Le Père Goriot : Le livre de Honoré de Balzac
Tous les chemins de la Comédie humaine partent du Père Goriot et de la sinistre pension Vauquer. La grande saga de l'Occident dont rêve Balzac commence par le martyre d'un père éperdu d'amour pour ses deux filles qui le bafouent, le torturent et le ruinent. Témoins de cette tragédie, le jeune Rastignac, qui va défier Paris, et le fabuleux Vautrin, ancien forçat, que l'on recroisera ultérieurement dans d'autres œuvres.
Un galérien des Lettres criblé de dettes imagine et crée sous nos yeux une fresque éternelle avec une puissance de visionnaire. Mystère du génie car personne, depuis, n'a réussi à démoder Balzac.
De (auteur) : Honoré de Balzac
Préface de : Gérard Gengembre
Expérience de lecture
Avis Babelio
Tiguidou
• Il y a 6 mois
Dans ce roman célèbre Balzac nous offre comme à l'habitude toute une galerie de personnages percutants, on a: Eugène Rastignac, étudiant ambitieux hynoptisé par `Le Monde`et voulant y faire sa place. Vautrin, bandit évadé, cynique, prêt à tout pour arriver à ses fins et démon tentateur pour Rastignac, Mme. Vauquer. tenancière de maison de chambre plus préoccupée de rentabilité que de confort pouir ses pensionnaires, Le père Goriot, plaçant l'amour de ses filles par dessus tout, prêt à se dépouiller pour satisfaire les exigences de ses deux filles, Anastasie Goriot, la plus égoïste des deux filles, et la plus ingrate Delphine Goriot, un peu moins pire que sa soeur. Tous ces personnages mous font voir une tranche de vie peu reluisante de cette société Parisienne du début du XIXe siècle. C'est surtout la personnalité des protagoniste qui est peu reluisante. Si on trouve les deux soeurs Goriot égoïstes et ingrates on peut aussi trouver que leur père est en quelque sorte complice de ces défauts et victime consentante de son propre malheur. L.auteur a les mots justes pour nous faire sentir la profondeur des vices et aussi des qualités de ses personnages. Même si on se doute bien que la fin de l'histoire ne peut être heureuse on reste accroché à cette histoire pour en connaître le fin mot et en tirer les leçons qui s'imposent.
Tiguidou
• Il y a 6 mois
Dans ce roman célèbre Balzac nous offre comme à l'habitude toute une galerie de personnages percutants, on a: Eugène Rastignac, étudiant ambitieux hynoptisé par `Le Monde`et voulant y faire sa place. Vautrin, bandit évadé, cynique, prêt à tout pour arriver à ses fins et démon tentateur pour Rastignac, Mme. Vauquer. tenancière de maison de chambre plus préoccupée de rentabilité que de confort pouir ses pensionnaires, Le père Goriot, plaçant l'amour de ses filles par dessus tout, prêt à se dépouiller pour satisfaire les exigences de ses deux filles, Anastasie Goriot, la plus égoïste des deux filles, et la plus ingrate Delphine Goriot, un peu moins pire que sa soeur. Tous ces personnages mous font voir une tranche de vie peu reluisante de cette société Parisienne du début du XIXe siècle. C'est surtout la personnalité des protagoniste qui est peu reluisante. Si on trouve les deux soeurs Goriot égoïstes et ingrates on peut aussi trouver que leur père est en quelque sorte complice de ces défauts et victime consentante de son propre malheur. L.auteur a les mots justes pour nous faire sentir la profondeur des vices et aussi des qualités de ses personnages. Même si on se doute bien que la fin de l'histoire ne peut être heureuse on reste accroché à cette histoire pour en connaître le fin mot et en tirer les leçons qui s'imposent.
soubour
• Il y a 6 mois
Le personnage "Père Goriot" me semble outrancier et sans réelle profondeur. Faut-il être fou et sans jugeotte pour aimer comme il aime! Est-il un personnage ou un faire-valoir d'ailleurs? Ou alors la figure sublimée de la Paternité a une fonction sociale qui m'échappe. Par contre, tous les autres, à commencer par Rastignac, m'ont captivée. L'écriture est magistrale et la construction du roman insurpassable. Lire le père Goriot très tard dans sa vie est une bénédiction aussi: il y a du Proust dans madame de Beausseant et Delphine, il y a du Simenon dans la pension Vauquer, il y a du Flaubert dans Rastignac et Blanchon et il y a du Céline dans la veuve Vauquer.
soubour
• Il y a 6 mois
Le personnage "Père Goriot" me semble outrancier et sans réelle profondeur. Faut-il être fou et sans jugeotte pour aimer comme il aime! Est-il un personnage ou un faire-valoir d'ailleurs? Ou alors la figure sublimée de la Paternité a une fonction sociale qui m'échappe. Par contre, tous les autres, à commencer par Rastignac, m'ont captivée. L'écriture est magistrale et la construction du roman insurpassable. Lire le père Goriot très tard dans sa vie est une bénédiction aussi: il y a du Proust dans madame de Beausseant et Delphine, il y a du Simenon dans la pension Vauquer, il y a du Flaubert dans Rastignac et Blanchon et il y a du Céline dans la veuve Vauquer.
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Classiques et Littérature , Littérature Classique
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- EAN
- 9782823873412
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- Collection ou Série
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- Format
- Livre numérique
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- DRM
- Filigrame numérique
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