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Alchemia - La femme sans tête
Collection : Polar
Date de parution : 06/02/2014
Éditeurs :
10/18

Alchemia - La femme sans tête

Collection : Polar
Date de parution : 06/02/2014
Viviane Moore signe son grand retour avec le premier opus d'une trilogie consacrée à l'Alchimie durant le XVIe siècle : une nouvelle série événement !
Paris, 1581. La misère envahit les rues. Orgies et fêtes enfièvrent les salons. Jean de Moncel, jeune commissaire au Châtelet, est sur les traces d’un tueur de prostituées. Le corps... Paris, 1581. La misère envahit les rues. Orgies et fêtes enfièvrent les salons. Jean de Moncel, jeune commissaire au Châtelet, est sur les traces d’un tueur de prostituées. Le corps décapité de l’une d’elles le mène jusqu’à Théophraste Le Noir, médecin qui, replié dans son laboratoire avec sa fille Sybille,... Paris, 1581. La misère envahit les rues. Orgies et fêtes enfièvrent les salons. Jean de Moncel, jeune commissaire au Châtelet, est sur les traces d’un tueur de prostituées. Le corps décapité de l’une d’elles le mène jusqu’à Théophraste Le Noir, médecin qui, replié dans son laboratoire avec sa fille Sybille, cherche sans relâche le secret alchimique de l’Elixir de Vie. Sorcellerie ? Rites occultes ? Machination ?... L’alchimiste est-il le monstre que poursuit Jean, ou bien l’humaniste en avance sur son temps que défend passionnément sa fille ?
Après le succès de la saga Tancrède le Normand, Viviane Moore signe un thriller historique captivant dans l’univers de l’alchimie médicinale au XVIe siècle. 
 
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EAN : 9782264058829
Code sériel : 4727
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264058829
Code sériel : 4727
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • NathalieFerron 10/04/2023
    roman historique Paris, XVIè siècle. Des cadavres de prostituées mutilés de façon sadique sont retrouvés. Personne ne sans préoccupe sauf le commissaire Jean de Moncel. Roman ou l’on parle de médecine, d’alchimie, d’orgies étranges avec des personnages importants, … Sujets qui me paraissent intéressants … Deux histoires s’entremêlent, celles de Sybille fille du médecin Théophraste Le Noir, qui depuis la saint-barthélémy est séquestrée à résidence par son père, et celles du commissaire du Moncel. Pas mauvais, on apprend sur l’époque … C'est sombre, poisseux, noir, et je suis bien heureuse d'être né aujourd'hui ! L'intrigue est bonne ... mais il y a un petit quelque chose qui me fait "tiquer". J'ai eu l'impression que l'auteur à pris du temps avant d'entrer dans le vif du sujet. Peut être que je me trompe? À vous de me le dire.
  • mick92 26/08/2022
    Achat au hasard, rangé dans un coin. Un jour de disette je me suis plongé dans ce roman, j'ai eu la chance que le deuxième tome soit déjà sorti car j'ai réellement adoré ce livre. J'avoue avoir un faible pour les romans à cadre historique d'autant plus pour cette période de la fin de la renaissance. le style est fluide et le livre se lit sans difficulté, on se retrouve à la dernière page peut-être plus vite que souhaité. ce cycle de l'alchimiste est vraiment réussi et l'auteur sait s'arrêter, pas de tome en trop.
  • cocon94 11/03/2022
    L'histoire se déroule dans le Paris du 16ème siècle, sale et véritable coupe-gorge. On découvre Sybille, fille de Théophraste le Noir, médecin et alchimiste. La jeune fille, traumatisée par le massacre de la Saint-Barthélémy, auquel sa famille, pourtant catholique, a échappé de peu, vit recluse chez son père qu'on tente régulièrement de tuer. Parallèlement, on suit Jean de Moncel, commissaire au Châtelet, dans son enquête sur le meurtre de femmes amoureuses (prostituées). Pendant la majeure partie du livre, rien ne semble indiquer que ces deux récits vont finir par se rejoindre, même si quelques indices sont semés ça et là. Quand enfin, les deux histoires se rejoignent, la conclusion est tellement rapide qu'elle nous laisse un peu sur notre faim. L'alchimie et ses mystères semblent plus un élément du décor historique que réellement utiles à la résolution de l'enquête. Malgré cela, le contexte historique qui mêle petite et grande histoire (on croise au détour des pages quelques noms illustres) semble maîtrisé et l'histoire est prenante. On suit les protagonistes, aussi bien les personnages principaux que les seconds rôles, dans leurs aventures avec plaisir. C'est sans doute avec le même plaisir qu'on les retrouvera dans d'autres enquêtes.
  • babel95 11/03/2022
    Sybille le Noir, sept ans, garde à l'esprit la date du 23 août 1572, sa promenade près de la Seine avec sa nourrice Jeanne. Ce soir-là, son père, le médecin Théophraste le Noir, remarque des inscriptions suspectes sur sa porte. Il les fait disparaître, barricade sa famille. le 24, c'est la Saint-Barthélémy, un massacre qui durera plus d'une semaine à Paris, et verra la mort de 10 000 à 30 000 personnes dans la France entière. Sybille, sur ordre de son père, ne pourra plus sortir de la maison. Neuf années ont passé. Nous sommes maintenant en août 1581, à la veille du mariage d'Anne de Joyeuse, baron d'Arques, favori du roi Henri III, et de Marguerite de Lorraine. Une période de bals et de réjouissances qui contraste avec la grande misère qui règne à Paris. le règne des fêtes mais aussi des orgies, au cours desquelles des prostituées -les puterelles - sont tuées et jetées à la Seine. Jean de Montcel, commissaire au Chatelet, aidé par une jeune fille qui a échappé à ses bourreaux, se donne pour mission de retrouver le ou les criminels. Sybille, toujours cloîtrée dans la maison, étudie latin et grec avec son père, médecin... Sybille le Noir, sept ans, garde à l'esprit la date du 23 août 1572, sa promenade près de la Seine avec sa nourrice Jeanne. Ce soir-là, son père, le médecin Théophraste le Noir, remarque des inscriptions suspectes sur sa porte. Il les fait disparaître, barricade sa famille. le 24, c'est la Saint-Barthélémy, un massacre qui durera plus d'une semaine à Paris, et verra la mort de 10 000 à 30 000 personnes dans la France entière. Sybille, sur ordre de son père, ne pourra plus sortir de la maison. Neuf années ont passé. Nous sommes maintenant en août 1581, à la veille du mariage d'Anne de Joyeuse, baron d'Arques, favori du roi Henri III, et de Marguerite de Lorraine. Une période de bals et de réjouissances qui contraste avec la grande misère qui règne à Paris. le règne des fêtes mais aussi des orgies, au cours desquelles des prostituées -les puterelles - sont tuées et jetées à la Seine. Jean de Montcel, commissaire au Chatelet, aidé par une jeune fille qui a échappé à ses bourreaux, se donne pour mission de retrouver le ou les criminels. Sybille, toujours cloîtrée dans la maison, étudie latin et grec avec son père, médecin des pauvres, partage sa passion pour l'Alchimie, qui pourra, pense-t-il, lui donner le secret de la vie. Elle se travestit, se fait appeler Simon, pour tenter d'échapper à sa condition "de femme" qui, dit-elle, l'entrave et ne lui permet pas de devenir médecin. Mais quel est l'ennemi invisible qui s'acharne contre Théophraste ? Pourquoi le corps poudré de blanc de Tassine, jeune femme qu'il a soigné et guéri, a-t-il été retrouvé, sans tête, tenant un calice dans la main ? Accusé de sorcellerie, de rites occultes, conduit au Chatelet, comment Théophraste pourrait-il se défendre ? La femme sans tête, de Viviane Moore, est publiée dans la collection Grands détectives des éditions 10/18. Selon moi il ne s'agit pas d'un roman policier à proprement parler, plus d'un roman historique, un thriller dans lequel la résolution de l'intrigue – qui a tué les femmes – passe au second plan. L'intérêt principal du roman est plutôt la reconstitution fidèle, précise d'une époque à travers des personnages attachants : Sybille, son père, Théophraste le Noir, médecin des pauvres, spécialiste d'alchimie médicinale, le commissaire Jean de Moncel, les jeunes puterelles, les nourrices, tous, toutes nous dépeignent leur époque, la fin du seizième siècle. J'aime beaucoup le style de Viviane Moore, son écriture, sa manière de nous faire partager son amour de l'histoire, l'angle sociétal qu'elle adopte. Des annexes lexicales, géographiques et historiques nous permettent d'aller plus loin et nous donnent envie de retrouver les personnages de cette série sur l'Alchimie.
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  • dupuisjluc 19/06/2021
    Un bon polar moyenâgeux sous fond d'alchimie et de médecine. Des personnages attachants, des intrigues imbriquées dans un roman au final intéressant et dépaysant, très bien narré, même si la chute arrive un peu abruptement, sans pour autant gâcher le plaisir de lecture.
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