La Nanny : Le livre de Gilly MacMillan

Un bon thriller psychologique… de vacances. 3 générations de femmes sous un même toit (Lady Virginia Holt, Jo et Ruby), obligées de cohabiter par la force des choses. Aristocrate de la haute société anglaise, versus fille rebelle partie vivre en Californie depuis plus de 10 ans. Le décès du mari de Jo la laissant ruinée, elle est obligée de retourner vivre dans la maison familiale. La mère et la fille ont un lourd passé en manque d’amour. Manque d’amour comblé par la nourrice Hannah, à qui Jo voue un culte sans égal. Mais la grand-mère et la petite fille (Ruby) s’entendent comme larrons en foire. Jusqu’au retour de la nourrice de Jo, disparue sans prévenir 30 ans plus tôt… (des flash-back cernent cette période) ; Chaque protagoniste a droit à ses chapitres à part. Ce qui fait que le « son de cloche » n’est pas du tout le même. Le secret de famille commence peu à peu à prendre place. On est impuissants face à ce que l’on lit et l’on a envie d’accélérer les choses. Une belle plongée aussi dans le monde de l’art et de l’aristocratie avec ses codes, ses fêtes, ses toilettes, ses bijoux, ses dérives. Même si ce n’est pas le plus puissant des thrillers psy que j’ai pu lire, la fin réserve quelques surprises et j’ai, dans l’ensemble, plutôt bien aimé.

J’ai terminé La Nanny avec un sentiment assez mitigé. L’intrigue m’a globalement tenue en haleine, l’ambiance est bien maîtrisée et certains passages sont vraiment prenants. J’ai aimé me laisser porter par les secrets de famille, les non-dits, les tensions qui s’accumulent. Mais une fois la fin arrivée… la déception. Les révélations sont tombées un peu trop facilement à mon goût, comme si tout se résolvait sans réelle profondeur. Je me suis retrouvée à penser “Tout ça pour ça ?” L’histoire avait du potentiel, mais le dénouement manque d’impact, de finesse et de surprise. En bref, une lecture agréable sur le moment, mais qui me laisse un peu sur ma faim. Il m’a manqué ce petit quelque chose pour en faire un thriller marquant.

En 1987 Hanna la nounou de Jocelyn disparaît du jour au lendemain plusieurs années plus tard le mari de Jocelyn meurt et elle est obligée de rentrer en Angleterre avec sa fille Jocelyn ne sentant pas avec sa mère Verginia qui est froide et donne l'impression de ne pas aimer sa fille On comprend très vite que Hanna s'interposait entre la mère et la fille et faisait tout pour rendre la mère détestable et essaye même de prendre sa place Je n'ai aimé aucun des personnages Jocelyn a des œillères fasse à sa nounou se plaint de sa mère mais est bien contente qu'elle l'accueil dans son manoir Les 2 inspecteurs ne servent à rien dans l'histoire puisque qu'on apprend tout au fur et à mesure leurs enquête n'apporte rien Même si j'avais tout compris dès le début j'ai beaucoup apprécié ma lecture surtout les relations entre la fille la mère et la grand mère

Adoré, et dévoré. J’ai beaucoup aimé l’intrigue autour de cette Nanny. De plus, la façon dont l’autrice nous mène par le bout du nez a nous demander qui a vraiment raison est folle. J’ai constamment changé d’avis même si je voyais une faille et que petit à petit je commençais à tout comprendre. C’est fou que on peut facilement se faire berner en employant les bons mots et en faisant les bonnes actions. C’était vraiment une sympathique lecture avec une histoire très prenante.