Verity : Le livre de Colleen Hoover, Clémentine Domptail, Camille Lamache

Alors là.. je l'ai fini en 2 jours mais bon ya pas beaucoup de pages et ensuite il est tellement perturbant que je voulais limite "m'en débarrasser". Je mets ça entre guillemets parce que j'ai quand même apprécié ce livre. Ça change de ce qu'écrit Colleen et ça confirme son talent, surtout qu'on sent quand même le changement de plume quand elle est dans les différents personnages (surtout à la fin wouah). Le gros point négatif c'est vraiment I'histoire Jeremy-Lowen, elle est tellement là pour être là mais c'est superficiel, 0 crédibilité. Aussi , Lowen est la protagoniste mais j'ai pas réussi à m'attacher (mais bon la vraie protagoniste c'est Verity). Mais là où tire ma révérence c'est le coté suspense psk purée j'étais a fond du début à la fin, le style d'écriture est cash et c'est perturbant au début mais on s'y habitue vite. LA FIN MAIS PLUS GROS PLOT TWIST DE L'HISTOIRE MOI QUI LES ADORE QU'EST-CE QUE JAI ÉTÉ SERVIE, j'ai littéralement ouvert grand la mâchoire et ça a bien rajouté 2 points à ma note finale. Fin bref, je recommande mais soyez prévenus, c'est loin d'être la lecture la plus plaisante de votre vie et on est loin de la romance. Ah oui, petite remarque ya que 2 dames roses mais j'en mettrai bien 3 mdrr, ya tout le temps des scènes comme ça (bon ça fait partie de l'intrigue après donc je peux pas vous en dire plus) mais encore une fois on est trèsss cash

Incroyable #x1f44c , prenant du début à la fin , et pour ainsi dire à su me faire angoissé plus d'une fois . Tantôt l'on se fait une idée... aussi vite bousculer pour une autre . Lu en à peine 3h , tellement c'est fluide . Et quels regrets d'en avoir fini , j'aurais aimé continuer à le lire encore des heures . 10/10 #x1f44c#x1f44c#x1f44c

J’ai trouvé cette histoire assez captivante. Un plot twist intéressant sur la fin, qui nous fait douter de la réalité. Laquelle choisir ? Si on choisit de croire l’histoire d’une mère capable de tuer son enfant et d’inventer un handicap, alors la fin est quoi que décevante car prévisible. Si on choisit de croire qu’il ne s’agissait que d’une mère aimante ayant inventé une histoire horrible, dans le cadre d’un travail d’écriture, alors ça enlève du charme à l’histoire. Je m’attendais à des moments beaucoup plus terrifiants et intenses, mais j’ai beaucoup aimé ce style d’écriture. Je le recommande pour les jeunes lecteurs

J’ai abordé Verity en m’attendant à un thriller psychologique plutôt classique, mais Colleen Hoover a su me surprendre bien au-delà de mes attentes. Dès les premières pages, l’atmosphère trouble et oppressante s’installe, et le lecteur se retrouve plongé dans une tension psychologique croissante, presque étouffante. Ce qui m’a le plus marqué, c’est le malaise constant que provoque le point de vue de Verity. Ses pensées, ses actes, et la manière dont elle retranscrit les événements suscitent à la fois fascination et dégoût. Hoover explore ici les zones grises de la psyché humaine, jouant habilement avec la perception du bien et du mal, de la vérité et du mensonge. Et puis vient le twist final, déroutant, magistral, qui remet en question tout ce que l’on pensait avoir compris. Je ne m’y attendais absolument pas, et c’est sans doute ce retournement qui fait toute la force du roman. Même une fois le livre refermé, on reste hanté par cette ambiguïté : où s’arrête la fiction, où commence la folie ? Si je lui mets 4/5, c’est parce que malgré la puissance de l’intrigue et la tension parfaitement maîtrisée, certains passages flirtent avec l’excès — parfois trop dérangeants, presque gratuits. Mais au fond, c’est peut-être justement ce malaise qui rend Verity aussi marquant.