Lisez! icon: Search engine
Terreur
Jean-Daniel Brèque (traduit par)
Date de parution : 07/10/2010
Éditeurs :
Pocket

Terreur

Jean-Daniel Brèque (traduit par)
Date de parution : 07/10/2010

Le 19 mai 1845, le HMS Erebus et le HMS Terror quittent l'Angleterre sous les vivats de la foule. Avec ces navires, le vénérable sir John Franklin entend enfin percer...

Le 19 mai 1845, le HMS Erebus et le HMS Terror quittent l'Angleterre sous les vivats de la foule. Avec ces navires, le vénérable sir John Franklin entend enfin percer le mythique passage du Nord-Ouest. Mais à l'enthousiasme succèdent bientôt la désillusion, puis le drame... Mal préparée, équipée et dirigée,...

Le 19 mai 1845, le HMS Erebus et le HMS Terror quittent l'Angleterre sous les vivats de la foule. Avec ces navires, le vénérable sir John Franklin entend enfin percer le mythique passage du Nord-Ouest. Mais à l'enthousiasme succèdent bientôt la désillusion, puis le drame... Mal préparée, équipée et dirigée, l'expédition se retrouve prisonnière des glaces et de la nuit polaire. La mort frappe. La maladie se répand. La faim, la mutinerie et la folie couvent. Et rôde une mystérieuse et terrifiante créature, incarnation des peurs ancestrales de l'homme face aux éléments.

Le 19 mai 1845, cent vingt-neuf hommes partaient pour un voyage au bout de l'enfer blanc. Combien en reviendront vivants ?

« Tout le livre, parsemé de descriptions hallucinantes de l'enfer blanc, à la fois terrifiant et poétique, est porté par un souffle qui en fait bien plus qu'un page turner accompli. »
Hubert Prolongeau – L'Obs

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266191173
Code sériel : 13978
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 1056
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266191173
Code sériel : 13978
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 1056
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« (...) tout le livre, parsemé de descriptions hallucinantes de l'enfer blanc, à la fois terrifiant et poétique, est porté par un souffle qui en fait bien plus qu'un page turner accompli. »

Hubert Prolongeau - Le Nouvel Observateur

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Darlic 09/02/2023
    Idée de départ / Accroche du début de livre : 8/10 Développement des personnages : 8/10 Style de l'écriture : 8/10 Rendu de l'histoire : 7/10 Total 31/40 Babelio 4/5 Gros pavé pour finir 2022 et commencé 2023. Après l’abominable qui m’avait attrapé par les tripes, je me suis laissé tenter par Terreur. Un pavé de Dan Simmons. Mais toutefois celui-ci ne m’a pas conquis comme le précédent roman. Il m’a fallu un long moment en faite pour m’immerger dans l’histoire. Il a d’abord fallu se repérer aux différents personnages, mais après un tour de chauffe de deux cents pages plus ou moins vous arriver à les différenciez chacun. Ensuite autre élément perturbateur dans l’histoire c’est a quels moments les différentes actions se déroulent-elles. On se demande parfois (tout du moins ça a été mon impression, que l’auteur revenait en arrière à certains moments). Donc un roman assez dur à lire, mais une fois qu’on y est on ne le lâche plus. Dans une pure veine à la Stephen King, l’auteur nous tient en haleine du début à la fin. Âme sensible s’abstenir, car Dan Simmons est loin de faire dans la dentelle. Le roman est long très long, mais sa longueur en vaut la peine.... Idée de départ / Accroche du début de livre : 8/10 Développement des personnages : 8/10 Style de l'écriture : 8/10 Rendu de l'histoire : 7/10 Total 31/40 Babelio 4/5 Gros pavé pour finir 2022 et commencé 2023. Après l’abominable qui m’avait attrapé par les tripes, je me suis laissé tenter par Terreur. Un pavé de Dan Simmons. Mais toutefois celui-ci ne m’a pas conquis comme le précédent roman. Il m’a fallu un long moment en faite pour m’immerger dans l’histoire. Il a d’abord fallu se repérer aux différents personnages, mais après un tour de chauffe de deux cents pages plus ou moins vous arriver à les différenciez chacun. Ensuite autre élément perturbateur dans l’histoire c’est a quels moments les différentes actions se déroulent-elles. On se demande parfois (tout du moins ça a été mon impression, que l’auteur revenait en arrière à certains moments). Donc un roman assez dur à lire, mais une fois qu’on y est on ne le lâche plus. Dans une pure veine à la Stephen King, l’auteur nous tient en haleine du début à la fin. Âme sensible s’abstenir, car Dan Simmons est loin de faire dans la dentelle. Le roman est long très long, mais sa longueur en vaut la peine. L’auteur au contraire de certains n’écrit pas pour le plaisir d’écrire, il justifie chacun de ses choix et descriptions dans un but ultime. On sent qu’il y a un vrai travail de fond derrière cette histoire qui va au-delà de tout ce qu’on peut imaginer. Tout comme Stephen King, l’auteur à des choix très arrêter sur l’espèce humaine. Ici pas question de tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil. L’auteur nous décrit notre monde tel qu’il est : sale et avilissant. Encore un roman puissant qu’il faut avoir le temps de lire. Ce qui n’a pas toujours été mon cas, il m’arrivait de ne plus lire le roman durant une longue semaine. Trop de choses à faire dans une journée, je pense que beaucoup ici connaissent ça. Je lirais très certainement encore cet auteur qui sait conter les histoires sombres de notre espèce…
    Lire la suite
    En lire moins
  • FeyGirl 23/01/2023
    En 1845, l'expédition maritime Flanklin, composée des navires HMS Erebus et HMS Terror, part vers l'Arctique en espérant découvrir le mythique passage du Nord-Ouest qui relierait l'Atlantique et le Pacifique par le nord du Canada. Personne ne reverra jamais aucun membre des équipages ; seuls quelques rares vestiges trouvés des années voire un siècle plus tard suggèrent de maigres pistes sur le destin des quelque 129 marins. Sur cet événement historique pourtant peu joyeux, l'auteur a imaginé un récit entraînant, un pavé maîtrisé où différents narrateurs — des officiers et des subalternes — vivent le froid, la faim, la peur, l'espoir et le désespoir, les morts successives de leurs coéquipiers, et surtout la terreur devant un ennemi qui les pourchasse. Car une créature rode, attrape et tue les marins sur cette mer gelée. La touche fantastique, qui s'insinue lentement dans le roman avec cette créature, est renforcée par la présence d'une jeune Esquimaude muette — sa langue ayant été arrachée — et dont les faits et gestes restent mystérieux. Les plus superticieux de l'équipage vont rapidement lui attribuer une influence sur le cours des événements, au grand damne des officiers plus rationnels. La Terreur, c'est le nom d'un des bateaux pris dans les... En 1845, l'expédition maritime Flanklin, composée des navires HMS Erebus et HMS Terror, part vers l'Arctique en espérant découvrir le mythique passage du Nord-Ouest qui relierait l'Atlantique et le Pacifique par le nord du Canada. Personne ne reverra jamais aucun membre des équipages ; seuls quelques rares vestiges trouvés des années voire un siècle plus tard suggèrent de maigres pistes sur le destin des quelque 129 marins. Sur cet événement historique pourtant peu joyeux, l'auteur a imaginé un récit entraînant, un pavé maîtrisé où différents narrateurs — des officiers et des subalternes — vivent le froid, la faim, la peur, l'espoir et le désespoir, les morts successives de leurs coéquipiers, et surtout la terreur devant un ennemi qui les pourchasse. Car une créature rode, attrape et tue les marins sur cette mer gelée. La touche fantastique, qui s'insinue lentement dans le roman avec cette créature, est renforcée par la présence d'une jeune Esquimaude muette — sa langue ayant été arrachée — et dont les faits et gestes restent mystérieux. Les plus superticieux de l'équipage vont rapidement lui attribuer une influence sur le cours des événements, au grand damne des officiers plus rationnels. La Terreur, c'est le nom d'un des bateaux pris dans les glaces et qui menace de céder sous la pression. La Terreur, c'est la créature mystérieuse, presque invisible, qui se repaît de chair humaine. La Terreur, c'est la maladie, la nourriture avariée, la promiscuité, les tensions entre les hommes. Dans cet enfer, des membres d'équipages s'avèrent retors tandis que leurs collègues restent fidèles à leurs principes, dont le commandant de l'expédition, Franklin, incompétent pour le malheur de tous. Un cadre où la comédie humaine — ou plutôt, la tragédie — bat son plein avec les risques de mutinerie et les mauvaises décisions. On retrouve ici un thème typique des romans d'horreur : la menace du surnaturel n'est rien par rapport à la menace des humains. Les récits des narrateurs s'entrecroisent et n'ont pas la même temporalité : certains citent la mort d'un autre personnage, qu'on retrouve ensuite quelques jours plus tôt relatant sa propre histoire ; et le lecteur curieux dévore le livre pour savoir comment il a perdu la vie. On se doute de la fin, et on apprécie que l'auteur ait su ménager, malgré tout, un suspense haletant. La connaissance de la vie des marins de la Royal Navy du XIXe siècle ressort de chaque page, les navires devenus des prisons sont détaillés dans le moindre recoin, et on comprend que l'auteur s'est intensément documenté. L'exploration de l'âme humaine n'est pas oubliée, loin de là, grâce à une galerie de personnages fouillés et crédibles qui forment un récit choral où chaque voix apporte sa vision des événements et de la créature meurtrière. Roman historique, roman d'aventures, roman de survie, mais aussi roman fantastique où l'horreur est tapie dans l'ombre, Terreur sait surprendre le lecteur grâce à une fin que j'ai beaucoup appréciée. À lire pour tous ceux qui souhaitent un récit solide et prenant.
    Lire la suite
    En lire moins
  • EsniSelivre 09/03/2022
    Que dire ? Beaucoup de choses m'ont plu dans ce livre: l'histoire, celle d'une expédition coincée dans les glaces. L'écriture magistrale de l'auteur nous embarque sans peine à bord du Terror et de l'Erebus. On est immergé dans ce monde de marins, avec leur routine, leur travail, puis leurs difficultés grandissantes au fur et à mesure de leur attente dans la glace. On ressent ce froid qui ne les quitte jamais, le vent glacial, les longues journées sans voir le jour, toute la rugosité du monde polaire. On suit avec eux leur inéluctable descente aux enfers. En cela les personnages sont également très bien soignés par l'auteur, avec une mention spéciale pour le personnage de Crozier auquel je me suis beaucoup attaché. Le voir se démener, se débattre pour essayer de sauver ses hommes malgré la faim, la maladie, les traitrises et autres bassesses inhérente à l'humain. Si j'ai un reproche à faire ce serait sur les longueurs qui émaillent le récit et qui finissent par couper le rythme du livre. Mis à part cela, je me régaler de ce pavé tant j'ai trouvé l'histoire passionnante. Surtout lorsque l'on sait qu'elle est tirée d'une histoire vraie.
  • Yendare 05/03/2022
    Cela faisait un petit moment que j’avais envie de découvrir Dan Simmons, voilà qui est désormais chose faite avec Terreur, ce pavé de 1050 pages au format poche qui m'a tenu occupé de nombreuses heures. Un pavé qui m’a entraîné bien loin de chez moi, en Arctique comme un témoin de la terrible expédition maritime et polaire britannique que fut l’expédition Franklin partie de l’Angleterre en 1845 ayant pour objectif l’exploration de cet espace géographique dangereux et encore méconnue ainsi que la recherche du passage du Nord-Ouest. Une expédition qui vire rapidement à un cauchemar sans fin. Un pavé aussi que j’ai failli abandonner après en avoir lu la première centaine de pages car Terreur est un récit qui prend son temps, le rythme est lent et il faut l’accepter. C’est un élément de l’intrigue, c’est le rythme de la vie sur ces deux navires, le HMS Erebus et HMS Terror piégé dans la glace en pleine banquise. C’est le rythme de la très longue nuit polaire, de l’hiver interminable, et de la lente agonie des membres d’une expédition qui tente de survivre dans des conditions extrêmes voyant leur chance de survie s’amenuiser au fil des années qui passent. Il... Cela faisait un petit moment que j’avais envie de découvrir Dan Simmons, voilà qui est désormais chose faite avec Terreur, ce pavé de 1050 pages au format poche qui m'a tenu occupé de nombreuses heures. Un pavé qui m’a entraîné bien loin de chez moi, en Arctique comme un témoin de la terrible expédition maritime et polaire britannique que fut l’expédition Franklin partie de l’Angleterre en 1845 ayant pour objectif l’exploration de cet espace géographique dangereux et encore méconnue ainsi que la recherche du passage du Nord-Ouest. Une expédition qui vire rapidement à un cauchemar sans fin. Un pavé aussi que j’ai failli abandonner après en avoir lu la première centaine de pages car Terreur est un récit qui prend son temps, le rythme est lent et il faut l’accepter. C’est un élément de l’intrigue, c’est le rythme de la vie sur ces deux navires, le HMS Erebus et HMS Terror piégé dans la glace en pleine banquise. C’est le rythme de la très longue nuit polaire, de l’hiver interminable, et de la lente agonie des membres d’une expédition qui tente de survivre dans des conditions extrêmes voyant leur chance de survie s’amenuiser au fil des années qui passent. Il faut donc passer outre ce rythme lent, laisser le temps faire son œuvre et tourner les pages une après l’autre pour découvrir le formidable récit que propose Dan Simmons. Vous laissez emporter dans cette ambiance poisseuse, collante, de terreur qui imprègne chaque personnage de ce roman, une terreur qui augmente au fil des pages et qui est gérée avec brio par l’auteur. Une fois le roman bien entamé, l'idée de l’abandonner m’a vite quitté : je voulais absolument savoir comment ce roman allait se terminer. L’ambiance qu’est parvenue à créer Dan Simmons sur près de 1000 pages est remarquable : un froid mordant, glaçant, une nuit polaire qui n’en finit pas, une prison à ciel ouvert oppressante, la faim qui grandit de jour en jour quand la nourriture vient à manquer, la maladie qui vous affaiblit à petit feu vous tuant de l’intérieur lentement mais sûrement et la peur, la peur de mourir, la peur de son voisin, de l’inconnu, et de la bête terrifiante qui les harcèle apportant quotidiennement tout au long de l’intrigue son lot de mort. Plus la situation devient critique, plus la situation se tend et que l'espoir de survie de la troupe s’amenuise et plus je me suis demandé combien d’hommes de cette expédition finiront par survivre et surtout à quel prix. Par bien des aspects Dan Simmons nous propose ici un récit réaliste, souvent très intéressant, instructif et rempli de détails qui contribue au caractère immersif de cette lecture. On sent que l’auteur a réalisé un travail de recherche plus que conséquent afin d’écrire ce roman. Hier j’ai tourné la dernière page de ce dernier conscient d’avoir lu un roman que je ne suis pas près d’oublier pour son ambiance, certains de ces personnages, ce voyage dépaysant, terrible mais par bien des aspects passionnants. Moi qui ne lis habituellement pas d’horreur je suis bien content d’avoir néanmoins tenté ce roman qui je pense mérite d’être découvert.
    Lire la suite
    En lire moins
  • celservices 17/01/2022
    Ce pavé nous fait voyager dans le froid, un roman historique mais aussi un récit de voyage malheureux. Une histoire vraie, qui ravira autant les amateurs du genre que les curieux. On suit ces explorateurs du 19ème siècle, qui vont d'avarie en manque de chance. Au cours de ce long voyage, ils rencontreront une "bête" qui anéantira plus d'un homme ainsi que les peuples autochtones avec qui les rencontres ne se passeront pas toujours bien, entre esprit colonisateur et défiance. J'ai adoré cet ouvrage, choisi par hasard et que je ne regrette pas d'avoir lu.
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.

Lisez maintenant, tout de suite !

  • Sélection
    Lisez

    Nuits de la lecture 2023 : la peur s'invite chez vous

    Du 19 au 22 janvier aura lieu la septième édition des Nuits de la lecture. Cette année préparez-vous à passer des nuits blanches car la peur est mise à l'honneur.  Parrainée par Marie Darrieussecq, cette nouvelle édition vous réserve une multitude d'évènements. 

    Lire l'article