide » (que je déteste ce mot qui indique que sous ce fluide, il n’y a rien !) ne relève rien. Mais les faits historiques sont bien complets, et l’on peut s’instruire à cette lecture. L’auteur s’est très bien documenté. Dommage qu’il n’en ait pas fait un essai, tout simplement. Le goût du soleil ? Un goût de trop peu. En ces temps de proches vacances, je suis certaine que beaucoup pensent à l’Espagne. D’autres ont en tête de belles régions de France, comme les Cévennes, le Languedoc. Ah les vignes sucrées sous le soleil, les Pyrénées majestueuses, le lumineux pays catalan... Pourtant, que de vicissitudes ont-elles connues, ces régions traversées par les touristes ! Que de chocs, que de peines, que de combats, que de malheurs et de victoires ! Le goût du soleil, Christian Laborie veut le partager avec nous, après ces âpres combats, à travers la personne d’Emilio Alvarez, un jeune Catalan ayant quitté son village de Montserrat ainsi que sa fiancée afin de pouvoir gagner un peu d’argent pour en faire profiter sa famille. Sur les terres de vignes de Mr Lansac, il y rencontrera ses filles. Rencontre ô combien déterminante... Et puis la guerre civile espagnole le cueille et l’entraine à la suite d’amis français. Guerre civile de tous les dangers, de toutes les surprises... La Retirada le voit également faire partie de ses rangs, énorme afflux de réfugiés espagnols ne voulant pas vivre le joug franquiste. Retirada et son pendant ignoble, les camps de concentration français, préfigurant la guerre mondiale qui suit. La misère,...
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