La disparue de la cabine N°10 : Le livre de Ruth Ware

Un bon polar, l'intrigue tient la route, les personnages sont attachants sans être rop caricaturaux (même si parfois à la limite). Le tout est un peu grandiloquent mais reste agréable à lire, la dénouement n'Arrive pas comme une surprise mais il est efficace et satisfaisant.

Une croisière de rêve dans les fjords du Grand Nord. Un yacht luxueux, des passagers triés sur le volet, du champagne à volonté... jusqu'à ce qu’une journaliste entende un cri, voit une femme être jetée à la mer… et que personne ne manque à l’appel. Était-ce un cauchemar ou un meurtre ? Et surtout, qui ment à bord de l’Aurora ? Un thriller psychologique haletant où la croisière vire lentement à l’angoisse. Avec La Disparue de la cabine n°10, Ruth Ware nous embarque dans un huis-clos glaçant, très bien écrit et hautement addictif. Les personnages sont tous ambigus, l’ambiance devient de plus en plus pesante, et on soupçonne tout le monde… Le suspense monte crescendo jusqu’à un final tendu, impossible à lâcher. #128214; Un page-turner efficace à lire d’une traite, parfait pour les amateurs d’atmosphères troubles et de frissons à huis clos.

Une croisière de rêve dans les fjords du Grand Nord. Un yacht luxueux, des passagers triés sur le volet, du champagne à volonté... jusqu'à ce qu’une journaliste entende un cri, voit une femme être jetée à la mer… et que personne ne manque à l’appel. Était-ce un cauchemar ou un meurtre ? Et surtout, qui ment à bord de l’Aurora ? Un thriller psychologique haletant où la croisière vire lentement à l’angoisse. Avec La Disparue de la cabine n°10, Ruth Ware nous embarque dans un huis-clos glaçant, très bien écrit et hautement addictif. Les personnages sont tous ambigus, l’ambiance devient de plus en plus pesante, et on soupçonne tout le monde… Le suspense monte crescendo jusqu’à un final tendu, impossible à lâcher. #128214; Un page-turner efficace à lire d’une traite, parfait pour les amateurs d’atmosphères troubles et de frissons à huis clos.

Avec une ambiance moins riante et moins ensoleillée que dans le roman de C.A . Larmer lu précédemment ( Le club des amateurs de romans policiers, tome 5: Madame Wynter est morte ), c'est néanmoins le livre qui l'a inspiré. Le personnage principal a tendance a beaucoup boire, elle est sujette à de l'anxiété chronique et a été agressée chez elle deux jours avant d'embarquer sur un yacht de luxe pour une croisière en mer du Nord avec d'autres membres de la presse. Autant dire qu'elle n'est guère prise au sérieux lorsqu'elle dit avoir vu un meurtre en pleine nuit dans la fameuse cabine 10 :ça rappelle Le train de 16h50 d'Agatha Christie. Cependant, nous suivons son enquête et lisons à la fin de chaque partie les réactions de son compagnon de plus en plus inquiet de ne plus avoir de nouvelles d'elle. Quelqu'un l'a visiblement prise au sérieux. C'est un thriller honnête, l'angoisse est au rendez-vous, mais il ne m'a pas transportée plus que ça.