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La Machine à coudre - De l'Afghanistan en guerre aux défilés de haute couture
Date de parution : 15/09/2022
Éditeurs :
Robert Laffont

La Machine à coudre - De l'Afghanistan en guerre aux défilés de haute couture

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Date de parution : 15/09/2022
« À la minute où la machine a repris du service à la maison, elle est devenue l’objet de ma convoitise. Du matin au soir, je ne voyais qu’elle, je ne pensais qu’à elle. Elle m’attirait comme un aimant. Je n’avais qu’une envie : faire comme papa. »
Sami Nouri a cinq ans lorsqu’il doit fuir avec sa famille l’Afghanistan et le régime des talibans. D’abord pour l’Iran, ensuite pour l’Europe et la France, dans des conditions effroyables.... Sami Nouri a cinq ans lorsqu’il doit fuir avec sa famille l’Afghanistan et le régime des talibans. D’abord pour l’Iran, ensuite pour l’Europe et la France, dans des conditions effroyables. Derrière lui, il laisse la machine à coudre, cet objet de fascination qui a assuré leur survie à tous et... Sami Nouri a cinq ans lorsqu’il doit fuir avec sa famille l’Afghanistan et le régime des talibans. D’abord pour l’Iran, ensuite pour l’Europe et la France, dans des conditions effroyables. Derrière lui, il laisse la machine à coudre, cet objet de fascination qui a assuré leur survie à tous et sur laquelle son père lui a appris le métier. Arrivé seul en France à quatorze ans, ne parlant pas un mot de la langue, il est déplacé de foyer en foyer, perdu dans un monde dont il ne connaît rien. Sami se raccroche au souvenir de sa machine. Sans elle, il ne sait rien faire. Jusqu’au jour où l’on découvre son talent de couturier. Commence alors l’aventure qui le mènera dans les maisons de haute couture les plus prestigieuses. Mais sa première machine, il ne l’a jamais oubliée.
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EAN : 9782221254103
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 324
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221254103
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 324
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Thierrydiegolea 30/08/2023
    J'ai beaucoup aimé ce témoignage, qui se lit d'une traite.De ses années talibanes, il n'a gardé aucun souvenir. Juste une atmosphère triste et oppressante. Sami Nouri n'avait que 5#8239;ans en#8239;2001 quand, avec ses parents et sa petite soeur, il a fui l'Afghanistan. Pendant quelques années, la famille se réfugie en Iran/Mais là encore la vie est difficile. Impossible d'obtenir des papiers. Et, sans papiers, pas d'existence légale. Pas d'école pour Sami et sa soeur. Sami a 9#8239;ans, aucun loisir, pas de copains. La famille vit «#8201;cachée#8201;» de façon à se faire remarquer le moins possible. pour Pour tuer l'ennui, et le silence Sami commence à travailler avec son père qui a monté un atelier à domicile et travaille sans relâche dans la confection de manteaux, de robes et autres tenues iraniennes. La pugnacité et la volonté m'a beaucoup touché. Quand je repense à la violence de certains passages ça me glace le sang.......... La couture sauvera cet enfant devenu grand.
  • anniefrance 18/02/2023
    Un exil particulièrement difficile; d'abord d'Afghanistan en Iran puis en France, séparé cette fois de ses parents et sa petite soeur par un passeur véreux. Seul ne sachant ni lire ni écrire et ne parlant pas français, il erre comme mineur isolé de foyer en foyer et en famille d'accueil. Apprécié des adultes, méprisé par ses pairs, il s'investit à fond dans sa scolarité. Son amour pour la machine à coudre paternelle sur laquelle il a fait ses premières armes vers ses dix ans apparaît dans des paragraphes entre les chapitres. Son talent pour la couture va être reconnu, il a enfin un objectif précis et incroyablement audacieux: travailler dans la Haute couture. Il est très reconnaissant envers tous ceux qui l'ont aidés, y compris l'état français et ses structures d'aide: il ne semble pas avoir eu trop de mal à obtenir une carte de séjour puis la nationalité française. Un sacré parcours! Ce livre me fait penser à l'Exil et la Lumière où la jeune fille parvient à atteindre son objectif: devenir comédienne et jouer Phèdre après avoir connu l'exil et les pires conditions d'accueil en France...mais un enseignant a remarqué son don d'éloquence.
  • Bookycooky 11/02/2023
    « ……tous les Afghans savent coudre : il était temps que je m'y mette aussi, si je voulais devenir un homme ! » C'est Sami Nouri célèbre styliste français d'origine afghane, parti à 6 ans de son pays et sa ville Mazhar-Shérif après que les talibans eussent assassiné son frère aîné, qui nous raconte ici son itinéraire rocambolesque . À 8-9 ans émigré clandestin en Iran, tailleur enfant travaillant 12 heures d'affilée , puis à 10 ans conditions obligent 6 mois souffleur de verre pour ramener l'unique salaire à ses parents, et à nouveau tailleur, pour finalement fuir vers l'Europe à travers La Turquie, seul à seulement quatorze ans….. Une épopée terrible , surhumain .« ….je ne parlais pas un mot de français mais je savais coudre », c'est ce qui sauvera Sami et lui ouvrira les portes de son conte de fées , « Mes parents me manquaient, ma soeur n'était plus là, mais coudre allait combler ce manque d'amour et de douceur qui transperçait chaque jour mon coeur et que je ne pouvais exprimer. » Faut dire aussi que la Chance a été de son côté, il tombera toujours sur ses quatre pattes 😊, bien qu'il semble quand même qu'il a tout fait pour qu'elle y soit 😊.... « ……tous les Afghans savent coudre : il était temps que je m'y mette aussi, si je voulais devenir un homme ! » C'est Sami Nouri célèbre styliste français d'origine afghane, parti à 6 ans de son pays et sa ville Mazhar-Shérif après que les talibans eussent assassiné son frère aîné, qui nous raconte ici son itinéraire rocambolesque . À 8-9 ans émigré clandestin en Iran, tailleur enfant travaillant 12 heures d'affilée , puis à 10 ans conditions obligent 6 mois souffleur de verre pour ramener l'unique salaire à ses parents, et à nouveau tailleur, pour finalement fuir vers l'Europe à travers La Turquie, seul à seulement quatorze ans….. Une épopée terrible , surhumain .« ….je ne parlais pas un mot de français mais je savais coudre », c'est ce qui sauvera Sami et lui ouvrira les portes de son conte de fées , « Mes parents me manquaient, ma soeur n'était plus là, mais coudre allait combler ce manque d'amour et de douceur qui transperçait chaque jour mon coeur et que je ne pouvais exprimer. » Faut dire aussi que la Chance a été de son côté, il tombera toujours sur ses quatre pattes 😊, bien qu'il semble quand même qu'il a tout fait pour qu'elle y soit 😊. le petit tailleur afghan se construira accédant au monde de la Haute Couture, malgré le manque de la sécurité et la chaleur d'un foyer et la candeur de l'enfance et de sa légèreté . Son amulette 🧿est la machine à coudre du Père, perdu dans la fuite vers la Turquie, à laquelle il consacre un petit paragraphe de soliloques d'amour à la fin de chaque chapitre. Un livre à lire pour se rendre compte encore une fois ce que la volonté est capable de réaliser même dans les pires circonstances . Un livre aussi flatteur pour la France, qui malgré le racisme latent, l'accueil et le traitement humain que les autorités ont réservé à ce garçon arrivé de nul part seul à Tours, sans papiers, sans langues pour communiquer, ne sachant , ni lire , ni écrire, ni même s'exprimer , n'ayant jamais été scolarisé , « De manière générale, depuis que je suis en France, je suis gâté par la vie ». Un grand hommage aussi aux éducateurs, aux maîtresses de maison des foyers d'accueil, chefs de secteurs ou référents du bureau d'aide social à l'enfance, ces personnes rarement mises en lumière et qui pourtant méritent tant de reconnaissances, travaillant avec patience, empathie et humanité, dans un contexte extrêmement difficile. Un livre à mettre en toutes les mains par ces temps où les émigrés , immigrés sont de plus en plus considérés La Bête noire, le Fléau pour les sociétés occidentales. En plus soutenu par l'écriture d'Olivia Karam un texte qui malgré quelques coquilles , se lit avec grand plaisir. Une histoire et un personnage qui m'ont beaucoup touchée, Sami Nouri,un caractère que j'aurais aimé rencontrer, «  Mon passé m'a construit , et c'est aujourd'hui ma fierté . » « Le respect et la bienveillance sont inscrits dans mon ADN : comme mes parents, j'ai compris qu'aider l'autre c'est aussi s'aider soi-même, et je crois profondément à cet échange vertueux ; le bien que l'on fait autour de soi nous est rendu au centuple. ….Donner, c'est recevoir ». « J'ai tellement vu, enfant, des femmes dissimulées sous un long voile noir ou bleu jusqu'aux pieds… Les robes que j'imagine aujourd'hui dans mes collections sont toutes marquées par ce désir de liberté qui pointait déjà dans mon esprit à l'époque. »
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  • afadeau 01/02/2023
    Voici une autobiographie dont je me souviendrai ! Histoire aussi d'une machine à coudre permettant à une famille de survivre en Iran et à un père de transmettre très tôt, à son plus jeune fils, un savoir faire précieux qui le fera remarquer rapidement en France et le propulsera, en quelques années, créateur de mode, domaine élitiste s'il en est... Sami Nouri est né en 1996, l'année de la prise du pouvoir des talibans. Il a vécu en Afghanistan avec sa famille, jusqu'à ses cinq ans, dans une seule pièce servant aussi bien de logement que d'atelier de couture. Comment ne pas avoir le coeur serré au récit de l'enlèvement du frère de Sami, martyr des talibans à dix-sept ans – en représailles au refus du père de leur donner toutes les économies tirées de sa petite épicerie –, puis de la fuite de la famille après le drame, vers l'Iran, à peine plus accueillante. En tant que réfugiés, ils n'ont pas de papiers, les enfants ne peuvent pas être scolarisés et Abbas, son père, se ferait arrêter s'il cherchait à travailler à l'extérieur. La machine à coudre a fait le voyage, permettant de reprendre une activité de tailleur au... Voici une autobiographie dont je me souviendrai ! Histoire aussi d'une machine à coudre permettant à une famille de survivre en Iran et à un père de transmettre très tôt, à son plus jeune fils, un savoir faire précieux qui le fera remarquer rapidement en France et le propulsera, en quelques années, créateur de mode, domaine élitiste s'il en est... Sami Nouri est né en 1996, l'année de la prise du pouvoir des talibans. Il a vécu en Afghanistan avec sa famille, jusqu'à ses cinq ans, dans une seule pièce servant aussi bien de logement que d'atelier de couture. Comment ne pas avoir le coeur serré au récit de l'enlèvement du frère de Sami, martyr des talibans à dix-sept ans – en représailles au refus du père de leur donner toutes les économies tirées de sa petite épicerie –, puis de la fuite de la famille après le drame, vers l'Iran, à peine plus accueillante. En tant que réfugiés, ils n'ont pas de papiers, les enfants ne peuvent pas être scolarisés et Abbas, son père, se ferait arrêter s'il cherchait à travailler à l'extérieur. La machine à coudre a fait le voyage, permettant de reprendre une activité de tailleur au nouveau domicile – en Afghanistan ou en Iran beaucoup d'hommes exercent cette profession. En 2009, face à l'absence d'avenir, un nouvel exil est décidé. Début d'un voyage en camion, ensuite à pied, en ne buvant et mangeant que rarement, aux bons vouloirs des passeurs, vers la Turquie. Mais ensuite le voyage vers l'Europe n'est pas possible pour les quatre membres de la famille. Sami doit partir en avion avec un passeur, ses parents et sa soeur devant le rejoindre sous une semaine. Ce sera plus compliqué… Fin de cette première partie : Sami est abandonné seul, à quatorze ans, devant la gare de Tours, sans aucun repère. Sami Nouri a actuellement 26 ans et sa propre marque de haute couture « Sami Nouri Paris ». Seulement douze années pour réussir cette incroyable intégration ! Je ne doute pas qu'il soit tombé sur les bonnes personnes pour faire ce chemin dont les étapes sont passionnantes à découvrir dans le livre. Il le doit certainement à sa personnalité hors du commun, à sa créativité et à des professeurs, des familles d'accueil au grand coeur. Arrivé à quatorze ans à Tours dans un pays dont il ne connaissait ni le nom ni la langue, il a pu être admis au collège Jules Ferry – dont le nom est le symbole d'une école ouverte à tous – dans une classe réservée à une quinzaine d'élèves « non scolarisés antérieurement » et dont le français n'est pas la langue maternelle, puis au Lycée François Clouet en bac pro couture… Motivé et soutenu par des professeurs exemplaires, il va obtenir des stages chez John Galliano et Jean-Paul Gaultier qui lui ouvrent de nouvelles portes. Le style est simple et on est vite happé par le parcours de ce jeune hors norme. L'originalité se présente entre chaque chapitre, sous la forme d'un paragraphe personnifiant la machine à coudre, à la fois amie, souvenir des temps heureux, lien avec la famille – surtout ce père aimant qui a transmis une grande force à son fils –, lien avec le pays natal, moyen de survie et espoir d'une nouvelle vie dans le pays d'exil. Une expérience heureuse, celle de quelques miraculés qui ne doit pas cacher bien d'autres parcours tragiques… de ceux qui n'arriveront jamais, de tous ceux qui ne cochent pas les bonnes cases. L'ascension de Sami a été unique. Il est de plus en plus visible dans les médias – l'entendre s'exprimer dans un bon français, avec gentillesse et retenue, lors des interviews parachève heureusement le récit ainsi que ses merveilleuses créations. J'espère vraiment qu'il saura se préserver des écueils liés à cette célébrité naissante. C'est pour moi un livre utile rappelant que de nombreux exilés participent à construire l'image d'une France des arts, de la liberté et des droits de l'homme. Si l'expérience de Sami Nouri est extraordinaire, si on a besoin de ces récits « contes de fées », cela ne doit pas servir à faire circuler des clichés faciles, du genre si on veut vraiment, on peut y arriver. Je l'ai lu comme un témoignage d'un parcours singulier et d'une solidarité exemplaire pouvant exister malgré des services sociaux et des écoles de la République manquant souvent de moyens – lire à ce sujet le livre édifiant de Léonora Miano « Stardust » –. Je suis reconnaissant et fier de tous les agents des services sociaux, professeurs et familles d'accueil ayant permis qu'un tel rêve se réalise, quand une machine à coudre parvient à recoudre une vie... ****** Chronique avec illustration (composition photo personnelle avec le livre et un modèle présenté dans un de ses défilés) sur Bibliofeel. Lien direct ci-dessous
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  • MademoiselleMaeve 02/12/2022
    On parle beaucoup de Sami Nouri en ce moment, notamment à Tours puisqu’il a passé quelques années dans cette ville avant de partir à Paris travailler avec les plus grands couturiers du pays et finalement créer sa propre maison de haute couture, Sami Nouri Paris. Je viens de terminer la lecture de son autobiographie La machine à coudre, sous-titrée De l’Afghanistan en guerre aux défilés de haute couture et je suis encore un peu sous le choc. Je n’imaginais pas que son parcours avait été si difficile et je découvre un jeune homme hors norme. Sami Nouri est né en 1996 en Afghanistan, pays tombé entre les mains des Talibans. Sa famille décide de fuir le pays après un drame familial. Ils ne sont clairement plus en sécurité en plus d’être morts de chagrin. Le petit Sami, cinq ans, ne comprend pas vraiment pourquoi il se retrouve avec plein d’autres Afghans terrorisés, dans un camion avec sa mère son père et sa petite sœur, avec pour seul bagage la machine à coudre de son père. La famille reste neuf ans en Iran, cachée. Pour nourrir sa famille, le père de Sami reprend son métier de tailleur et apprend tout à son... On parle beaucoup de Sami Nouri en ce moment, notamment à Tours puisqu’il a passé quelques années dans cette ville avant de partir à Paris travailler avec les plus grands couturiers du pays et finalement créer sa propre maison de haute couture, Sami Nouri Paris. Je viens de terminer la lecture de son autobiographie La machine à coudre, sous-titrée De l’Afghanistan en guerre aux défilés de haute couture et je suis encore un peu sous le choc. Je n’imaginais pas que son parcours avait été si difficile et je découvre un jeune homme hors norme. Sami Nouri est né en 1996 en Afghanistan, pays tombé entre les mains des Talibans. Sa famille décide de fuir le pays après un drame familial. Ils ne sont clairement plus en sécurité en plus d’être morts de chagrin. Le petit Sami, cinq ans, ne comprend pas vraiment pourquoi il se retrouve avec plein d’autres Afghans terrorisés, dans un camion avec sa mère son père et sa petite sœur, avec pour seul bagage la machine à coudre de son père. La famille reste neuf ans en Iran, cachée. Pour nourrir sa famille, le père de Sami reprend son métier de tailleur et apprend tout à son fils, qui mourrait d’envie de toucher cette machine. Viscéralement. Puis tout le monde part en Turquie, risquant encore une fois leur vie avec pour tenter de rejoindre le nord de l’Europe. Mais faute de pouvoir s’enfuir tous ensemble, Sami est envoyé le premier. Il arrive à Tours et son passeur l’abandonne. Il a quatorze ans, ne parle que le perse et ne sait même pas dans quel pays il se trouve. Dans le foyer où il est envoyé, on découvre son talent pour la couture, sa dextérité, et le jeune garçon qui n’était jamais allé à l’école est orienté vers des études de stylisme. Il décrochera des stages – le Graal – chez Galliano et Jean-Paul Gautier où il apprend la haute couture. La machine à coudre, c’est l’autobiographie d’un jeune garçon pas comme les autres. Un prodige en couture qui a surmonté le pire pour s’en sortir et réussir sa vie – et il a réussi, étant aujourd’hui créateur de mode haute couture à vingt-six ans avec sa propre maison, ses défilés parisiens et la reconnaissance de ses pairs. On découvre aussi un garçon poli et humble. Attachant. Cette autobiographie est écrite simplement, sans doute à l’image de Sami Nouri. Sa vie est la parfaite illustration de cette citation de Walt Disney : « Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. Ensuite, réveillez-vous calmement et allez d’un trait jusqu’au bout de votre rêve sans jamais vous laisser décourager. »
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