Lisez! icon: Search engine
Alcie et le pensionnat d'Alcatroce
Date de parution : 25/03/2021
Éditeurs :
Robert Laffont

Alcie et le pensionnat d'Alcatroce

,

Date de parution : 25/03/2021
Alcie possède un super-pouvoir : lorsqu’elle est triste, ses chagrins prennent l’apparence de petits fantômes qui l’accompagnent dans ses aventures.

Alors qu’Alcie s’apprête à retrouver son ami Hugo pour les vacances, elle apprend qu’il a été envoyé dans le terrible pensionnat d’Alcatroce, bâti sur une île imprenable.
Rien ne l’arrêtera :...

Alors qu’Alcie s’apprête à retrouver son ami Hugo pour les vacances, elle apprend qu’il a été envoyé dans le terrible pensionnat d’Alcatroce, bâti sur une île imprenable.
Rien ne l’arrêtera : elle décide d’embarquer sa famille dans une équipée trépidante pour sauver Hugo de ce cauchemar. Et déjouer les plans du...

Alors qu’Alcie s’apprête à retrouver son ami Hugo pour les vacances, elle apprend qu’il a été envoyé dans le terrible pensionnat d’Alcatroce, bâti sur une île imprenable.
Rien ne l’arrêtera : elle décide d’embarquer sa famille dans une équipée trépidante pour sauver Hugo de ce cauchemar. Et déjouer les plans du sinistre directeur d’Alcatroce, qui a décidé d’exterminer non seulement la faune sous-marine, mais aussi les vacances scolaires ! Dès 8 ans.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782221250013
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 240
Format : 135 x 200 mm
EAN : 9782221250013
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 240
Format : 135 x 200 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Grazie1006 15/02/2022
    Un pur délice, pour passer un agréable moment. Tout est en jeux de mots. J'aime beaucoup cette petite voix qui parle au lecteur et qui le fait participer à l'histoire. Sur le ton de l'humour, Jérôme Attal abordendes themes comme la protection de la nature, la méchanceté de certaines personnes pour le profit. Les dessins sont très beaux. Très belles illustrations de l'histoire par Fred Bernard. Roman jeunesse à partir de 8 ans et je me suis régalée.
  • Felina 29/12/2021
    Second tome des aventures d'Alcie écrit par Jérôme Attal et illustré par Fred Bernard. Après la découverte de l'univers d'Alcie dans « Alcie et la forêt des fantômes chagrins » , le lecteur va découvrir le pire établissement scolaire du monde. Alcie attendait les vacances avec impatience afin de pouvoir retourner chez sa tante Ouplaoupe. Malheureusement, à son arrivée, elle découvre que son meilleur ami, Hugo, a été envoyé par son père dans le terrible pensionnat d'Alcatroce, situé sur une île imprenable. Ni une, ni deux, elle pousse toute sa famille de venir avec elle, sauver son ami de cet enfer. Même son cousin Tractopaul quitte ses jeux vidéo pour les accompagner. Cette seconde aventure plaira beaucoup aux enfants, qui replongeront avec plaisir dans l'univers d'Alcie. La jeune fille les entraîne dès les premières pages dans une mission qui semble plutôt difficile. Alcie est soit inconsciente soit courageuse. Rien ne semble lui faire peur. Les adultes, davantage que dans le premier opus, sont vraiment des gens méchants. D'abord, le père égoïste et insensible d'Hugo, qui ne pense qu'à ses bénéfices. Ensuite, les professeurs de cet horrible pensionnat. Le jeu de mots et petit clin d'oeil avec Alcatraz, fera sourire les parents. Mais, il explique également que cet établissement soit aussi horrible. Tout le confort d'une prison. ^^ Le rythme est soutenu, et l'action est à toutes les pages. Les illustrations de Fred Bernard accompagnent toujours avec plaisir le texte. Ce format plaira beaucoup aux jeunes lecteurs. Par contre dans cet opus, le pouvoir d'Alcie ne se manifeste pas. Alors qu'elle aurait pu être triste du fait de ne pas voir son ami Hugo. Mais non, au lieu de ça, la jeune fille part en campagne de conquête. L'ambiance est très sympa et les personnages attachants ou totalement détestables. Second tome des aventures d'Alcie écrit par Jérôme Attal et illustré par Fred Bernard. Après la découverte de l'univers d'Alcie dans « Alcie et la forêt des fantômes chagrins » , le lecteur va découvrir le pire établissement scolaire du monde. Alcie attendait les vacances avec impatience afin de pouvoir retourner chez sa tante Ouplaoupe. Malheureusement, à son arrivée, elle découvre que son meilleur ami, Hugo, a été envoyé par son père dans le terrible pensionnat d'Alcatroce, situé sur une île imprenable. Ni une, ni deux, elle pousse toute sa famille de venir avec elle, sauver son ami de cet enfer. Même son cousin Tractopaul quitte ses jeux vidéo pour les accompagner. Cette seconde aventure plaira beaucoup aux enfants, qui replongeront avec plaisir dans l'univers d'Alcie. La jeune fille les entraîne dès les premières pages dans une mission qui semble plutôt difficile. Alcie est soit inconsciente soit courageuse. Rien ne semble lui faire peur. Les adultes, davantage que dans le premier opus, sont vraiment des gens méchants. D'abord, le père égoïste et insensible d'Hugo, qui ne pense qu'à ses bénéfices. Ensuite, les professeurs de cet horrible pensionnat. Le jeu de mots et petit clin d'oeil avec Alcatraz, fera sourire...
    Lire la suite
    En lire moins
  • ninachevalier 09/05/2021
    Jérôme Attal nous avait annoncé une suite des aventures de son héroïne, il a fallu patienter, la sortie ayant été différée. Une voix se présente dans l’avant-propos et justifie ses interventions, comme un double de l’auteur, qui livre ses réactions. Retrouvons donc Alcie et ses acolytes ( en photo avec ses fantômes au dos de la couverture), qui se réjouit à l’idée de passer ses vacances de Noël chez sa fameuse tante, Oupelaoupe. Elle anticipe ses retrouvailles avec son ami écolo Hugo. Mais déception, ce n’est que son père, le milliardaire Drummond, qu’elle trouve au manoir. Un passionné de golf qui n’a aucun scrupule à raser des forêts pour implanter des greens. Mais pourquoi tous ces cartons ? Où est donc Hugo ? Il lui faudra faire appel à ses super pouvoirs pour remonter le fil de conversations et enfin le localiser. Mais arrivera-t-elle à le délivrer de cette prison sise sur une île, au nom explicite : «  le pensionnat d’Alcatroce » ? Le récit s’ouvre sur un jeune pensionnaire tout affolé , traversant un couloir. Qu’a-t-il pu croiser sur son chemin menant à la haute tour ? Le rituel du repas encadré par le tintement d’une cloche rappelle une scène de La petite sonneuse de cloches ! Le réfectoire, quant à lui, a un côté «  old England », comme à Poudlard.(1) On découvre plus tard la localisation exacte de cet établissement pour «  les mal tournés », une vraie forteresse qui paraît inaccessible. Jérôme Attal dénonce indirectement le harcèlement dont est victime l’un des pensionnaires. Quant aux sanctions, telle cette machine à punitions, cela rappelle la dure discipline de fer de certains collèges anglais. Les jeunes lecteurs peuvent se réjouir de l’abolition des châtiments corporels. Puis en parallèle on suit l’expédition d’Alcie qui a réussi à fédérer toute sa famille. Même le cousin TractoPaul est prêt à oublier ses jeux sur écran , son paquet de chips,pour participer à cette odyssée ! Il apprend d’ailleurs des mots nouveaux, lui qui confond goéland et goélette. Cette expédition initiatique pour TractoPaul le sera aussi pour les plus jeunes lecteurs. Ainsi ils apprendront des expressions comme « loup de mer »…. Si à la veille de l’an 2000 , on imaginait des voitures qui voleraient, ici l’auteur a transformé le camping-car en « camping-coptère », grâce à la complicité et l’astuce d’un chevalier, voisin de la tante, à la conduite sportive, «  farfelue, en zigzag ». Le trajet est hallucinant, à donner le tournis, des hauts le coeur. Une tempête d’une violence inouïe s’annonce, alors on tremble pour eux. Nombreuses onomatopées qui intensifient l’adrénaline pour les passagers et le lecteur. Mais pour rallier leur destination finale, un bateau s’avère nécessaire. Une halte dans une auberge va permettre à Alcie de rencontrer les bonnes personnes dont Sonia,la capitaine de L’intrépide. Une jeune femme qui impressionne et met en émoi TractoPaul qui en tombe amoureux. Son plan fonctionnera-t-il ? Ne divulgâchons rien de ce stratagème diabolique. Dans ce passage on retrouve le goût irrésistible du chocolat chaud, breuvage onctueux, « réputé pour ses vertus aphrodisiaques » comme dans La petite sonneuse de cloches. Les gourmands retrouveront aussi les « cookillages » servis au petit déjeuner par la tornade Oupelaoupe ( cf le tome 1) ! Pour rappel , Alcie , la bienveillante, aime en avoir un ou deux en poche à offrir à ses amis. L’amitié, l’altruisme, deux valeurs portées haut par Alcie. Alcie qui s’indigne de voir les bébé pieuvres devenir la cible des golfeurs . Ce qui soulève la question de la maltraitance des animaux. Jérôme Attal offre de nouveau un récit interactif, ludique, pétri de jeux de mots auquel les fans d’Alcie ne peuvent qu’adhérer d’emblée. Il y développe l’aspect écologique déjà présent dans le précédent opus, pointant le réchauffement climatique et la pollution des océans, de la mer. Alcie se fait porte parole des défenseurs de la planète, une Greta en herbe, déterminée et motivée qui en a à remontrer aux adultes prédateurs. Son combat n’est pas fini puisque l’auteur nous donne rendez-vous pour une suite. Il y insuffle aussi sa passion pour les Beatles, et le lecteur de se mettre à fredonner Blackbird  ou So this is Christmas! Passion qu’il a déclinée dans son opus : J’aurais voulu être un Beatles. (2) Jérôme Attal signe un volet 2 tout aussi abracadabrantesque, nourri par une imagination débordante et une vivifiante inventivité. Le tout illustré de façon remarquable par Fred Bernard. Décoiffant ! A lire devant une tasse de chocolat chaud, « puissant accélérateur de passions ». (1) : École inventée par JK Rowling dans Harry Potter. (2) Éditions Le mot et le reste. Jérôme Attal nous avait annoncé une suite des aventures de son héroïne, il a fallu patienter, la sortie ayant été différée. Une voix se présente dans l’avant-propos et justifie ses interventions, comme un double de l’auteur, qui livre ses réactions. Retrouvons donc Alcie et ses acolytes ( en photo avec ses fantômes au dos de la couverture), qui se réjouit à l’idée de passer ses vacances de Noël chez sa fameuse tante, Oupelaoupe. Elle anticipe ses retrouvailles avec son ami écolo Hugo. Mais déception, ce n’est que son père, le milliardaire Drummond, qu’elle trouve au manoir. Un passionné de golf qui n’a aucun scrupule à raser des forêts pour implanter des greens. Mais pourquoi tous ces cartons ? Où est donc Hugo ? Il lui faudra faire appel à ses super pouvoirs pour remonter le fil de conversations et enfin le localiser. Mais arrivera-t-elle à le délivrer de cette prison sise sur une île, au nom explicite : «  le pensionnat d’Alcatroce » ? Le récit s’ouvre sur un jeune pensionnaire tout affolé , traversant un couloir. Qu’a-t-il pu croiser sur son chemin menant à la haute tour ? Le rituel du repas encadré par le tintement d’une cloche rappelle une scène de La petite...
    Lire la suite
    En lire moins
INSCRIVEZ-VOUS À LA NEWS R JEUNESSE !
On vous promet : 1. Des romans pour tous les goûts ! 2. Des lectures bonbon à déguster à partir de 8 ans ! 3. De grands auteurs… au service des petits lecteurs !

Lisez maintenant, tout de suite !

  • Sélection
    Lisez

    Nuits de la lecture 2023 : la peur s'invite chez vous

    Du 19 au 22 janvier aura lieu la septième édition des Nuits de la lecture. Cette année préparez-vous à passer des nuits blanches car la peur est mise à l'honneur.  Parrainée par Marie Darrieussecq, cette nouvelle édition vous réserve une multitude d'évènements. 

    Lire l'article