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1. Méto : La maison
Collection : Méto
Série : Méto
Date de parution : 18/04/2013
Éditeurs :
Pocket jeunesse

1. Méto : La maison

Collection : Méto
Série : Méto
Date de parution : 18/04/2013

Soixante-quatre enfants vivent coupés du monde, dans une grande maison. Chacun d’eux sait qu’il devra en partir lorsqu’il aura trop grandi. Mais qu’y a-t-il après la «Maison»…?

EAN : 9782266238205
Code sériel : 2549
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266238205
Code sériel : 2549
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 240
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Mouche307 10/04/2024
    Après avoir lu toute la série, je relis à nouveau le premier et retrouve avec plaisir les personnages dont on fait ici la connaissance. Dans la maison, les règles sont strictes, et si on ne les comprend pas, il faut quand même les appliquer. N'y vivent que des garçons, enfants et adolescents, tous avec des prénoms latins, sous la direction et le contrôle des César. Ils suivent des cours, font du sport, mais personne ne sait ce qu'ils deviennent lorsque le temps de leur apprentissage est fini. Chaque âge porte une couleur, et quand un grand part, un petit arrive. Meto aimerait comprendre et percer les secrets de cette maison avant que son tour n'arrive de devoir la quitter. L'univers dystopique est bien campé avec ses lois individuellement absurdes mais qui font sens quand elles sont considérées sous un autre angle. Les mécanismes qui président à la suite sont déjà bien mis en place et chaque personnage a son rôle à jouer.
  • yelenavaugeoisauteure 11/11/2023
    Je sais, le résumé ne donne pas trop envie mais laissez-nous tenter par cette incroyable aventuré, aux côtés de Méto et ses amis. Il est un jeune garçon, brave et intrépide, auprès duquel j'ai direct accroché. Mais au-delà du héros, j'ai également grandement apprécié l'auteur.
  • alinaklsnv 22/08/2023
    Bien que ce 1er tome soit court, il est très prenant ! On a l'impression d'être dans "1984" de George Orwell où l'homme n'a plus aucun pouvoir sur sa propre vie. Les personnages évoluent dans cette Maison, coupée de l'extérieur, comme s'ils étaient dans une prison. Ils possèdent aucun souvenir de leur ancienne vie ! • Ils sont en permanence surveillés par les Césars, qui les punissent sévèrement : la claque tournante ou encore le passage au frigo. C'est assez violent, mais cette dystopie nous ouvre les yeux sur un monde où il faut se soulever pour voir les choses changer. • Ils ont pratiquement tous des noms qui finissent en us, j'espère que dans les prochains tomes on saura pourquoi. En dehors de la terminaison en us, les professeurs sont nommés par des lettres. Les us, les lettres, les Césars, tout semble être fait pour leur enlever leur identité propre, pour en faire des soldats et des marionnettes. • La 1ère partie est un peu longue, mais très vite, dès qu'ils commencent à se poser des questions, le mystère plane sur la 2nd partie. Ils veulent savoir ce qu'ils font là, quel est l'avenir qui les attend après avoir dépassé l'âge limite, etc. • Le récit est rythmé et il y a beaucoup de suspense. Je n'aime pas beaucoup les livres avec peu de descriptions, mais là, je me suis laissée porter. J'ai hâte d'en apprendre davantage !Bien que ce 1er tome soit court, il est très prenant ! On a l'impression d'être dans "1984" de George Orwell où l'homme n'a plus aucun pouvoir sur sa propre vie. Les personnages évoluent dans cette Maison, coupée de l'extérieur, comme s'ils étaient dans une prison. Ils possèdent aucun souvenir de leur ancienne vie ! • Ils sont en permanence surveillés par les Césars, qui les punissent sévèrement : la claque tournante ou encore le passage au frigo. C'est assez violent, mais cette dystopie nous ouvre les yeux sur un monde où il faut se soulever pour voir les choses changer. • Ils ont pratiquement tous des noms qui finissent en us, j'espère que dans les prochains tomes on saura pourquoi. En dehors de la terminaison en us, les professeurs sont nommés par des lettres. Les us, les lettres, les Césars, tout semble être fait pour leur enlever leur identité propre, pour en faire des soldats et des marionnettes. • La 1ère partie est un peu longue, mais très vite, dès qu'ils commencent à se poser des questions, le mystère plane sur la 2nd partie. Ils veulent savoir ce qu'ils font là, quel est l'avenir qui les attend après avoir dépassé l'âge limite, etc. • Le récit est rythmé et il y...
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  • Lodetinqueux 15/05/2023
    J'ai découvert Méto un peu par hasard, au détour de critiques qui la mettaient au nombre des meilleures dystopies pour la jeunesse. Ce n'est pas mon genre favori mais une bonne dystopie, écrite par un auteur français, cela m'intriguait et m'attirait. L'histoire a été très bien résumée par bcp de lecteurs : un huis-clos strictement masculin, avec 64 garçons répartis selon leur âge et soumis à un emploi du temps rigide et parfois violent. Placés sous la houlette des surveillants, les "Césars", ils n'ont aucune liberté - impossible de sortir de la "maison" qui donne son titre au premier tome - ni aucune information sur leur passé (qu'ils ont oublié) ou sur leur futur : dès qu'ils deviennent trop grand et que leur lit "craque", ils disparaissent sans que nul, parmi ceux qui restent, ne sache ce qu'il advient de lui. Le rythme est d'abord assez lent, le temps de mettre en place cet univers aux règles étonnantes ; puis les choses s'accélèrent et le tome 1 se termine en laissant en suspens de nombreuses questions. Pour ma part, j'ai apprécié que l'auteur prenne son temps et "pose" ses personnages ; j'ai aussi apprécié une certaine originalité (même si les vrais amateurs de dystopies auront su repérer, bien mieux que moi, la présence de "clichés" !), ainsi que l'écriture, assez fluide et efficace, d'Yves Grevet. J'ai aussi apprécié le choix d'une focalisation interne stricte, qui nous fait vivre tout le récit à travers les yeux du protagoniste Méto, un "grand" (autrement dit un "rouge", dans cet univers où chaque classe d'âge est associée à une couleur) plus déterminé et rebelle que les autres. Même s'il s'agit d'un roman jeunesse, on sent que l'auteur souhaite attirer notre attention sur des sujets importants : la peur de grandir, le pouvoir et ses dérives, le "vivre-ensemble" (pour reprendre un terme à la mode !), mais aussi la confiance, l'amitié (et leurs corollaires : la trahison et la haine). Du côté des réserves, je mentionnerai le grand nombre de personnages, presque tous affublés, qui plus est, d'un nom latin : entre Mamercus, Marcus, Octavius, Paulus et les autres, je me suis parfois égarée. Une petite réserve aussi concernant les parties d'inche, le jeu très violent auquel s'adonnent les pensionnaires ; là encore, j'ai eu du mal à visualiser les parties que l'auteur nous décrit. Quoi qu'il en soit, je lirai très vite les deux tomes suivants, impatiente d'en savoir plus sur "l'île" où se trouve la maison.J'ai découvert Méto un peu par hasard, au détour de critiques qui la mettaient au nombre des meilleures dystopies pour la jeunesse. Ce n'est pas mon genre favori mais une bonne dystopie, écrite par un auteur français, cela m'intriguait et m'attirait. L'histoire a été très bien résumée par bcp de lecteurs : un huis-clos strictement masculin, avec 64 garçons répartis selon leur âge et soumis à un emploi du temps rigide et parfois violent. Placés sous la houlette des surveillants, les "Césars", ils n'ont aucune liberté - impossible de sortir de la "maison" qui donne son titre au premier tome - ni aucune information sur leur passé (qu'ils ont oublié) ou sur leur futur : dès qu'ils deviennent trop grand et que leur lit "craque", ils disparaissent sans que nul, parmi ceux qui restent, ne sache ce qu'il advient de lui. Le rythme est d'abord assez lent, le temps de mettre en place cet univers aux règles étonnantes ; puis les choses s'accélèrent et le tome 1 se termine en laissant en suspens de nombreuses questions. Pour ma part, j'ai apprécié que l'auteur prenne son temps et "pose" ses personnages ; j'ai aussi apprécié une certaine originalité (même si les vrais amateurs de...
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  • Celkana 02/01/2023
    Cherché à la bibliothèque après le passage d'Yves Grévet sur la plateau de La Grande Librairie, son propos m'ayant intrigué, je me suis lancée dans la lecture de ce premier tome de METO. Nous sommes avec Meto, un jeune garçon qui appartient aux Rouges, le palier de couleur le plus ancien dans l'organisation de La Maison, Il y a les Bleus Ciel, les Bleus Foncés, les Violets et les Rouges. Ensuite, on ne sait pas... Tout est minuté et ritualisé dans la Maison, le sport, l’apprentissage, la circulation des personnes, la façon de manger, bref, le quotidien ne doit jamais déroger à la règle. Et gare aux punitions violentes si c'est le cas! C'est plutôt bien emmené, l'ambiance est lourde avec le regard des César et cette peur de trop grandir et donc de casser son lit dans la nuit ce qui implique une disparition de l'enfant et donc ce qu'il en advient. De plus, l'univers est très carcéral, très autoritaire et on discerne une volonté de manipulation, de mensonges, de peurs qui en font un livre prenant et pour le lequel on doit forcément lire le tome 2 et 3 pour connaitre la destinée de ceux qui se posent trop de questions... Une très bonne série littérature jeune.Cherché à la bibliothèque après le passage d'Yves Grévet sur la plateau de La Grande Librairie, son propos m'ayant intrigué, je me suis lancée dans la lecture de ce premier tome de METO. Nous sommes avec Meto, un jeune garçon qui appartient aux Rouges, le palier de couleur le plus ancien dans l'organisation de La Maison, Il y a les Bleus Ciel, les Bleus Foncés, les Violets et les Rouges. Ensuite, on ne sait pas... Tout est minuté et ritualisé dans la Maison, le sport, l’apprentissage, la circulation des personnes, la façon de manger, bref, le quotidien ne doit jamais déroger à la règle. Et gare aux punitions violentes si c'est le cas! C'est plutôt bien emmené, l'ambiance est lourde avec le regard des César et cette peur de trop grandir et donc de casser son lit dans la nuit ce qui implique une disparition de l'enfant et donc ce qu'il en advient. De plus, l'univers est très carcéral, très autoritaire et on discerne une volonté de manipulation, de mensonges, de peurs qui en font un livre prenant et pour le lequel on doit forcément lire le tome 2 et 3 pour connaitre la destinée de ceux qui se posent trop de questions... Une très...
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