Les cinq blessures qui empêchent d'être soi-même : Le livre de Lise Bourbeau

Ouf ! Content de l'avoir fini. Débarrassé. Encore un DP ! Ras-le-bol de me laisser influencer par mon fils ! Cependant, je remarque que la centaine de DP ( Dév. Perso) qu'il a lus lui ont permis de se calmer, ce qui n'était pas gagné, vu qu'il fut un lion hurlant jusqu'à un âge avancé. Il a pris conscience de sa blessure d'abandon, et donc, nous a pardonné, à mon ex et à moi-même. Ca fait du bien à tout le monde ! Perso, aucun intérêt de lire ce livre, sinon que je ressemble, dans les nombreux exemples, au rigide qui a la blessure d'injustice. Yann me dit, mais non, toi c'est l'humiliation ! Ah bon ? D'accord ... Qu'est-ce que j'en ai à fiche ? D'abord, Lise trucmuche, euh Lise Bourbeau va beaucoup trop loin pour moi. En effet, je considère qu'il y a deux niveaux de croyance dans l'au-delà ( arrière monde de Nietzsche ... Euh, Denis, tu nous barbes avec ton chouchou). 1) Les Esprits : l'ensemble de Dieu est l'ensemble des ancêtres décédés qui nous protègent, c'est la philosophie de mon ex Lise D, de Patricia Darré et d'Alain Joseph Bellet, et enfin de moi-même ( 7 accidents graves, deux égratignures). 2) La réincarnation hindoue, croyance de Lise Bourbeau qui s'embourbe ou pas, et de Yann qui a vécu, dit-il, 256 vies. pour arriver à régler ces cinq petites blessures de l'âme ou de l'égo. Bon sang ! 256 vies pour enfin être bien, boudu ! Perso, je ne crois pas à la réincarnation, à la migration des âmes ... Donc cette lecture est quelque part no way pour moi. Cependant, même si Lise Bourbeau se trompe éventuellement sur les nominations des cinq blessures, il y a de nombreux petits exemples concrêts, car en général les femmes sont plus pratiques que les hommes, même comme chercheuses, je pense, que chacun peut piocher dans la soupe. Enfin, l'immense travail de recherche que l'auteure a effectué, et bellement synthétisé est sans-doute une approche pour un développement plus approfondi et plus juste dans ce domaine de la psychologie (emprunt au latin psychologia. Ce mot latin a été créé tardivement, au XV e ou XVI e siècle, par des savants humanistes à partir des éléments grecs psukho-, « âme, souffle (de vie) », et -logia, « étude, science ».)

Facile à lire et à comprendre. C'est un livre lumineux et éclairant. Les personnes qui n'aiment sont celles qui ne sont pas prêtes à travailler sur elle-même. Ce livre permet de révéler des points en tout objectivité à côté desquels on aurait pu passer que ça soit pour soi ou pour notre entourage.

Alors habituellement, les livres traitant de psychologie ce n'est pas (du tout!) mon truc. Et pourtant, j'en ai déjà essayés que j'ai soit abandonnés soit terminés avec la plus grande misère du monde. C'est surtout Madame qui m'a incité (pour ne pas dire obligé) à le lire dans le but d'ouvrir les yeux sur les caractères de chaque membre de notre famille et les interactions qui en découlent. Et bien finalement, j'ai réussi à le lire presque d'une traite et sans difficulté. Alors oui, je lis ici beaucoup de commentaires traitant cet ouvrage/essai/analyse de simpliste, stéréotypé, réducteur, etc. Cependant, pour moi, ce livre nous donne les clés pour réfléchir plus loi, en apprendre plus sur soi et sur les autres qui nous entourent. Au final, une expérience de lecture qu'on pourra qualifier de satisfaisante dans le sens où j'ai appris des choses et je ne me suis pas ennuyé.

Livre très interessant meme si je ne suis pas d'accord avec tout. Je l'ai trouvé très constructif malgré tout et il y a des éléments pertinents dedans. Il permet de voir clair sur différents points de notre vie mais selon moi, il faut tout de même garder son esprit critique ouvert