« Le mix polar/SF dystopique fonctionne très bien, avec comme atout principal le binôme homme/machine, sans oublier un background de qualité. Simple, efficace et diablement intelligent, ce court roman ne peut que plaire à un très large public. »
Les Lectures du Maki
« Court mais dense, désespérant mais vibrant d’humanité, « Les rêves qui nous restent », roman punchy mené tambour battant, laisse son lecteur sonné une fois tournée la dernière page. »
Sur mes brizées
« Boris Quercia est le genre d’auteur qui vous attrape dès le début d’un roman pour vous abandonner décomposé à la dernière ligne. »
Le Nyctalope
« Le mélange policier/science-fictif du roman de Boris Quercia ne peut faire oublier le message finalement très actuel et la réflexion sur nos sociétés fracturées entre pauvres et riches où les affrontements semblent souvent bien superficiels politiquement parlant. Les rêves qui nous restent ne se fait aucune illusion sur l’être humain et suit les différentes chutes de Natalio pour mieux se relever dans un monde en pleine mutation, convoquant des larmes dans la pluie et des espoirs fragiles d’un même geste rageur et salvateur. »
Just a Word
« L’œuvre de Boris Quercia est toujours marqué par une forme de pessimisme ou à tout le moins de désabusement et ce nouveau roman ne fait pas exception. Mais il on y trouve aussi une certaine foi en l’homme, en celui qui, à un moment, et quelles que soient ses raisons, décide de se lever et vient gripper la machine. Ou dans la machine qui va venir gripper les rouages d’une société qui se déshumanise. En tout cas, c’est une fois encore de l’excellente littérature. »
Encore du Noir
« Boris Quercia, dans un récit haletant et sensible, réussit un petit miracle : faire renaître un souffle puissant d’humanité dans un décor où il a été décidé que toute forme de sensibilité était exclue. »
America Nostra
« Entre Blade Runner et Soleil vert, Les rêves qui nous restent distille un profond sentiment de pessimisme et d'insécurité, apanage d'une littérature sinon engagée, du moins concernée, inquiète. Cela avec, toujours, le style nerveux de cet auteur chilien, grand peintre des ambiances névrosées et amateur de coups retors. »
Christophe Laurent / Corse-Matin
« Je dois dire que c’est ce qui m’a le plus convaincu dans Les rêves qui nous restent, le parcours de ces deux êtres fracassés, qui marchent avec des béquilles morales tellement fragiles qu’on se demande quand elles vont les lâcher. Mais qui marchent encore, et agissent pour le mieux, souvent. Qui tentent de trouver des raisons d’exister encore dans un monde qui est tout sauf attirant. Qui cherchent à comprendre pourquoi on doit continuer, dans quelle finalité. Ils traînent une mélancolie extrêmement contagieuse, qui donne envie de ne pas abandonner leur histoire avant la fin, de ne pas les laisser seuls au détour d’un chapitre, de les accompagner jusqu’au bout. »
Le Nocher des Livres
« Un roman noir en pleine dystopie, qui sait cueillir le lecteur intelligemment. Bref et percutant. »
Thibeault Palais / Librairie Metropolis, Bayeux
« J’ai beaucoup apprécié : le style est toujours aussi percutant et l’atmosphère futuriste très réaliste. Coup de coeur ! »
Roman / Librairie Massena, Nice
« Un futur qui ne semble pas si loin où l’auteur ne se contente pas de nous offrir un Blade Runner chilien mais une véritable vision eschatologique profondément humaine, nous rappelant que nous n’avons pas besoin de changement climatique pour nous retrouver au bord de l’extinction. »
Benjamin Spohr / Sauramps Comédie, Montpellier
« Sous couvert d'une enquête policière classique, Quercia donne une réflexion subtile sur l'importance croissante des machines dans tous les domaines, et les conséquences du plus léger dysfonctionnement sur l'ensemble de l'humanité. SAISISSANT ! »
Flore Humblot / Comptoir des Lettres, Paris
« Un nouveau polar de Boris Quercia est toujours une excellente nouvelle. Il nous entraîne cette fois dans un univers dystopique exaltant, celui de la City, une ville dévorée par la corruption et la misère. Difficile alors d'enquêter sans provoquer un raz de marée. Et si notre flic est un déclassé, un abîmé, son acolyte, un androïde bradé n'est pas en reste... Efficace & captivant. »
Lucile / Librairie Cheminant, Vannes
« Dark apocalypse. Natalio, flic tombé au plus bas de l'échelle, se retrouve faute de moyen obligé d’enquêter aidé d'un assistant androïde qui réagit curieusement. Dans une ville en plein délitement, où se trouve la frontière entre humain et artificiel ? Intelligent & captivant dans un univers noir, très noir... »
Mireille / Fnac Lyon Part-Dieu
« Venez chez rêves différents, c'est gratuit ! Natalio doit mener une enquête sur des usurpations d'identité commises dans les usines à rêve de la city... Un mélange très réussi de polar et de SF. Boris Quercia a mis Philip K Dick dans la matrice ! »
Gabriel / Vivement Dimanche, Lyon
« L'histoire est certes placée dans un futur dystopique à souhait, dans lequel un humain ne peut aller sans un androïde, dans lequel les rêves ne sont plus qu'une marchandise artificielle, les codes qui font le polar sont bel et bien présents, comme dans Blade Runner (ou Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ?) de Philip K. Dick. L'enquête, le personnage garant de l'ordre envoyé sur une enquête aux multiples rebondissements, la société au bord de l'effondrement et dépendante des machines, l'ambiance sombre et dure de cette City sans autre nom, les luttes entre les classes sociales... Dans ce court roman au sous-texte puissant, page-turner au héros désabusé et cynique qui cache des lourds traumatismes sans être un cliché, Boris Quercia nous emmène loin et nous fait vraiment réfléchir ! »
Mélanie Daubié / Gibert Saint-Michel, Paris