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Le Pavillon des combattantes
Valérie Bourgeois (traduit par)
Date de parution : 19/08/2021
Éditeurs :
Presses de la cité

Le Pavillon des combattantes

Valérie Bourgeois (traduit par)
Date de parution : 19/08/2021
Rentrée littéraire 2021

En pleine pandémie de grippe espagnole, l’ancien monde est en train de s’effondrer.
À la maternité, des femmes luttent pour qu’un autre voie le jour.
1918. Trois jours à Dublin, ravagé par la guerre et une terrible épidémie. Trois jours aux côtés de Julia Power, infirmière dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par... 1918. Trois jours à Dublin, ravagé par la guerre et une terrible épidémie. Trois jours aux côtés de Julia Power, infirmière dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par la maladie.
Partout, la confusion règne, et le gouvernement semble impuissant à protéger sa population. À l’aube de ses 30 ans,...
1918. Trois jours à Dublin, ravagé par la guerre et une terrible épidémie. Trois jours aux côtés de Julia Power, infirmière dans un service réservé aux femmes enceintes touchées par la maladie.
Partout, la confusion règne, et le gouvernement semble impuissant à protéger sa population. À l’aube de ses 30 ans, alors qu'à l’hôpital on manque de tout, Julia se retrouve seule pour gérer ses patientes en quarantaine. Elle ne dispose que de l’aide d’une jeune orpheline bénévole, Bridie Sweeney, et des rares mais précieux conseils du Dr Kathleen Lynn – membre du Sinn Féin recherchée par la police.
Dans une salle exiguë où les âmes comme les corps sont mis à nu, toutes les trois s’acharnent dans leur défi à la mort, tandis que leurs patientes tentent de conserver les forces nécessaires pour donner la vie. Un huis clos intense et fiévreux dont Julia sortira transformée, ébranlée dans ses certitudes et ses repères.
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EAN : 9782258195981
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782258195981
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 336
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent

« Un huis clos suffocant dans lequel les femmes et les mères apparaissent comme le dernier rempart d'une humanité qui vacille. »
Lire - magazine littéraire

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Melwasul07 14/05/2023
    Comment vous parler de ce roman intense, brillant, percutant pour vous donner envie de le lire sans tout divulgâcher. Voici ma terrible tache du jour. • Dans « Le pavillon des combattantes », nous suivons Julia, infirmière dans un service pour femmes enceintes atteintes de ce qu’on appellera plus tard la grippe espagnole. Nous sommes en 1918, à Dublin, en pleine épidémie et en pleine Première Guerre Mondiale. Alors que la famine est plus présente que jamais. Que le pays se déchire entre religions et lutte indépendantiste. • Dans ce huis clos hospitalier, nous accompagnons Julia pendant trois jours alors qu’elle se retrouve seule, avec le peu de matériel et de médicaments disponibles pour veiller, sauver ses patientes et leurs futurs bébés qui vont et viennent dans son service. Elle sera aidée par la douce Bridie et le Dr Lynn qui a réellement existé. • Je ne pensais pas réussir à m’attacher à Julia en l’espace de trois jours et pourtant elle m’a profondément touchée. J’étais ses yeux, ses mains, ses pensées. Elle m’a transportée dans cette petite salle entre malheurs et quelques joies, dans cet hôpital qui absorbe tout le chaos qui l’entoure. J’ai apprécié son combat pour apporter un peu de douceur aux méthodes... Comment vous parler de ce roman intense, brillant, percutant pour vous donner envie de le lire sans tout divulgâcher. Voici ma terrible tache du jour. • Dans « Le pavillon des combattantes », nous suivons Julia, infirmière dans un service pour femmes enceintes atteintes de ce qu’on appellera plus tard la grippe espagnole. Nous sommes en 1918, à Dublin, en pleine épidémie et en pleine Première Guerre Mondiale. Alors que la famine est plus présente que jamais. Que le pays se déchire entre religions et lutte indépendantiste. • Dans ce huis clos hospitalier, nous accompagnons Julia pendant trois jours alors qu’elle se retrouve seule, avec le peu de matériel et de médicaments disponibles pour veiller, sauver ses patientes et leurs futurs bébés qui vont et viennent dans son service. Elle sera aidée par la douce Bridie et le Dr Lynn qui a réellement existé. • Je ne pensais pas réussir à m’attacher à Julia en l’espace de trois jours et pourtant elle m’a profondément touchée. J’étais ses yeux, ses mains, ses pensées. Elle m’a transportée dans cette petite salle entre malheurs et quelques joies, dans cet hôpital qui absorbe tout le chaos qui l’entoure. J’ai apprécié son combat pour apporter un peu de douceur aux méthodes ancestrales, pour être plus à l’écoute des femmes et de leur corps. • J’ai beaucoup apprécié le côté médical du livre même si rien ne nous est épargné et que certains passages peuvent être difficile à lire (mais c’est toujours écrit avec beaucoup de pudeur, sans voyeurisme). On ne peut qu’admirer le travail de recherche de l’auteure sur la médecine de l’époque et sur le contexte historique. Et être heureux de voir les progrès … • Ce livre c’est un vrai coup de cœur, un coup de poing aussi. J’ai été émue tout au long de ma lecture et terriblement triste de tourner la dernière page. Je voulais accompagner Julia encore quelques jours, quelques mois, quelques années. Je voulais savoir : et après ? Mais finalement je n’ai pas besoin de le lire, je le sais, après ces dernières lignes que Julia trouvera son bonheur. • Une chose est sure, c’était mon premier Emma Donoghue mais ça ne sera pas le dernier !
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  • jardinlitteraire 10/05/2023
    Sans le Grand Prix des Lecteurs Pocket, je ne me serai jamais arrêté sur un tel titre. Jamais. Parce que je n’aime pas la couverture et que le résumé me tentait que très moyennement. Et quelle erreur j’aurai faite, je n’ai pas aimé ce livre, je l’ai adoré ! C’est un coup de coeur inattendu qui nous prouve que parfois il ne faut pas s’arrêter au livre objet ! La plume de l’autrice est si entraînante que dès les premières pages j’ai été happée par ce récit. Un récit à la construction narrative atypique puisqu’il n’y a pas réellement de chapitre. Si cela est déstabilisant au départ, ce roman se lit tout seul tant il est captivant et passionnant. C’est une fiction historique qui fait tristement écho à notre propre vécu : distanciation sociale, toux, virus hautement contagieux et mortel… Ça vous parle ? Nous sommes en Irlande, en 1918, en pleine pandémie de grippe espagnole. Nous allons suivre Julia Power, infirmière, qui se démène pour donner la vie au coeur de ce chaos. Ce roman c’est ni plus ni moins qu’un huis clos intense en milieu hospitalier. Toute l’action se situe entre ces 4 murs où tout semble étroit et... Sans le Grand Prix des Lecteurs Pocket, je ne me serai jamais arrêté sur un tel titre. Jamais. Parce que je n’aime pas la couverture et que le résumé me tentait que très moyennement. Et quelle erreur j’aurai faite, je n’ai pas aimé ce livre, je l’ai adoré ! C’est un coup de coeur inattendu qui nous prouve que parfois il ne faut pas s’arrêter au livre objet ! La plume de l’autrice est si entraînante que dès les premières pages j’ai été happée par ce récit. Un récit à la construction narrative atypique puisqu’il n’y a pas réellement de chapitre. Si cela est déstabilisant au départ, ce roman se lit tout seul tant il est captivant et passionnant. C’est une fiction historique qui fait tristement écho à notre propre vécu : distanciation sociale, toux, virus hautement contagieux et mortel… Ça vous parle ? Nous sommes en Irlande, en 1918, en pleine pandémie de grippe espagnole. Nous allons suivre Julia Power, infirmière, qui se démène pour donner la vie au coeur de ce chaos. Ce roman c’est ni plus ni moins qu’un huis clos intense en milieu hospitalier. Toute l’action se situe entre ces 4 murs où tout semble étroit et oppressant. L’atmosphère est assez sombre, sale, presque fétide, pourtant on n’a pas réellement le temps de s’attarder sur les conditions déplorables d’exercice tant le rythme est effréné. Une vraie urgence se dégage et nous envahit au point de nous faire suffoquer, anxieux et démunis face aux événements. C’est une lecture qui se vit, une lecture qui prend aux tripes, une lecture marquante. Avec une précision chirurgicale, l’autrice nous dresse la vérité sans fard de ce service de maternité. Les descriptions médicales sont nombreuses, détaillées mais loin de m’ennuyer elles m’ont au contraire chamboulée, la puissance féminine n’en étant que magnifiée. Mais à aucun moment notre attention ne se relâche, la maladie est tapie dans l’ombre, attendant son heure pour frapper… La tension omniprésente ne fait que s’accroître au fil des pages sans qu’on arrive réellement à anticiper les évènements. D’autant qu’il est difficile de cerner la finalité exacte du récit. Où l’autrice veut elle nous amener ? Jusqu’à la toute fin je suis restée dans le brouillard. J’avais quelques théories bien sûr quant au dénouement, qui se sont parfois vérifiées, mais ce que je n’ai pas vu venir ce sont mes larmes qui ont menacé de couler. Ce roman est d’une telle richesse, d’une telle justesse. C’est le coeur lourd que je l’ai refermé mais avec la sensation d’avoir grandis au côté de toutes ces combattantes du quotidien. C’est une histoire d’une intensité rare qu’il faut absolument découvrir ! Un roman intense et bouleversant au service de la puissance féminine.
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  • Tricotin35 01/05/2023
    Un très très bon moment de lecture. Dans cette petite pièce de l hôpital, réservée aux femmes enceintes touchées par la grippe, vont se côtoyer la vie et la mort, trois jours durant. Les femmes sont au cœur de ce roman, femmes blessées dans leur cours et dans leur coeur, aussi bien du côté des patientes que des soignantes. Le récit est rapide, les échanges entre les protagonistes pleins de tendresse et de profondeur.
  • cicie123lecture 01/05/2023
    L’histoire se déroule à Dublin en 1918 en pleine pandémie de grippe espagnole dans le service de quarantaine de la maternité. Les accouchements sont décris avec beaucoup de détails. Âmes sensibles s’abstenir. Certains passages étaient assez difficiles à lire mais ça permet de s’immerger complètement dans le récit. Dans ce livre, il est avant tout question de féminisme. Les femmes doivent se soutenir, s’entraider, s’épauler afin de soigner et accoucher aux miens leurs patientes atteintes de la grippe avec peu de moyens, d’équipements et d’espace. J’ai apprécié comment la jeune orpheline et bénévole, Bridie a fait preuve de courage et d’abnégation afin d’aider au mieux l’infirmière Julia qui s’était retrouvée seule à devoir gérer le service. Un roman historique en huit clos, oppressif et immersif.
  • Char_lit_ne 27/04/2023
    Le pavillon des combattantes #x26d1 |2023 ~ Lecture n°29| ••• La couverture me tentait beaucoup, le résumé un peu moins. Et pourtant... cette lecture a été une belle surprise. • Nous nous retrouvons au côté de Julia au sein d'un hôpital de Dublin, auprès de patientes touchées par une épidémie. Non non je vous rassure, pas Mr Coco #x1f637 puisque nous sommes en 1918. Il s'agit de la grippe. Le tout dans un pays ravagé par la guerre... Certaines descriptions médicales sont très poussées mais cela ne m'a pas dérangé dans le sens où celles-ci permettent de bien comprendre la souffrance qui pouvait toucher les femmes enceintes à l'époque mais aussi les conditions de vie de ces dernières. • Seul petit point négatif à ce roman : la longueur des quatre chapitres. Il faut compter une centaine de pages par chapitre. Alors ceux-celles qui comme moi aiment arrêter leur lecture à la fin d'un chapitre, il va falloir trouver une autre stratégie #x1f92d • Une très belle découverte dans le cadre du Grand Prix des Lecteurs Pocket #x1f338
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