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Raphaël, la vérité perdue
Chantal Moiroud (traduit par)
Date de parution : 16/11/2023
Éditeurs :
Pocket

Raphaël, la vérité perdue

Chantal Moiroud (traduit par)
Date de parution : 16/11/2023
Le portrait inattendu de Raphaël
Rome. 1517. Après le départ de Léonard de Vinci et Michel-Ange, Raphaël règne en maître incontesté sur la ville éternelle. Il oeuvre pour les familles les plus puissantes de Rome... Rome. 1517. Après le départ de Léonard de Vinci et Michel-Ange, Raphaël règne en maître incontesté sur la ville éternelle. Il oeuvre pour les familles les plus puissantes de Rome et pour le pape qui le charge notamment de sauvegarder les trésors de l'Antiquité romaine. Car si Raphaël est un... Rome. 1517. Après le départ de Léonard de Vinci et Michel-Ange, Raphaël règne en maître incontesté sur la ville éternelle. Il oeuvre pour les familles les plus puissantes de Rome et pour le pape qui le charge notamment de sauvegarder les trésors de l'Antiquité romaine. Car si Raphaël est un peintre et un architecte au talent incontesté, son charisme fait de lui un maître d'atelier et un entrepreneur hors pair. Trois ans plus tard, il meurt dans d'étranges conditions. La voix officielle parle de vie décousue, mais les proches du maître n'y croient pas. Le poète et grand ami de Raphaël, Pierre l'Arétin, décide de mener son enquête dans un monde où l'austérité de la Réforme est en train de prendre le pas sur la volupté du classicisme romain...

 
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EAN : 9782266338844
Code sériel : 19219
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 336
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266338844
Code sériel : 19219
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 336
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Sanguine 20/02/2022
    J'aime énormément la peinture de Raphaël. Lorsque j'étais ado, j'avais des reproductions sur les murs de ma chambre. Mais je ne connais pas très bien l'artiste, l'homme qu'il était. Aussi lorsque j'ai eu la chance de recevoir Raphaël, la vérité perdue j'étais très contente ! Un immense merci à Babelio mais surtout aux Editions Hervé Chopin pour m'avoir envoyé ce livre. Rome, 1519. Après des années d'efforts et de compromis, après le départ de Michel-Ange et de Léonard de Vinci, Raphaël est enfin le maître incontesté de la capitale. Mais très vite, la Ville éternelle se révèle être un nid de vipères, où envie et hostilité se cachent derrière les sourires de circonstance. Et lorsque le pape Leon X nomme le peintre de génie responsable des fouilles archéologiques romaines, les choses empirent. Je vais commencer par être une fille futile et parler de l'objet livre. Il est juste sublime, la couverture est magnifique et je tenais à le souligner car on a envie de se plonger dans le livre juste en le regardant. Un grand bravo pour ce travail éditorial irréprochable. Je pensais lire une sorte de biographie romancée de Raphaël mais ce n'est pas du tout ce que Francesco Fioretti nous propose dans ce livre. En plus, j'ai trouvé que Raphaël n'était pas assez présent dans cet ouvrage. Finalement, nous allons suivre Pierre l'Arétin tout au long du récit. Je ne le connaissais pas spécialement et j'ai donc appris pas mal de choses à son propos (je partais de tellement loin !). Mais en fait, j'ai eu du mal à plonger vraiment dans le livre, il est vraiment très pointu. Je l'ai trouvé difficile à lire, intéressant oui sans soucis, mais l'auteur nous propose des détails à foison. C'est sans doute un peu trop pour moi et j'ai trouvé le récit assez lourd. Et puis, il y a une masse de personnages que j'ai parfois confondu. L'auteur part du principe que la mort de Raphaël n'a rien de naturel pour construire son récit. C'est intéressant mais je n'ai pas su découvrir ce qui relève de la réalité historique et ce qui relève de l'imagination de l'auteur. Je pense que cet ouvrage s'adresse finalement à des lecteurs assez aguerris à cette partie de l'histoire. Les autres, comme moi, sauront apprécier le livre dans sa globalité mais passeront sans doute à côté de beaucoup de détails et c'est dommage. Une lecture en demie-teinte en ce qui me concerne car elle ne correspondait pas à ce que j'avais prévu ...J'aime énormément la peinture de Raphaël. Lorsque j'étais ado, j'avais des reproductions sur les murs de ma chambre. Mais je ne connais pas très bien l'artiste, l'homme qu'il était. Aussi lorsque j'ai eu la chance de recevoir Raphaël, la vérité perdue j'étais très contente ! Un immense merci à Babelio mais surtout aux Editions Hervé Chopin pour m'avoir envoyé ce livre. Rome, 1519. Après des années d'efforts et de compromis, après le départ de Michel-Ange et de Léonard de Vinci, Raphaël est enfin le maître incontesté de la capitale. Mais très vite, la Ville éternelle se révèle être un nid de vipères, où envie et hostilité se cachent derrière les sourires de circonstance. Et lorsque le pape Leon X nomme le peintre de génie responsable des fouilles archéologiques romaines, les choses empirent. Je vais commencer par être une fille futile et parler de l'objet livre. Il est juste sublime, la couverture est magnifique et je tenais à le souligner car on a envie de se plonger dans le livre juste en le regardant. Un grand bravo pour ce travail éditorial irréprochable. Je pensais lire une sorte de biographie romancée de Raphaël mais ce n'est pas du tout ce que Francesco Fioretti nous...
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  • mika07 18/02/2022
    Plongée contemplative dans la Rome du 16e siècle parmi les architectes, sculpteurs et autres peintres de renom, pour décrypter ni plus ni moins que les causes de la mort d'un maître de ce temps: Raphaël. Après avoir dépeint avec minutie le contexte historique et les principaux acteurs de cette grande époque, des intrigues entre le pouvoir de la papauté et les stratégies des grandes dynastie du Cinquecento jusqu'aux mœurs des mécènes, bâtisseurs et autres artistes qui œuvrent à la grandeur de Rome, l'auteur met au premier plan Pierre L'Arétin, ami de Raphaël, persuadé que ce dernier a été la victime d'une sombre vengeance. Confronté aux changements de papes, à l'instabilité des alliances politiques entre les puissances d'Europe et à la reforme Luthérienne, ce dernier va mener sa propre croisade pour mettre à nu la terrible machination tout en assurant sa propre destinée malgré les turbulences et grands bouleversements de ce temps. Si je me suis parfois un peu perdu entre les personnages et le contexte, c'est avant tout à cause de la richesse de cette époque, pleine de faste et parfaitement reproduite ici par l'auteur, que représente la Haute Renaissance italienne que je connaissais finalement assez peu, sorti des oeuvres, dont celles de Raphaël ou de Léonard de Vinci, accessibles au grand public. Leur découverte et cheminer dans cette période de l'histoire a été un vrai ravissement autant pour l'esprit que pour les yeux puisque j en ai profité pour me remémorer les tableaux et autres fresques grandioses que l'on doit aux grands maitres de ce siècle, véritable âge d'or pour la culture et l'histoire humaine. Ce livre m'a finalement offert ce que seul l'art et la littérature savent sublimer: un moment d'évasion hors du temps.Plongée contemplative dans la Rome du 16e siècle parmi les architectes, sculpteurs et autres peintres de renom, pour décrypter ni plus ni moins que les causes de la mort d'un maître de ce temps: Raphaël. Après avoir dépeint avec minutie le contexte historique et les principaux acteurs de cette grande époque, des intrigues entre le pouvoir de la papauté et les stratégies des grandes dynastie du Cinquecento jusqu'aux mœurs des mécènes, bâtisseurs et autres artistes qui œuvrent à la grandeur de Rome, l'auteur met au premier plan Pierre L'Arétin, ami de Raphaël, persuadé que ce dernier a été la victime d'une sombre vengeance. Confronté aux changements de papes, à l'instabilité des alliances politiques entre les puissances d'Europe et à la reforme Luthérienne, ce dernier va mener sa propre croisade pour mettre à nu la terrible machination tout en assurant sa propre destinée malgré les turbulences et grands bouleversements de ce temps. Si je me suis parfois un peu perdu entre les personnages et le contexte, c'est avant tout à cause de la richesse de cette époque, pleine de faste et parfaitement reproduite ici par l'auteur, que représente la Haute Renaissance italienne que je connaissais finalement assez peu, sorti des oeuvres, dont celles...
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  • Lalitote 06/02/2022
    Nous sommes à Rome au début du XVIe siècle. Raphaël est à la fois peintre, architecte et poète, reconnu comme maître incontesté depuis la disparition de Léonard de Vinci et de Michel-Ange. Son dernier chef-d’œuvre « Transfiguration » reste inachevé ses élèves le termineront. Il meurt en 1520 laissant derrière lui une œuvre importante. On trouve les fresques de la villa Farnesina ainsi que quatre salles du palais pontifical du Vatican décorées de fresques, des portraits romantiques inspirés de sa maîtresse Marguerite, comme la Fornarina. Pourtant il meurt semble-t-il empoisonné un Vendredi Saint à l'apogée de son art, le jour de son anniversaire à 37 ans seulement. Son ami Pierre l'Arétin se lance alors dans une enquête autour des circonstances mystérieuses de sa mort. On va comprendre rapidement toutes les haines, les jalousies et les inimitiés dont était entouré le maestro. Nous allons ainsi découvrir sous la plume de l'auteur ce qu'était la vie à l'époque de la renaissance. Quels étaient les personnages influents, l'ambiance de la cité entre luttes politiques et religieuses, intrigues et rivalités. L'auteur excelle dans la reconstitution des faits et des personnages qu'ils soient modestes ou riches et puissants. On voit aussi toute la trame historique et le grand travail de recherche que l'auteur a du fournir. Un monde bien différent du nôtre même si on retrouve tous les travers des hommes, un monde en évolution où l’austérité est en train de redéfinir les contours de ce qui est permis où pas. Sans oublier un pan plus léger avec les magnifiques courtisanes entre débauche et amour pour sa muse. L'auteur retrace plus de cinq siècle après sa mort, un portrait de Raphaël où l'on enquête sur sa mort en tirant de multiples pistes pour tenter de retrouver une «  vérité perdue », un roman captivant à découvrir. Bonne lecture.Nous sommes à Rome au début du XVIe siècle. Raphaël est à la fois peintre, architecte et poète, reconnu comme maître incontesté depuis la disparition de Léonard de Vinci et de Michel-Ange. Son dernier chef-d’œuvre « Transfiguration » reste inachevé ses élèves le termineront. Il meurt en 1520 laissant derrière lui une œuvre importante. On trouve les fresques de la villa Farnesina ainsi que quatre salles du palais pontifical du Vatican décorées de fresques, des portraits romantiques inspirés de sa maîtresse Marguerite, comme la Fornarina. Pourtant il meurt semble-t-il empoisonné un Vendredi Saint à l'apogée de son art, le jour de son anniversaire à 37 ans seulement. Son ami Pierre l'Arétin se lance alors dans une enquête autour des circonstances mystérieuses de sa mort. On va comprendre rapidement toutes les haines, les jalousies et les inimitiés dont était entouré le maestro. Nous allons ainsi découvrir sous la plume de l'auteur ce qu'était la vie à l'époque de la renaissance. Quels étaient les personnages influents, l'ambiance de la cité entre luttes politiques et religieuses, intrigues et rivalités. L'auteur excelle dans la reconstitution des faits et des personnages qu'ils soient modestes ou riches et puissants. On voit aussi toute la trame historique et...
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  • Natalivre 31/01/2022
    J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération masse critique et j'en remercie les organisateurs et les Editions Hervé Chopin. J'avais choisi ce roman car j'aime beaucoup les peintures de Raphaël et j'avais envie de découvrir davantage l'homme. Or, ce n'est pas du tout une biographie et je dirais même que Raphaël est certes présent, mais on suit davantage son ami et poète Pierre l'Arétin qui nous accompagne tout au long du livre alors qu'on perd Raphaël passé le premier quart. L'auteur part de l'hypothèse que la mort de Raphaël n'est pas une mort naturelle mais due à un empoisonnement, hypothèse envisagée par certains historiens mais impossible à prouver. Il a construit son histoire autour de cela, histoire en 4 parties, les 4 allégories : le beau (l'art), le vrai (la philosophie), le juste (le droit canonique et civil) et le bien (la théologie), représentées sur les murs des chambres du Vatican peintes par Raphaël et son école, que j'ai eu la chance et le bonheur de visiter il y a quelques années. Dans la première partie on suit les derniers mois de la vie de Raphaël avec un rappel du contexte historique de ce début du 16ème siècle et un résumé succinct de la vie de l'artiste. Les trois autres parties sont consacrées à la recherche de la vérité sur sa mort, une sorte de petite enquête menée par Pierre l'Arétin. J'ai un peu de mal à écrire cette critique car ce n'est pas ce à quoi je m'attendais et ça m'a un peu désorienté. Il y a un contexte et une atmosphère indéniablement historique. Pour le reste, il faut un peu démêler le "vrai du faux" et je ne suis pas suffisamment spécialisée dans la matière pour le faire. J'ai tout de même trouvé intéressant cette lecture qui fait revivre la Rome de cette époque là avec l'histoire de ses papes, les nombreuses jalousies et rivalités entre artistes, entre grandes familles... Mais il m'a manqué quelque chose. En tout cas ça m'a donné envie de me replonger dans cet univers et d'en apprendre davantage. J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération masse critique et j'en remercie les organisateurs et les Editions Hervé Chopin. J'avais choisi ce roman car j'aime beaucoup les peintures de Raphaël et j'avais envie de découvrir davantage l'homme. Or, ce n'est pas du tout une biographie et je dirais même que Raphaël est certes présent, mais on suit davantage son ami et poète Pierre l'Arétin qui nous accompagne tout au long du livre alors qu'on perd Raphaël passé le premier quart. L'auteur part de l'hypothèse que la mort de Raphaël n'est pas une mort naturelle mais due à un empoisonnement, hypothèse envisagée par certains historiens mais impossible à prouver. Il a construit son histoire autour de cela, histoire en 4 parties, les 4 allégories : le beau (l'art), le vrai (la philosophie), le juste (le droit canonique et civil) et le bien (la théologie), représentées sur les murs des chambres du Vatican peintes par Raphaël et son école, que j'ai eu la chance et le bonheur de visiter il y a quelques années. Dans la première partie on suit les derniers mois de la vie de Raphaël avec un rappel du contexte historique de ce début du 16ème siècle et...
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  • Aquilon62 21/11/2021
    Rome, 1519. Il a fallu des années d'efforts et de compromis, mais maintenant, lui, Raffaello da Urbino, est un maitre pour tout le monde, LE maitre, en réalité, depuis que Michel-Ange et Léonard sont partis. La Ville éternelle, cependant, s'est avérée être un nid de serpents, et derrière les sourires, il n'y a que de l'envie. Depuis que, le pape Léon X l'a nommé surintendant de l'archéologie romaine, les choses n'ont fait qu'empirer. Rome cache des trésors qui appartiendraient à la papauté, mais beaucoup d'entre eux se trouvent sur les terres des familles nobles les plus influentes, qui ne les abandonneront jamais. Ainsi, coincé entre un pape étranger et les familles dont il veut se complaire, Raphaël décide de dessiner une carte de la Rome impériale. La fugacité des intérêts individuels sera avec le temps minée par un objet impérissable. Et, en attendant, il se consacre entièrement à la peinture, à la Transfiguration et à la femme qu'il aime, Margherita, la Fornarina, sa muse et amante. Quelques mois plus tard, cependant, Raphaël, le banquier Chigi et le cardinal Bibbiena, ses amis et mécènes, moururent dans des circonstances mystérieuses. Une vie désordonnée, dans la version officielle, mais pour Pietro Aretino, un brillant poète et ami, un esprit libre contraint à la solde de maîtres parfois indignes, et pour Margherita, les morts sont l'œuvre d'une même main meurtrière. Et pour le trouver, ils devront dénicher un réseau d'envies, d'anciens mystères et de pactes secrets parmi les alliés les plus impensables. Un peu plus de cinq cents ans après la mort de Raphaël, Francesco Fioretti nous livre un portrait magistral et inédit de lui, pas seulement le maître acclamé, l'architecte convoité, le préfet sur toutes les antiquités déterrées à l'intérieur, ou à un mile à l'extérieur de la ville mais aussi la victime de cette même puissance qui a fait de lui l'un des plus grands interprètes de la Renaissance, la charnière entre le monde de la beauté comme manifestation de Dieu et de l'homme et une ère de répression et de pénitence. Alors tout ceci reste bien entendu un roman mais avouons-le il y a matière à nourrir l'imagination : Raphaël était follement amoureux de Margherita Luti. Il a inclus plusieurs messages à l'intention de sa maîtresse dans deux de ses œuvres : La Fornarina et La Donna Velata. La jeune femme a été son modèle pour les deux célèbres tableaux, et a peint dans ses cheveux, sur chacun d'eux, une perle. En effet, le mot latin "margarita" signifie "perle". Ceci est donc une référence directe au prénom de sa maîtresse. Raphaël expire un 6 avril, jour de son anniversaire et vendredi saint, comme le Christ. Ce qui ne fait que renforcer la légende, qui existait déjà de son vivant. D’autant que lorsqu’il a poussé son dernier souffle, on raconte que les murs du Vatican se sont mis à trembler, et que des crevasses se sont formées, obligeant le pape à déménager dans l'appartement d'un cardinal. Ironie du sort son ultime tableau la transfiguration (un épisode de la vie du Christ où son apparence physique change pendant sa vie sur terre, révélant ainsi sa nature divine), sera achevé par des élèves de son atelier.... Et pour ceux qui voudraient je ne saurais que conseiller la splendide biographie du maître par Antonio Forcellino, Raphaël une vie heureuse. Rome, 1519. Il a fallu des années d'efforts et de compromis, mais maintenant, lui, Raffaello da Urbino, est un maitre pour tout le monde, LE maitre, en réalité, depuis que Michel-Ange et Léonard sont partis. La Ville éternelle, cependant, s'est avérée être un nid de serpents, et derrière les sourires, il n'y a que de l'envie. Depuis que, le pape Léon X l'a nommé surintendant de l'archéologie romaine, les choses n'ont fait qu'empirer. Rome cache des trésors qui appartiendraient à la papauté, mais beaucoup d'entre eux se trouvent sur les terres des familles nobles les plus influentes, qui ne les abandonneront jamais. Ainsi, coincé entre un pape étranger et les familles dont il veut se complaire, Raphaël décide de dessiner une carte de la Rome impériale. La fugacité des intérêts individuels sera avec le temps minée par un objet impérissable. Et, en attendant, il se consacre entièrement à la peinture, à la Transfiguration et à la femme qu'il aime, Margherita, la Fornarina, sa muse et amante. Quelques mois plus tard, cependant, Raphaël, le banquier Chigi et le cardinal Bibbiena, ses amis et mécènes, moururent dans des circonstances mystérieuses. Une vie désordonnée, dans la version officielle, mais pour Pietro Aretino, un brillant poète et ami,...
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