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La Marque
Hadrien Chalard (traduit par)
Collection : Pavillons
Date de parution : 20/04/2023
Éditeurs :
Robert Laffont

La Marque

Hadrien Chalard (traduit par)
Collection : Pavillons
Date de parution : 20/04/2023
Couronné par le Prix des libraires et nominé pour de nombreux grands prix en Islande, La Marque est une dystopie polyphonique glaçante de réalisme et terriblement actuelle. 
Reykjavík, Islande. Dans une société divisée, en perte de sens et de confiance, un test d’empathie, gage de fiabilité morale, est mis en place. Les personnes non marquées – n’ayant... Reykjavík, Islande. Dans une société divisée, en perte de sens et de confiance, un test d’empathie, gage de fiabilité morale, est mis en place. Les personnes non marquées – n’ayant pas réussi le test ou refusant de s’y plier – sont petit à petit mises au ban de la société,... Reykjavík, Islande. Dans une société divisée, en perte de sens et de confiance, un test d’empathie, gage de fiabilité morale, est mis en place. Les personnes non marquées – n’ayant pas réussi le test ou refusant de s’y plier – sont petit à petit mises au ban de la société, se voyant refuser l’accès à un emprunt, à certains postes, voire à certains quartiers.
Il ne reste désormais plus que quelques jours avant que le test ne devienne peut-être obligatoire pour tous. Quelques jours déterminants pour Vetur, Eyja, Tristan et Óli, pris dans l’engrenage d’une société divisée, aux règles du jeu explosives. Insécurité, démons du passé, ambitions politiques, addiction, chacun doit lutter, à sa façon, dans une course effrénée contre la montre.

« Il y a longtemps que je n’avais rien lu d’aussi remarquable. Phénoménal. » Skáld
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EAN : 9782221262856
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221262856
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • mymyRouen 11/07/2023
    Un nouvel auteur nordique qui donne dans la dystopie .. Pourquoi pas ! J’ai beaucoup aimé la façon dont l’auteure a mis en avant notre société, le côté émotionnel des gens, les groupes sociaux J’ai perçu ce livre un peu comme une satyre de notre société Un bon moment de lecture. J’adhère de plus en plus à ce style de lecture
  • traversay 27/06/2023
    Rien ne définit mieux une époque que les dystopies qui décrivent son éventuelle, et bien entendu inquiétante, évolution. Il y a beaucoup de probabilités, de nos jours, pour que ces fictions prennent pour thème majeur la dégradation de l'environnement (voir Crasse rose, par exemple) ou, sujet inhérent à la condition humaine depuis toujours, les libertés individuelles. La Marque de l'Islandaise Fríða Ísberg (née en 1992) imagine un pays à la veille de voter pour un référendum sur l'obligation ou non de soumettre l'ensemble de la population à un test d'empathie, sachant que si la réponse est oui, les individus recalés à l'examen, ou le refusant, deviendront peu ou prou des sous-citoyens. Sujet passionnant que l'autrice traite à travers plusieurs personnages d'origines et de modes de vie différents, avec évidemment des avis divergents sur la question. L'impression donnée par le livre est mitigée, dans le sens où Fríða Ísberg semble quelque peu ménager la chèvre et le chou (l'on ne doute pourtant pas de son opinion), en usant du mode polyphonique qui finit par atténuer l'intérêt, avec d'ailleurs des protagonistes tous plus ou moins névrosés. Dommage que les interactions entre eux soient aussi peu fréquentes et que les différentes intrigues fassent le plus souvent cavalier seul sans que l'on puisse s'attacher à l'une plutôt qu'à une autre. De son sujet de société riche de questionnements, la romancière fait finalement un agrégat d'histoires individuelles qui n'ont pas la place d'être vraiment approfondies. A cause de cela, La Marque ne semble pas exploiter tout son potentiel à l'opposé de Avec joie et docilité, pour n'évoquer qu'un exemple, le formidable récit dystopique (hygiéniste) de la Finlandaise Johanna Sinisalo. Rien ne définit mieux une époque que les dystopies qui décrivent son éventuelle, et bien entendu inquiétante, évolution. Il y a beaucoup de probabilités, de nos jours, pour que ces fictions prennent pour thème majeur la dégradation de l'environnement (voir Crasse rose, par exemple) ou, sujet inhérent à la condition humaine depuis toujours, les libertés individuelles. La Marque de l'Islandaise Fríða Ísberg (née en 1992) imagine un pays à la veille de voter pour un référendum sur l'obligation ou non de soumettre l'ensemble de la population à un test d'empathie, sachant que si la réponse est oui, les individus recalés à l'examen, ou le refusant, deviendront peu ou prou des sous-citoyens. Sujet passionnant que l'autrice traite à travers plusieurs personnages d'origines et de modes de vie différents, avec évidemment des avis divergents sur la question. L'impression donnée par le livre est mitigée, dans le sens où Fríða Ísberg semble quelque peu ménager la chèvre et le chou (l'on ne doute pourtant pas de son opinion), en usant du mode polyphonique qui finit par atténuer l'intérêt, avec d'ailleurs des protagonistes tous plus ou moins névrosés. Dommage que les interactions entre eux soient aussi peu fréquentes et que les différentes intrigues fassent...
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