Lisez! icon: Search engine
Moi, Charlemagne, empereur chrétien
Date de parution : 02/11/2017
Éditeurs :
Pocket

Moi, Charlemagne, empereur chrétien

Date de parution : 02/11/2017
« Dieu a voulu que je sois celui qui décide. J’étais l’empereur, romain et chrétien. »

Au moment de remettre son âme entre les mains du Seigneur, Charlemagne n’éprouve ni peur,...
« Dieu a voulu que je sois celui qui décide. J’étais l’empereur, romain et chrétien. »

Au moment de remettre son âme entre les mains du Seigneur, Charlemagne n’éprouve ni peur, ni doute, ni anxiété. Tout au long de son règne, le roi des Francs a été le fervent défenseur de...
« Dieu a voulu que je sois celui qui décide. J’étais l’empereur, romain et chrétien. »

Au moment de remettre son âme entre les mains du Seigneur, Charlemagne n’éprouve ni peur, ni doute, ni anxiété. Tout au long de son règne, le roi des Francs a été le fervent défenseur de la sainte Église, et a converti à la foi tous les peuples qu’il a vaincus.
C’est avec soin qu’il prépare sa comparution devant Dieu, confiant les principaux actes de sa vie à un jeune et talentueux lettré, Éginhard.
À travers ce dialogue se révèle l’extraordinaire caractère de celui qui construira l’Empire chrétien et les fondements de l’Europe. Et l’on découvre le portrait d’un conquérant implacable mais aussi d’un fin réformateur, amoureux des arts, des lettres et des femmes.

« Un portrait infiniment humain du grand empereur chrétien. » Catherine Lalanne – Le Pèlerin
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266275545
Code sériel : 16955
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266275545
Code sériel : 16955
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 192
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Avec l’art de conteur qu’on lui connaît, l’historien Max Gallo dresse un portrait infiniment humain du grand empereur chrétien. » Catherine Lalanne, Le Pèlerin
« Il en émane une gravité et une authenticité non feinte qui donnent un relief nouveau à ce conquérant implacable, pour lequel Gallo ne cache pas son admiration. » Diane Gautret, Famille chrétienne
« Max Gallo révèle l’extraordinaire caractère, fait d’autorité et d’intelligence délicate, de celui qui, serviteur de l’Église, construit a la fois l’Empire chrétien et les fondements de l’Europe. » Alain Maestracci, Nice-Matin
 

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AvCzar 21/06/2022
    C'est au crépuscule de sa vie que Max Gallo décide de narrer la vie de Carolus Magnus, empereur carolingien. Difficile ne n'y voir qu'une simple coïncidence, l'oeuvre de l'auteur prend la forme d'un "flash-back" littéraire (oralement transmis par l'empereur et transcrit par écrit par le conseiller Eginhard). Au crépuscule de sa vie, l'empereur décide de se livrer sur sa vie et son oeuvre. Max Gallo reste dans ce qu'il maitrise parfaitement. Un mélange entre roman historique et biographie. Une plume pour donner du mouvement à l'histoire, la rendre plus humaine, plus dynamique. L'ouvrage répond très bien à cette volonté, notamment par sa brièveté et sa clarté. Quiconque veut chercher à mieux connaitre la vie et le règne de Charlemagne trouvera ici une première approche adaptée. L'importance de règne est parfois négligée. Il est donc toujours agréable de se pencher sur l'héritage politique et civilisationnel qu'à laissé l'empereur pour l'Europe. Il est à la fois l'unificateur de la chrétienté, le rassembleur des peuples dissidents (Saxons notamment), homme de justice à la fois magnanime et sévère. Alcuin, son plus fidèle conseiller, répandra sa sagesse auprès de son maître. Ensemble ils poseront les bases de l'enseignement moderne. La Chapelle d'Aix sera construite, les missi dominici seront envoyés pour s'assurer de l'application des capitulaires impériales. La défense de la romanité et de la chrétienté sera toujours pour lui un devoir. Les dernières lignes de ce livre sont limpides : "C'est l'écho lointain de nos origines, d'une histoire que rien ne peut effacer, sinon la disparition de notre civilisation". C'est au crépuscule de sa vie que Max Gallo décide de narrer la vie de Carolus Magnus, empereur carolingien. Difficile ne n'y voir qu'une simple coïncidence, l'oeuvre de l'auteur prend la forme d'un "flash-back" littéraire (oralement transmis par l'empereur et transcrit par écrit par le conseiller Eginhard). Au crépuscule de sa vie, l'empereur décide de se livrer sur sa vie et son oeuvre. Max Gallo reste dans ce qu'il maitrise parfaitement. Un mélange entre roman historique et biographie. Une plume pour donner du mouvement à l'histoire, la rendre plus humaine, plus dynamique. L'ouvrage répond très bien à cette volonté, notamment par sa brièveté et sa clarté. Quiconque veut chercher à mieux connaitre la vie et le règne de Charlemagne trouvera ici une première approche adaptée. L'importance de règne est parfois négligée. Il est donc toujours agréable de se pencher sur l'héritage politique et civilisationnel qu'à laissé l'empereur pour l'Europe. Il est à la fois l'unificateur de la chrétienté, le rassembleur des peuples dissidents (Saxons notamment), homme de justice à la fois magnanime et sévère. Alcuin, son plus fidèle conseiller, répandra sa sagesse auprès de son maître. Ensemble ils poseront les bases de l'enseignement moderne. La Chapelle d'Aix sera construite, les...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Tatane72300 01/04/2020
    Encore une superbe oeuvre de Max Gallo. Un livre simple sur qui était Charlemagne. Comme d'habitude, la lecture est facile et l'Histoire se déroule devant nous comme dans un film. L'auteur nous transporte dans le passé d'une manière exceptionnel. Que de regrets de voir disparaitre cet historien. Merci pour votre oeuvre MONSIEUR MAX GALLO.....
  • Marc21 15/10/2016
    Ce court récit de la fin de Charlemagne, a le mérite de tenter de faire vivre ce grand personnage par lui-même, à l'aube de sa vie. En cela il s'agit d'un roman, M.Gallo interprétant ses pensées par son, je pense, long travail de recherche. S'interrogeait-il sur Dieu? S'interrogeait-il sur son oeuvre? S'il l'avait fait, ses fils se seraient-ils entre déchirés? Rien n'est moins sûr, mais ce conte est plaisant à lire.
  • Florel 14/04/2016
    Le ton employé dans ce livre diffère des livres biographiques que j’ai pu lire de cet auteur précédemment. En confiant à Charlemagne le rôle de raconter l’histoire, Max Gallo se pose pour une fois en véritable conteur de l’histoire. Donnant ainsi un côté intime que les autres livres n’avaient pas particulièrement, et qui a eu pour effet immédiat de me plonger directement dans la vie de cet homme quand bien même cette histoire ne me fut pas inconnue. En effet j’ai déjà lu un livre sur Charlemagne de feu Jean Favier, en plus d’avoir vu quelques émissions sur le net de cet empereur, de ce fait je n’ai pas découvert grand-chose sur ce dernier. D’ailleurs je ne rejoins pas forcément l’auteur sur le point de vue de Carloman et j’ai trouvé qu’il manquait certains éclaircissements. Cependant malgré cela j’ai quand même apprécié grandement ce livre, déjà pour l’écriture - comme je le disais pour le côté intime qui nous plonge dans le cœur de cet homme - mais aussi pour le personnage. Déjà lors de ma lecture du Charlemagne de Jean Favier j’avais ressenti une grande sympathie pour l’homme, ce livre n’a fait que confirmer mon impression première. Alors je ne doute pas que le portrait est plus que flatteur sous la plume de Max Gallo, mais toutefois j’ai retrouvé ce Charlemagne simple, aimable, droit, ferme, qui a une soif d’apprendre et de bien faire. Un Charlemagne qui me semble des plus agréables, quand bien même il fut roi guerrier. En plus de cela, j’ai aussi apprécié deux autres points dans ce livre, premièrement l’épilogue qui va montrer le germe de la naissance de quelques pays et la suite des Carolingiens, et deuxièmement cet amour de l’auteur pour l’histoire et son envie de la faire connaître et de la sauver, ce qui passe entre autre par le sauvetage de notre civilisation européenne. Cette mise en garde – ici à la toute fin du livre-, les rappels du passé pour faire référence à l’époque actuelle, sont des idées qui reviennent souvent chez Max Gallo, par exemple dans La chute de l’Empire Romain c’était très présent, mais parce que j’aime l’histoire de France et du monde et parce que comme lui je regrette qu’au nom de la mondialisation et d’autres idées on la bafoue, j’apprécie de voir que derrière ses livres il y a cet idéal, même si ses portraits manquent d’objectivité. En conclusion, c’était un livre fort sympathique à lire, qui ne manque pas d’émotion, mais parce que trop court pour une vie de Charlemagne je n’en fais pas un coup de cœur. Mais si vous voulez décanter le personnage c’est un bon début, allez-y. Le ton employé dans ce livre diffère des livres biographiques que j’ai pu lire de cet auteur précédemment. En confiant à Charlemagne le rôle de raconter l’histoire, Max Gallo se pose pour une fois en véritable conteur de l’histoire. Donnant ainsi un côté intime que les autres livres n’avaient pas particulièrement, et qui a eu pour effet immédiat de me plonger directement dans la vie de cet homme quand bien même cette histoire ne me fut pas inconnue. En effet j’ai déjà lu un livre sur Charlemagne de feu Jean Favier, en plus d’avoir vu quelques émissions sur le net de cet empereur, de ce fait je n’ai pas découvert grand-chose sur ce dernier. D’ailleurs je ne rejoins pas forcément l’auteur sur le point de vue de Carloman et j’ai trouvé qu’il manquait certains éclaircissements. Cependant malgré cela j’ai quand même apprécié grandement ce livre, déjà pour l’écriture - comme je le disais pour le côté intime qui nous plonge dans le cœur de cet homme - mais aussi pour le personnage. Déjà lors de ma lecture du Charlemagne de Jean Favier j’avais ressenti une grande sympathie pour l’homme, ce livre n’a fait que confirmer mon impression première. Alors je ne...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Revesetimagines 18/03/2016
    Max Gallo est pour moi une référence dans le roman historique et j’ai été ravie de pouvoir découvrir ce grand souverain que fut Charlemagne sous la plume de cet auteur. Ce récit a été écrit sous une forme autobiographique. Le grand Charlemagne, vers la fin de sa vie, dictera ses mémoires à Eginhard. Dès lors ce souverain nous contera certains aspects de sa vie, les moments qui l’ont profondément marqué. On découvre un fils qui veut être digne de son père et très respectueux de sa mère qu’il adore (en tout sens du terme). Dans ce livre, nous n’avons pas la vie de Charlemagne point par point mais uniquement certains moments qui montrent le personnage sous un profil plus humain qu’historique. Ainsi on sent son attachement à Bertrande, sa noble mère, à chacune de ses épouses et à ses enfants. Mais plus que tout, c’est à Dieu que le grand homme se dévoue. Son objectif est de christianiser les peuples et les convertir à la seule religion qui, pour lui, est la bonne. Il commet des actes horribles au nom de Dieu. Une grande bataille, celle de Verden contre les Saxons, va particulièrement le marquer. Et même s’il tente de se justifier sous la bannière divine, on sent à travers les lignes que l’horreur reste présente même s'il balaie ses doutes en affirmant que c'est pour Dieu qu'il agit ! Charlemagne m’a apparu à la fois comme un homme imbu de lui-même, se justifiant en affirmant que ses actes étaient pour Dieu et l’Eglise. Mais aussi sous aspect plus fragile ou faible suivant comme on le voit. Je l’ai senti soumis à l’autorité de l’Eglise. Son désir profond était de laisser un héritage chrétien avec un Empire prospère à cette religion. C’était également un homme avide d’apprendre et qui désirait faire partager ce savoir. Ce fut d’ailleurs ce qu’il fit sur le tard de sa vie. Enfin, sous le regard d'Eginhard, on a un aperçu d'un homme qui était craint... Si ce texte est conçu comme un témoignage de sa propre vie, il n’est pas pour autant toujours chronologique. Il arrivera quelques fois même que le narrateur reprenne des évènements dont il avait déjà parlé pour ajouter quelques détails. Max Gallo a écrit ce roman d’une manière très particulière, et j’ai apprécié la façon dont il a tourné le récit. Ce fut une lecture enrichissante pour moi !Max Gallo est pour moi une référence dans le roman historique et j’ai été ravie de pouvoir découvrir ce grand souverain que fut Charlemagne sous la plume de cet auteur. Ce récit a été écrit sous une forme autobiographique. Le grand Charlemagne, vers la fin de sa vie, dictera ses mémoires à Eginhard. Dès lors ce souverain nous contera certains aspects de sa vie, les moments qui l’ont profondément marqué. On découvre un fils qui veut être digne de son père et très respectueux de sa mère qu’il adore (en tout sens du terme). Dans ce livre, nous n’avons pas la vie de Charlemagne point par point mais uniquement certains moments qui montrent le personnage sous un profil plus humain qu’historique. Ainsi on sent son attachement à Bertrande, sa noble mère, à chacune de ses épouses et à ses enfants. Mais plus que tout, c’est à Dieu que le grand homme se dévoue. Son objectif est de christianiser les peuples et les convertir à la seule religion qui, pour lui, est la bonne. Il commet des actes horribles au nom de Dieu. Une grande bataille, celle de Verden contre les Saxons, va particulièrement le marquer. Et même s’il tente de se...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.