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L'Homme qui haïssait le Bien
Date de parution : 20/04/2017
Éditeurs :
Robert Laffont

L'Homme qui haïssait le Bien

Date de parution : 20/04/2017

Le crime était une maladie. On a découvert le traitement.
Qu’y a-t-il dans la tête de Franck Corsa, le psychopathe le plus dangereux de France ?
Pour la première fois, grâce...

Le crime était une maladie. On a découvert le traitement.
Qu’y a-t-il dans la tête de Franck Corsa, le psychopathe le plus dangereux de France ?
Pour la première fois, grâce aux progrès fulgurants de l’imagerie cérébrale, quelques scientifiques peuvent le savoir. Ils proposent alors un marché au prisonnier : effacer...

Le crime était une maladie. On a découvert le traitement.
Qu’y a-t-il dans la tête de Franck Corsa, le psychopathe le plus dangereux de France ?
Pour la première fois, grâce aux progrès fulgurants de l’imagerie cérébrale, quelques scientifiques peuvent le savoir. Ils proposent alors un marché au prisonnier : effacer les causes du mal dans son cerveau par une opération chirurgicale jamais tentée à ce jour.
Lorsque Corsa se réveille, il n’est plus le même homme. Bonté, compassion, douleur : toute une gamme de sentiments humains lui est brusquement révélée.
Seul problème : être un homme bon ne faisait pas partie de ses plans.

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EAN : 9782221192382
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221192382
Façonnage normé : EPUB2
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Gr3nouille2010 23/07/2017
    Si la couverture ne m'attirait pas spécialement, le résumé m'a bien convaincu ! J'ai vu seulement après l'avoir commencé que c'était une suite mais ça ne m'a pas spécialement dérangée pour comprendre l'intrigue. J'ai peut-être eu un peu de mal à resituer certains personnages, notamment Corsa, mais au fil de la lecture, c'était déjà plus simple et, en bref, ça ne m'a pas dérangé plus que ça. Des scientifiques ont découvert que si certains psychopathes sont comme tels, c'est à cause d'une maladie, un élément manquant dans le cerveau. Lorsqu'ils se sont rendus compte de ça, ils offrent l'opportunité à Corsa, le psychopathe le plus dangereux, de subir une intervention chirurgicale afin de remédier à son état. Corsa se réveille complètement changé. Il ressent des regrets pour ce qu'il a fait, de la douleur, de la compassion... Et ça ne lui plait pas tellement, c'est pas tout à fait ce qu'il avait prévu... Mise à part certains personnages que j'ai eu du mal à resituer, surtout Corsa, je pense qu'il m'a manqué quelque chose au niveau de l'intrigue également. Pas suffisamment pour ne pas la comprendre, c'est suffisamment clair, mais plutôt pour l'apprécier à sa juste valeur. L'intrigue tourne principalement autour de Neuroland et de Corsa, c'est pour ça qu'il doit me manquer certaines infos je pense mais j'ai pu apprécier une très grande partie de l'intrigue car le concept est vraiment génial ! En effet, j'ai adoré comment l'auteur a mis tout le procédé d'une potentielle guérison liée aux criminels. On peut se poser des questions sur le rôle de la société envers ce procédé, jusqu'où elle est capable d'aller... Bien ce que soit un procédé, ici, très glauque, j'ai adoré suivre cette affaire et aussi l'impacte que ça a sur Corsa. Par contre, en ce qui concerne l'opération sur Corsa, ou plutôt sur "l'après", je dois dire que je ne suis pas toujours convaincue par les événements. Corsa est conscient que quelque chose ne va pas dans son cerveau, il ne veut pas ressentir tout ce bien en lui et ce qu'il fait pour y remédier me parait très peu crédible. Mais qu'importe, l'intrigue est suffisamment intrigante, intéressante et bien ficelée pour que l'on y accroche et que l'on tourne les pages avec grand plaisir ! En ce qui concerne les personnages, je ne sais donc pas si ça vient du fait que je n'ai pas lu le roman précédent mais je les ai trouvés peu développés. J'ai eu l'impression d'avoir découvert Maria et Vincent seulement en surface. Quant à Corsa, il est très intéressant comme personnage mais il m'a manqué quelques infos pour vraiment le cerner... Je pense, du coup, m'intéresser de plus près au précédent roman pour comprendre qui il est réellement ! Un thriller addictif dont l'intrigue m'a beaucoup captivée. J'ai adoré découvrir jusqu'où les personnes hauts placées sont capables d'aller pour se couvrir, pour se faire bien voir et pour atteindre l'inatteignable... Il m'a manqué quelques infos mais je ne me suis pas ennuyée une seule seconde ! Si la couverture ne m'attirait pas spécialement, le résumé m'a bien convaincu ! J'ai vu seulement après l'avoir commencé que c'était une suite mais ça ne m'a pas spécialement dérangée pour comprendre l'intrigue. J'ai peut-être eu un peu de mal à resituer certains personnages, notamment Corsa, mais au fil de la lecture, c'était déjà plus simple et, en bref, ça ne m'a pas dérangé plus que ça. Des scientifiques ont découvert que si certains psychopathes sont comme tels, c'est à cause d'une maladie, un élément manquant dans le cerveau. Lorsqu'ils se sont rendus compte de ça, ils offrent l'opportunité à Corsa, le psychopathe le plus dangereux, de subir une intervention chirurgicale afin de remédier à son état. Corsa se réveille complètement changé. Il ressent des regrets pour ce qu'il a fait, de la douleur, de la compassion... Et ça ne lui plait pas tellement, c'est pas tout à fait ce qu'il avait prévu... Mise à part certains personnages que j'ai eu du mal à resituer, surtout Corsa, je pense qu'il m'a manqué quelque chose au niveau de l'intrigue également. Pas suffisamment pour ne pas la comprendre, c'est suffisamment clair, mais plutôt pour l'apprécier à sa juste valeur. L'intrigue tourne principalement autour de...
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  • Goewin 07/06/2017
    Un thriller foisonnant, addictif, mais pas toujours crédible. Je remercie NetGalley ainsi que les Éditions Robert Laffont pour ce Service Presse. Je regrette de ne pas avoir fait attention au fait qu’il s’agissait d’un second tome faisant suite à Neuroland. Cela ne gêne en rien la compréhension de l’intrigue mais on sent quand même que certains éléments nous manquent. Par exemple, qu’est-il arrivé exactement à Franck Corsa pour qu’il soit obligé d’être bandé des pieds à la tête ? Franck Corsa est l’un des pires psychopathes de France et face à sa victime, Maria, non seulement il n’a aucun remords mais il a l’intention de recommencer dès qu’il sera libre. C’est pour cela qu’il accepte de se soumettre aux analyses ainsi qu’à l’opération du cerveau et au traitement qui lui sont proposés : on lui implantera dans le cerveau des cellules souches qui viendront réparer les causes de sa psychopathie. Franck n’y croit absolument pas ; d’abord pour lui, son cerveau est parfaitement normal et donc l’implantation de cellules souches ne modifiera en rien son comportement. Mais s’il n’y a que cela pour se retrouver libre, aucun problème, il jouera la comédie. Sauf que ces fameuses cellules sont bien en train de le transformer et cela le rend fou de rage de se découvrir plein d’empathie, de remords, de désir de se racheter. Sébastien Bohler a écrit un thriller dense, foisonnant, débordant d’intrigues et de rebondissements. Maria et son fiancé Vincent sont pratiquement les seuls personnages attachants du livre avec Olga la psychiatre. Quant aux autres, nous avons le choix entre les politiciens qui n’ont aucun sens moral et qui acceptent des rétrocommissions, un médecin qui est une véritable ordure pratiquant le viol et la traite humaine, un directeur de laboratoire plus préoccupé par l’obtention du Prix Nobel que par le respect de la vie humaine et des lois. Maria est une toute jeune femme qui a connu l’enfer à cause de Franck et qui est profondément marquée. À cause des viols subis, elle ne parvient pas à avoir de relations physiques avec Vincent malgré tout leur amour. Elle manifeste un courage absolument hallucinant en continuant à côtoyer Franck. Elle est à l’origine de l’expérience visant à lui implanter des cellules souches car elle est persuadée que si elle parvient à comprendre ses motivations, elle pourra guérir. Et effectivement, Franck commence à manifester de l’empathie, à regretter ses actes et à vouloir se racheter. Dès qu’il montre des marques de repentir, Maria est guérie, comme ça, en un clin d’œil. Bien que je le lui souhaite, cela ne me paraît pas très crédible. De même, l’opération que Franck pratique sur lui-même me semble totalement irréaliste. Il y a encore bien d’autres passages où il me semble que l’auteur n’a fait que survoler les problèmes. Je pense que cela est dû à la nécessité de tout faire contenir dans un seul volume. Sébastien Bohler nous conte tellement d’histoires différentes qui à elles seules auraient presque mérité un tome séparé pour être traitées en profondeur : la proposition de loi de réforme de santé pénale ; le passé de Franck qui nous permet de comprendre en partie ce qu’il est devenu ; les expériences menées sur le cerveau, comment en est-on arrivé là ? y a-t-il eu des expériences menées avant de les tester sur des cobayes humains ? à moins que cela ait été indiqué dans le premier tome ? ; la neurosophie ainsi que le rôle de Carlo et ses techniques de méditation ; Vincent et sa découverte du code neural… L’auteur dénonce également l’exploitation éhontée de la misère existant dans certains pays par les grandes puissances. Ainsi nous faisons la connaissance du docteur Andrew Nichols, un médecin qui non seulement est complice de ceux qui empoisonnent l’eau du fleuve au Nicaragua mais en plus profite de son ascendant pour se livrer à des actes de viol et d’avortements forcés pour se procurer des cellules souches. J’ai dévoré ce thriller politico-médical. Je me suis particulièrement attachée à Maria qui n’a peur de rien pour faire éclater la vérité ou défendre la justice. Comme j’ai vraiment envie de savoir ce qui lui est arrivé, je compte bien lire le premier tome Neuroland et j’attends avec impatience la suite de ses aventures. Idem pour Vincent qui se retrouve dans une position très inconfortable à la fin de ce livre. Quant à Franck, j’espère vraiment qu’on parviendra à le mettre hors d’état de nuire définitivement. Un thriller foisonnant, addictif, mais pas toujours crédible. Je remercie NetGalley ainsi que les Éditions Robert Laffont pour ce Service Presse. Je regrette de ne pas avoir fait attention au fait qu’il s’agissait d’un second tome faisant suite à Neuroland. Cela ne gêne en rien la compréhension de l’intrigue mais on sent quand même que certains éléments nous manquent. Par exemple, qu’est-il arrivé exactement à Franck Corsa pour qu’il soit obligé d’être bandé des pieds à la tête ? Franck Corsa est l’un des pires psychopathes de France et face à sa victime, Maria, non seulement il n’a aucun remords mais il a l’intention de recommencer dès qu’il sera libre. C’est pour cela qu’il accepte de se soumettre aux analyses ainsi qu’à l’opération du cerveau et au traitement qui lui sont proposés : on lui implantera dans le cerveau des cellules souches qui viendront réparer les causes de sa psychopathie. Franck n’y croit absolument pas ; d’abord pour lui, son cerveau est parfaitement normal et donc l’implantation de cellules souches ne modifiera en rien son comportement. Mais s’il n’y a que cela pour se retrouver libre, aucun problème, il jouera la comédie. Sauf que ces fameuses cellules sont bien en train de...
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  • angelita.manchado 03/06/2017
    Avis L’homme qui haïssait le bien de Sébastien Bohler Par quel bout prendre cette critique ? J’en ai mis partout sur mon cahier. Le premier point est que ce titre peut se lire indépendamment du premier, soit Neuroland. Mais si vous êtes comme moi et avoir tous les atouts en main, je pense qu’il vaut mieux lire Neuroland avant. Ce n’est pas mon cas et je le regrette car j’aurais pu faire connaissance avec les personnages, notamment Franck Corsa et Maria. Nous avons une très belle palette de personnages, des plus véreux aux plus sympathiques. Commençons par Franck Corsa, dans l’attente de son jugement pour de nombreux meurtres. Une de ses victimes, Maria, est toujours vivante. Elle a subi l’horreur. Mais même si elle est meurtrie dans son corps, dans sa chair, elle tente de trouver des explications à ce qu’a pu faire Franck Corsa. Elle a vu même une part d’humanité en lui. Ce n’est pas pour plaire à son petit ami, Vincent, qui travaille à Neuroland. Maria et Vincent sont amoureux mais le viol a fait que Maria ne peut plus être touchée. Vincent est brillant, thésard, mais trop jeune pour bousculer les uns et les autres. Le Prix Nobel est en vue. Malgré ses recherches, il fera les frais de ce qui se passe dans ce roman. Franck Corsa n’a pratiquement plus de corps. Il doit continuellement se faire soigner. Son enfance et ce qu’il a vu jouent beaucoup dans l’homme qu’il est devenu. Psychopathe, il est un des premiers à subir cette intervention dans son cerveau. Comme il veut que la vérité éclate, il accepte. Mais attention à ceux en qui il a placé sa confiance. Ils ne feront pas long feu car, en plus, Franck Corsa, détient de nombreux secrets qui peuvent faire tomber des personnalités haut placées. Le lecteur assiste à une véritable chasse à l’homme. Le temps presse pour que cessent des pratiques détestables, pour que la vérité éclate, pour qu’un attentat ne soit pas commis. De plus, le Prix Nobel se profile pour récompenser des chercheurs et leur travail. Un roman tout à fait dans l’air du temps avec sa trame politique, les conflits d’intérêt, les rétro commissions. Le rythme ne faiblit pas. L’auteur réussi la prouesse de nous faire voyager, de nous narrer ces peuples qui souffrent, qui subissent la cupidité des nantis. Tout est bien agencé, il n’y a aucun temps mort. L’histoire, par étapes, coïncide parfaitement. Les personnages sont bien étudiés, tout comme leur évolution psychologique. Les éléments sont parfaitement liés, la politique, les lois, les cobayes, la médecine et le progrès. Le chantage est également bien présent tout comme le travail journalistique. Je pense que l’auteur fait aussi référence à deux célèbres présentateurs du journal télévisé mais aussi au suicide d’un célèbre Premier Ministre.Avis L’homme qui haïssait le bien de Sébastien Bohler Par quel bout prendre cette critique ? J’en ai mis partout sur mon cahier. Le premier point est que ce titre peut se lire indépendamment du premier, soit Neuroland. Mais si vous êtes comme moi et avoir tous les atouts en main, je pense qu’il vaut mieux lire Neuroland avant. Ce n’est pas mon cas et je le regrette car j’aurais pu faire connaissance avec les personnages, notamment Franck Corsa et Maria. Nous avons une très belle palette de personnages, des plus véreux aux plus sympathiques. Commençons par Franck Corsa, dans l’attente de son jugement pour de nombreux meurtres. Une de ses victimes, Maria, est toujours vivante. Elle a subi l’horreur. Mais même si elle est meurtrie dans son corps, dans sa chair, elle tente de trouver des explications à ce qu’a pu faire Franck Corsa. Elle a vu même une part d’humanité en lui. Ce n’est pas pour plaire à son petit ami, Vincent, qui travaille à Neuroland. Maria et Vincent sont amoureux mais le viol a fait que Maria ne peut plus être touchée. Vincent est brillant, thésard, mais trop jeune pour bousculer les uns et les autres. Le Prix Nobel est...
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  • Melvie77 30/05/2017
    Il est important , tout d'abord, de savoir que ce roman est le second tome d'une série, initiée en 2015 par le roman Neuroland. Il aurait été judicieux de l'indiquer en couverture ou en 4e de couverture car même si on retombe facilement sur nos pieds, on est assez vite largué et frustré de ne pas savoir ce que les personnages ont vécu précédemment, même si on en a une petite esquisse... Ce thriller politico-scientifique est haletant et intense. La 4e de couverture ne lui rend pas justice car ce qui y est rapporté n'est qu'une infime partie de ce qui s'y déroule. Un trafic d'embryons au Nicaragua, des magouilles au plus haut niveau de l'Etat, du terrorisme, un programme scientifique visant à réinsérer les pires psychopathes en leur donnant une conscience, une chasse à l'homme à travers l'Europe... L'homme qui haïssait le bien comporte beaucoup de thèmes forts et intéressants et même si certains points bénéficient d'une suspension d'incrédulité, Sébastien Bohler nous livre un thriller hypnotique avec des scènes au Nicaragua extrêmement dures . L'auteur nous expose des thèmes très prenants dont certains sur 416 pages ne sont malheureusement que survolés. Une très bonne lecture au demeurant avec plusieurs sujets qui collent au plus près de notre actualité, ce qui rend encore plus glaçant ce thriller et une fin qui laisse présager d'un troisième tome car nous n'obtenons pas toutes les réponses à nos questions.Il est important , tout d'abord, de savoir que ce roman est le second tome d'une série, initiée en 2015 par le roman Neuroland. Il aurait été judicieux de l'indiquer en couverture ou en 4e de couverture car même si on retombe facilement sur nos pieds, on est assez vite largué et frustré de ne pas savoir ce que les personnages ont vécu précédemment, même si on en a une petite esquisse... Ce thriller politico-scientifique est haletant et intense. La 4e de couverture ne lui rend pas justice car ce qui y est rapporté n'est qu'une infime partie de ce qui s'y déroule. Un trafic d'embryons au Nicaragua, des magouilles au plus haut niveau de l'Etat, du terrorisme, un programme scientifique visant à réinsérer les pires psychopathes en leur donnant une conscience, une chasse à l'homme à travers l'Europe... L'homme qui haïssait le bien comporte beaucoup de thèmes forts et intéressants et même si certains points bénéficient d'une suspension d'incrédulité, Sébastien Bohler nous livre un thriller hypnotique avec des scènes au Nicaragua extrêmement dures . L'auteur nous expose des thèmes très prenants dont certains sur 416 pages ne sont malheureusement que survolés. Une très bonne lecture au demeurant avec plusieurs sujets qui collent...
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  • Cookies72 25/05/2017
    Première frustration, il s'agit d'une suite - celle de Neuroland. J'ai lu qu'il pouvait être lu de façon indépendante mais j'ai des TOC de ce côté-là et je n'aime pas lire une suite sans avoir lu le premier tome! Du coup, je reste avec de nombreuses questions. Néanmoins l'histoire est assez intéressante. Si vous aimez le côté "recherches scientifiques", le côté "compréhension du cerveau" et le côté "thriller". Un mix des trois assez bien ficelé. Franck Corsa, le plus dangereux psychopathe de France est derrière les barreaux mais pour faire avancer la science on va lui proposer un deal: servir de cobaye. On lui propose de guérir le "mal" qui fait de lui cet être machiavélique et pervers. Seulement les choses ne vont pas se dérouler comme on le souhaite. Car Franck se retrouve dans la tête d'un homme qu'il ne veut pas être, un homme qu'il maudit, celui d'un homme bon et compatissant! Vincent est le scientifique qui va s'occuper du cas de Corsa mais il est aussi le compagnon de la victime de Corsa! Celle-ci a d'ailleurs donné son aval pour cette intervention afin de comprendre le pourquoi du Mal. Vincent espère ainsi décroché le prix Nobel. Mais tout se corse lorsque Corsa devenu un homme "bon" décide d'aider la justice et de faire tomber des têtes. C'est dès lors, la partie la plus prenante du livre, celle de la fuite, des révélations. Une bonne histoire même si je reste un peu sur mes questions. Mais j'ai adoré le côté scientifique avec l'avancée technologique ainsi que la prise de positions par rapport aux criminels les plus dangereux.Première frustration, il s'agit d'une suite - celle de Neuroland. J'ai lu qu'il pouvait être lu de façon indépendante mais j'ai des TOC de ce côté-là et je n'aime pas lire une suite sans avoir lu le premier tome! Du coup, je reste avec de nombreuses questions. Néanmoins l'histoire est assez intéressante. Si vous aimez le côté "recherches scientifiques", le côté "compréhension du cerveau" et le côté "thriller". Un mix des trois assez bien ficelé. Franck Corsa, le plus dangereux psychopathe de France est derrière les barreaux mais pour faire avancer la science on va lui proposer un deal: servir de cobaye. On lui propose de guérir le "mal" qui fait de lui cet être machiavélique et pervers. Seulement les choses ne vont pas se dérouler comme on le souhaite. Car Franck se retrouve dans la tête d'un homme qu'il ne veut pas être, un homme qu'il maudit, celui d'un homme bon et compatissant! Vincent est le scientifique qui va s'occuper du cas de Corsa mais il est aussi le compagnon de la victime de Corsa! Celle-ci a d'ailleurs donné son aval pour cette intervention afin de comprendre le pourquoi du Mal. Vincent espère ainsi décroché le prix Nobel. Mais tout se corse...
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