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Derniers jours à Berlin
Joël Falcoz (traduit par)
Collection : Polar
Date de parution : 21/03/2019
Éditeurs :
10/18

Derniers jours à Berlin

Joël Falcoz (traduit par)
Collection : Polar
Date de parution : 21/03/2019
Berlin, avril 1945. Le compte à rebours est lancé avant la chute du Reich…
Berlin, fin avril 1945. Le Troisième Reich vit ses dernières heures. Le commissaire Oppenheimer et sa femme Lisa se terrent dans le sous-sol d’une brasserie en attendant la capitulation. C’est... Berlin, fin avril 1945. Le Troisième Reich vit ses dernières heures. Le commissaire Oppenheimer et sa femme Lisa se terrent dans le sous-sol d’une brasserie en attendant la capitulation. C’est leur ami et néanmoins truand Ed qui les y cache. Mais le chaos de la défaite ne les épargne pas.... Berlin, fin avril 1945. Le Troisième Reich vit ses dernières heures. Le commissaire Oppenheimer et sa femme Lisa se terrent dans le sous-sol d’une brasserie en attendant la capitulation. C’est leur ami et néanmoins truand Ed qui les y cache. Mais le chaos de la défaite ne les épargne pas. Le couple est séparé, et Lisa, violée.
Alors qu’Oppenheimer traque un débiteur pour le compte de Ed, il tombe sur des documents concernant le violeur de sa femme, le déserteur russe Grigoriev, et découvre qu’il n’est pas le seul à en vouloir à cet homme mystérieux. Grigoriev, qui s’est emparé d’une valise au contenu gardé secret et passée en contrebande par un certain Roski, est en effet l’objet d’une traque sans merci. Il s’agit de mettre la main sur du matériel primordial aux projets nucléaires des nazis…
 
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EAN : 9782264073808
Code sériel : 5416
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 552
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264073808
Code sériel : 5416
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 552
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Shoute_77 30/08/2023
    Une vision de la guerre d'un autre camp, j'ai aimée vivre dans la sombre époque de la guerre, j'y ai plus appris que dans les livres d'histoires. Il y a des rebondissements tous le long. Un sentiment de beaucoup de recherche afin d'avoir une authenticité dans son histoire.
  • LisaGiraudTaylor 15/08/2023
    Nous revoilà avec l’ex-commissaire Oppenheimer qui, avec son épouse Lisa, essaie de survivre à l’arrivée des troupes soviétiques dans un Berlin ravagé, éventré, à terre. Nous sommes quelques jours de la reddition du IIIe Reich, dans les ruines fumantes berlinoises, et tout le monde se terre ; principalement les femmes qui sont les premières victimes des soldats lambda de l’armée Rouge qui pillent, volent, tabassent et violent sans arrêt. Oppenheimer arrive à se cacher dans la cave d’une ancienne réserve à bière, appartenant à un malfrat pour lequel il bosse de temps en temps. Pourtant, malgré les précautions, Lisa va se retrouver face à ces bourreaux et se fait violer dans la cave. Dès lors, alors que Hilde, l’amie contestataire d’Oppenheimer est libérée de prison par les russes, reprend son domaine et loge des camarades, des amis etc., l’ex-commissaire travaille dans une boîte de « performances nues » et traque l’homme qui a violé sa femme. Il va croiser un officier du NKVD, Aksakov qui, lui-même, mène une enquête sur une bande de déserteurs russes qui veulent prendre le contrôle de Berlin. Dans ce Berlin-là, où les alliés ne sont pas encore arrivés, mais où on comprend bien que le partage va se faire dans le sang et les larmes, certains pays ont posé leurs pions afin de réduire Berlin et l’Allemagne à un territoire sans intérêt, alors que les russes ont une autre ambition… faire un côté ouest - tampon avec l’U.R.S.S. afin de ne pas être attaqué par les américains (notamment). Dans ce contexte de fin de guerre sur le sol européen, chacun essaie de sauver sa peau, de trouver des témoins pour éviter la prison pour avoir été membre du parti, participant aux massacres de l’est, ou simple soldat. Tout le monde règle ses comptes et les vainqueurs comptent les points. Harald Gilbers nous plonge dans le Berlin en proie à la folie de la vengeance, de la faim, de la vengeance, de la haine et du règne sans partage des vainqueurs qui se livrent, entre eux, à une guerre de pouvoirs. Le personnage d’Oppenheimer ne sort pas indemne de la guerre, et nous montre cette période de folie absolue dans un Berlin fantomatique où tout le monde (vaincus et vainqueurs) se croise, se toise, se débrouille, se vend ou paie le prix pour les dignitaires nazis. Encore un tome excellent de la saga de Harald Gilbers qui offre une vision sans complaisance de la « victoire » des alliés et des russes. Nous revoilà avec l’ex-commissaire Oppenheimer qui, avec son épouse Lisa, essaie de survivre à l’arrivée des troupes soviétiques dans un Berlin ravagé, éventré, à terre. Nous sommes quelques jours de la reddition du IIIe Reich, dans les ruines fumantes berlinoises, et tout le monde se terre ; principalement les femmes qui sont les premières victimes des soldats lambda de l’armée Rouge qui pillent, volent, tabassent et violent sans arrêt. Oppenheimer arrive à se cacher dans la cave d’une ancienne réserve à bière, appartenant à un malfrat pour lequel il bosse de temps en temps. Pourtant, malgré les précautions, Lisa va se retrouver face à ces bourreaux et se fait violer dans la cave. Dès lors, alors que Hilde, l’amie contestataire d’Oppenheimer est libérée de prison par les russes, reprend son domaine et loge des camarades, des amis etc., l’ex-commissaire travaille dans une boîte de « performances nues » et traque l’homme qui a violé sa femme. Il va croiser un officier du NKVD, Aksakov qui, lui-même, mène une enquête sur une bande de déserteurs russes qui veulent prendre le contrôle de Berlin. Dans ce Berlin-là, où les alliés ne sont pas encore arrivés, mais où on comprend bien que le partage va se faire...
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  • marliotn 28/11/2022
    Toujours aussi passionnants les romans de la série GERMANIA ! Cette fois-ci les Soviétiques viennent d'entrer dans un Berlin en ruine. C'est une grande période de flottement. Les alliés occidentaux ne sont pas encore arrivés jusque-là, mais ça ne saurait tarder. La guerre froide se profile doucement... Les aventures d'Oppenheimer sont un très bon complément aux enquêtes de Bernie Gunther de Philippe KERR je trouve. On peut passer de l'une à l'autre sans être dépayé, avec deux auteurs très soucieux du détail historique.
  • LuEtRelu 28/11/2022
    Berlin de avril à mai 1945. Harald Gilbers décrit la fin du régime nazi dans un Berlin, pour un premier temps, abandonné aux vainqueurs Russes. Non, les Alliés ne sont pas arrivés! Une histoire passionnante et prenante. Juste pour titiller votre curiosité je vous propose quelques éléments et j'en passe beaucoup! Richard Oppenheimer et sa femme Lisa sont réfugiés dans l'entrepôt du malfrat Ed le Mastard. Assez tôt leur cachette sera découverte par les russes. La quête d'eau potable ou de nourriture est particulièrement compliquée et dangereuse. Les vainqueurs se soucient peu des civils. Le viol de femmes allemandes est fréquent. Ce sera le cas de Lisa. Oppenheimer retrouve ses amis Frank Schmude l'avocat et Hilde l'aristocrate médecin antinazi de la première heure. Une certaine valise d'un chercheur allemand intéresse les Russes et un espion américain. Cette dernière contiendrait des données fondamentales sur les recherches nucléaires des nazis. L'auteur propose une description extraordinairement précise des conditions de vie de l’époque. Le rythme est excellent, aucuns temps morts. C'est un roman réaliste, crédible, bien documenté. Historiquement, nous sommes à la période pré-Yalta. On devine le début de la Guerre Froide et l'opposition Est-Ouest. Un roman que j'ai dévoré.
  • Piwai 12/11/2022
    Troisième opus de la survie de l'ex commissaire Richard Oppenheimer, temoin de l'agonie du régime nazi dans Berlin martyrisée. Gilbers reconstitue minutieusement et magistralement le quotidien de cette ville dans les tourments de la guerre finissante, une véritable leçon d'histoire distillée au long d'une enquête policière qui dérive sur l'espionnage par la découverte de la lutte souterraine entre les grandes puissances alliées, prémices de la future guerre froide et de l'équilibre politique de l'Europe. Tout cela dans un roman fin, nerveux, avec des personnages bien campés, présents dans les tomes précédents et faisant ainsi le liant et l'unité de la série. Par contre il est préférable de la lire dans l'ordre (Germania, Les fils d'Odin) pour pleinement en apprécier la dramaturgie, les intrigues policières étant greffées sur des trames historiques et de destins personnels riches et complexes. Encore une fois Gilbers se place comme un grand auteur du polar historique lié à la seconde guerre mondiale à l'instar du regretté P Kerr. Et cerise sur le gâteau, la trilogie s'est transformée en série, avec le commissaire Oppenheimer dans l'immédiate après guerre. A découvrir.

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