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La Mort d'une sirène
Catherine Renaud (traduit par)
Collection : La Bête noire
Date de parution : 15/10/2020
Éditeurs :
Robert Laffont

La Mort d'une sirène

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Catherine Renaud (traduit par)
Collection : La Bête noire
Date de parution : 15/10/2020
Et si La Petite Sirène était née d’un bain de sang ?

Copenhague, 1834.
Le corps mutilé d’une jeune prostituée est retrouvé dans le port. La soeur de la victime croit pouvoir immédiatement désigner le tueur : Hans Christian Andersen, jeune écrivain en...

Copenhague, 1834.
Le corps mutilé d’une jeune prostituée est retrouvé dans le port. La soeur de la victime croit pouvoir immédiatement désigner le tueur : Hans Christian Andersen, jeune écrivain en devenir qu’elle a vu quitter la maison de passe la veille. Ravie de tenir un coupable, la police le jette...

Copenhague, 1834.
Le corps mutilé d’une jeune prostituée est retrouvé dans le port. La soeur de la victime croit pouvoir immédiatement désigner le tueur : Hans Christian Andersen, jeune écrivain en devenir qu’elle a vu quitter la maison de passe la veille. Ravie de tenir un coupable, la police le jette en cellule dans l’attente de son exécution programmée. Mais grâce à ses relations, Hans Christian obtient d’être libéré pour trois jours, durant lesquels il devra mener ses propres investigations et livrer le véritable meurtrier aux autorités. Sa quête de la vérité le conduira dans les dédales d’une ville ravagée par la pauvreté, les tensions sociales, la corruption et les crimes sordides…
Un thriller historique haletant qui offre une version inattendue de la genèse de La Petite Sirène, avec le célèbre Hans Christian Andersen en enquêteur malgré lui.

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EAN : 9782221246474
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 560
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782221246474
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 560
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Goupilpm 20/10/2022
    A Copenhague, au 19e siècle, Hans Christian Andersen, n'est pas encore l'écrivain célèbre, lorsqu'il est client d'une prostituée. Cet étrange client ne la voit pas pour le sexe, il découpe dans du papier des silhouettes de son corps. Mais quelques jours plus tard le corps de celle-ci est découvert dans le chenal, et pour sa sœur Molly il ne peut s'agir que de cet étrange client. Andersen est arrêté, mais grâce à des relations haut placées le commissaire lui donne trois jours pour prouver son innocence. Grâce aux vers récités par un vidangeur un peu fou qui était incarcéré dans une cellule voisine, Andersen a un début de piste. L'enquête menée par deux personnes qui n'y sont pas habituées est assez bien réalisée malgré certaines longueurs. L'intrigue de fond à savoir le mobile du crime est très étrange pour l'époque. Le point fort du récit c'est l'atmosphère de l'époque, les auteurs décrivent de fort belle manière le quotidien des habitants vivant dans la misère, la crasse, combattant le froid et la faim ainsi que l'injustice tandis que la noblesse vit dans le luxe et pour certains dans la dépravation. Les personnages sont bien brossés et intéressants à suivre, bourrés de défauts qui les rendent encore... A Copenhague, au 19e siècle, Hans Christian Andersen, n'est pas encore l'écrivain célèbre, lorsqu'il est client d'une prostituée. Cet étrange client ne la voit pas pour le sexe, il découpe dans du papier des silhouettes de son corps. Mais quelques jours plus tard le corps de celle-ci est découvert dans le chenal, et pour sa sœur Molly il ne peut s'agir que de cet étrange client. Andersen est arrêté, mais grâce à des relations haut placées le commissaire lui donne trois jours pour prouver son innocence. Grâce aux vers récités par un vidangeur un peu fou qui était incarcéré dans une cellule voisine, Andersen a un début de piste. L'enquête menée par deux personnes qui n'y sont pas habituées est assez bien réalisée malgré certaines longueurs. L'intrigue de fond à savoir le mobile du crime est très étrange pour l'époque. Le point fort du récit c'est l'atmosphère de l'époque, les auteurs décrivent de fort belle manière le quotidien des habitants vivant dans la misère, la crasse, combattant le froid et la faim ainsi que l'injustice tandis que la noblesse vit dans le luxe et pour certains dans la dépravation. Les personnages sont bien brossés et intéressants à suivre, bourrés de défauts qui les rendent encore plus humains. Une atmosphère bien décrite, une intrigue certes peu adaptée à l'époque mais travaillée, donc un policier historique d'assez bonne qualité.
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  • christinebeausson 31/08/2022
    « Loin dans la mer, l'eau est aussi bleue que les pétales du plus beau bleu et aussi limpide que le verre le plus pur, mais elle est aussi très profonde, plus profonde que la distance qu'une ancre peut atteindre, et il faudrait poser de nombreux clochers les uns sur les autres pour remonter du fond à la surface. C'est là, en bas, que vivent les gens de la mer. » Comment le début de la lecture du conte « la petite sirène », de Hans Christian Andersen, peut déterminer des danois à nous raconter à leurs manières l’histoire de la naissance du monde d’Andersen ? Quand l’histoire nous embarque dans le monde misérable de Copenhague en l’an 1834, pour nous faire revivre l’atmosphère de cette ville portuaire encombrée par les trafics, la misère, la prostitution, où il ne faisait pas bon être né pauvre. Dès les premières pages du livre, j’ai été happée par mes souvenirs de la visite de la ville d’Odense, avec la silhouette de l’écrivain qui hante cette cité touristique … j’avais oublié que cet homme avait réalisé des milliers de papiers découpés où il laissait son imagination naviguer au gré de ses inspirations. Ce personnage tout en noir, trop grand, trop maigre, toujours... « Loin dans la mer, l'eau est aussi bleue que les pétales du plus beau bleu et aussi limpide que le verre le plus pur, mais elle est aussi très profonde, plus profonde que la distance qu'une ancre peut atteindre, et il faudrait poser de nombreux clochers les uns sur les autres pour remonter du fond à la surface. C'est là, en bas, que vivent les gens de la mer. » Comment le début de la lecture du conte « la petite sirène », de Hans Christian Andersen, peut déterminer des danois à nous raconter à leurs manières l’histoire de la naissance du monde d’Andersen ? Quand l’histoire nous embarque dans le monde misérable de Copenhague en l’an 1834, pour nous faire revivre l’atmosphère de cette ville portuaire encombrée par les trafics, la misère, la prostitution, où il ne faisait pas bon être né pauvre. Dès les premières pages du livre, j’ai été happée par mes souvenirs de la visite de la ville d’Odense, avec la silhouette de l’écrivain qui hante cette cité touristique … j’avais oublié que cet homme avait réalisé des milliers de papiers découpés où il laissait son imagination naviguer au gré de ses inspirations. Ce personnage tout en noir, trop grand, trop maigre, toujours à la poursuite d’on ne sait quoi, nous entraîne dans son escapade à Copenhague où la petite sirène trône depuis 1913 dans les eaux du port pour le plus grand plaisir des touristes prêts à prendre tous les risques pour repartir avec un selfie ! Un livre qui nous propose une version de l’histoire permettant de lever un voile pudique sur l’absence d’écriture sur le journal du maître des contes, alors qu’il se cherchait un moyen d’expression lui permettant de faire vivre les petites gens au moins dans nos rêves ou cauchemars. Les personnages des contes les plus tragiques d’Andersen, comme la petite fille aux allumettes trouvent le moyen de figurer dans la narration et nous invite à redécouvrir avec beaucoup d’émotion cet univers parfois un peu vite relégué au fonds de notre mémoire
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  • ROUMANOFFBE 03/05/2022
    J'ai été très étonnée de l'ambiance de ce roman policier parce que je ne m'attendais pas du tout à cela. Même si le début pourrait être rebutant, très vite j'ai été complètement prise par cette histoire à rebondissements. En fait, l'étonnement venait d'une part du lieu et de l'époque du déroulement de l'histoire, le lecteur est à Copenhague en 1834 et d'autre part, de cette ambiance de folle aventure menée par les deux personnages principaux qui se révèlent rapidement attachants. De plus, des éléments actuels viennent ponctuer l'affaire. Au début, il y a quelques scènes crues qui risqueraient de rebuter le lecteur sensible et qui font penser à un thriller, ensuite je me suis sentie basculer plus vers un roman d'aventure, une recherche de la vérité de nos deux intrépides sans le sou qui ne rechignent pas à franchir obstacles après obstacles. J'imaginais les odeurs et je voyais la crasse qui pouvait régner à cette époque, je notais l'idée de justice qui a évolué au gré des siècles et des peines qui heureusement ne sont plus appliquées à notre époque. En vérité, je me suis régalée de cette prose particulière. Je crois que j'y ai retrouvé un peu de cette atmosphère... J'ai été très étonnée de l'ambiance de ce roman policier parce que je ne m'attendais pas du tout à cela. Même si le début pourrait être rebutant, très vite j'ai été complètement prise par cette histoire à rebondissements. En fait, l'étonnement venait d'une part du lieu et de l'époque du déroulement de l'histoire, le lecteur est à Copenhague en 1834 et d'autre part, de cette ambiance de folle aventure menée par les deux personnages principaux qui se révèlent rapidement attachants. De plus, des éléments actuels viennent ponctuer l'affaire. Au début, il y a quelques scènes crues qui risqueraient de rebuter le lecteur sensible et qui font penser à un thriller, ensuite je me suis sentie basculer plus vers un roman d'aventure, une recherche de la vérité de nos deux intrépides sans le sou qui ne rechignent pas à franchir obstacles après obstacles. J'imaginais les odeurs et je voyais la crasse qui pouvait régner à cette époque, je notais l'idée de justice qui a évolué au gré des siècles et des peines qui heureusement ne sont plus appliquées à notre époque. En vérité, je me suis régalée de cette prose particulière. Je crois que j'y ai retrouvé un peu de cette atmosphère du livre le parfum de Patrick Suskind ou les piliers de la terre de Ken Follet.
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  • Citrouille_mecanique 14/03/2022
    Un thriller historique qui nous plonge au coeur de Copenhague au dix-neuvième siècle, dans un décor assez intrigant. J'ai bien aimé l'ambiance globale, et les références aux œuvres d'Andersen (le titre et une partie du roman nous laisse penser à la Petite Sirène, mais la référence à la fille aux allumettes est quand même plus évidente). La misère sociale de l'époque est bien décrite. Une intrigue plutôt bien menée, malgré de grosses longueurs et quelques éléments plutôt invraisemblables. La résolution de l'enquête est d'ailleurs assez farfelue, et finalement la forme de l'enquête reste un peu trop conventionnelle à mon goût. Pas de twists qui nous retourne le cerveau, pas de forme innovante, les personnages restent un peu en surface, on reste vraiment sur du basique. C'est suffisant pour une lecture agréable, mais pour ma part, on est loin du coup de cœur.
  • nathalieberquet 11/03/2022
    Bonjour les accros, Je finis ma lecture LA MORT D'UNE SIRÈNE de Rydahl Kazinski. J'ai beaucoup aimé cette lecture. Pour le lien avec l'univers des contes d'Andersen que j'affectionne beaucoup. Une histoire à la Jack l'éventreur, franchement j'ai trouvé l'intrigue palpitante. Une écriture fluide et très agréable. J'ai couru dans les rues avec Andersen, j'ai retenu mon souffle pour lui. Je me suis projetée à ses côtés. Même le tueur m'a fait trembler. La description est très réaliste je vous l'assure. Je n'ai fait qu'une bouchée de ce livre. J'ai aimé les petits détaille de ces personnages vraiment bluffants. La question que je me posais tout au long de cette histoire et jusqu'à la dernier page était : Est-ce que ce pauvre malheureux va réussir à s'en sortir ? Un coup de cœur pour moi . QUATRIEME DE COUVERTURE : Copenhague, 1834. Dans une ville ravagée par la pauvreté, la maladie, les intrigues politiques et les tensions sociales, des crimes atroces sont commis au nez et à la barbe d'une police qui n'a pas les moyens d'agir. Le corps mutilé d'une jeune femme est découvert dans le port de Copenhague. Un témoin identifie immédiatement le tueur comme étant Hans Christian Andersen, qu'il a vu quitter l'appartement de la prostituée la veille au soir. Le chef de la... Bonjour les accros, Je finis ma lecture LA MORT D'UNE SIRÈNE de Rydahl Kazinski. J'ai beaucoup aimé cette lecture. Pour le lien avec l'univers des contes d'Andersen que j'affectionne beaucoup. Une histoire à la Jack l'éventreur, franchement j'ai trouvé l'intrigue palpitante. Une écriture fluide et très agréable. J'ai couru dans les rues avec Andersen, j'ai retenu mon souffle pour lui. Je me suis projetée à ses côtés. Même le tueur m'a fait trembler. La description est très réaliste je vous l'assure. Je n'ai fait qu'une bouchée de ce livre. J'ai aimé les petits détaille de ces personnages vraiment bluffants. La question que je me posais tout au long de cette histoire et jusqu'à la dernier page était : Est-ce que ce pauvre malheureux va réussir à s'en sortir ? Un coup de cœur pour moi . QUATRIEME DE COUVERTURE : Copenhague, 1834. Dans une ville ravagée par la pauvreté, la maladie, les intrigues politiques et les tensions sociales, des crimes atroces sont commis au nez et à la barbe d'une police qui n'a pas les moyens d'agir. Le corps mutilé d'une jeune femme est découvert dans le port de Copenhague. Un témoin identifie immédiatement le tueur comme étant Hans Christian Andersen, qu'il a vu quitter l'appartement de la prostituée la veille au soir. Le chef de la police est convaincu de sa culpabilité et H. C. Andersen est accusé de ce meurtre brutal. Ce n'est que grâce à des contacts haut placés qu'il parvient à s'évader de prison, consacrant dès lors toute son énergie à démasquer le véritable meurtrier et à élucider le mystère avant que ne sonne l'heure de son exécution. Une fois l'affaire résolue, l'écrivain prend la plume et relate les événements macabres dans le langage fantastique qui est le sien, transformant l'horrible meurtre d'une jeune femme en un conte de fées : celui de La Petite Sirène...et on connaît la suite.
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