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Eleanor Oliphant va très bien
Aline Azoulay-Pacvoñ (traduit par)
Date de parution : 20/09/2018
Éditeurs :
10/18

Eleanor Oliphant va très bien

Aline Azoulay-Pacvoñ (traduit par)
Date de parution : 20/09/2018
Peu soucieuse des bonnes manières et du vernis social, Eleanor Oliphant dit les choses telles qu’elle les pense. Fidèle à sa devise « Mieux vaut être seule que mal accompagnée... Peu soucieuse des bonnes manières et du vernis social, Eleanor Oliphant dit les choses telles qu’elle les pense. Fidèle à sa devise « Mieux vaut être seule que mal accompagnée », elle évite ses semblables et préfère passer ses vendredis soir en compagnie d’une bouteille de vodka. Rien ne manque... Peu soucieuse des bonnes manières et du vernis social, Eleanor Oliphant dit les choses telles qu’elle les pense. Fidèle à sa devise « Mieux vaut être seule que mal accompagnée », elle évite ses semblables et préfère passer ses vendredis soir en compagnie d’une bouteille de vodka. Rien ne manque à sa vie minutieusement réglée et rythmée par ses conversations téléphoniques hebdomadaires avec « maman ». Mais tout change le jour où elle s’éprend d’un chanteur de rock. Décidée à le conquérir, Eleanor se lance dans un véritable marathon de transformations. Elle rencontre aussi Raymond, un collègue qui sous des airs négligés, va lui faire repousser ses limites. Car Eleanor découvre que, parfois, même une entité autosuffisante a besoin d’un ami…

« Un livre puissamment addictif, brillant et bouleversant. »
Héléna Villovitch, ELLE

Traduit de l’anglais (Écosse) par Aline Azoulay-Pacvon
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EAN : 9782264073105
Code sériel : 5372
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 456
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264073105
Code sériel : 5372
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 456
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • MargueriteDesPalmiers 22/03/2024
    Lu en anglais. J’ai aimé lire ce roman, toujours heureuse de le reprendre le lendemain pour découvrir ce que Eleanor Oliphant avait de nouveau à dire sur ce qui s’était passé dans sa vie. L’histoire de Mlle Oliphant est fascinante, bien racontée en petites bouchées savoureuses entrecoupées de morceaux d’humour et de tristesse. Les deux personnages principaux, Eleanor et Raymond, sont très attachants, Eleanor surtout, parce qu’elle ressemble beaucoup à notre vrai soi. Ce livre a su garder mon intérêt, m’a fait sourire souvent et m’a même fait rire aux éclats. Vivement recommandé.
  • Bouchemancelle 27/12/2023
    Beaucoup plus subtil qu'il n'y parait ! Je m'attendais à lire un livre facile, drôle, une version Bridget Jones intello-moche. Et bien pas du tout. C'est bien l'histoire d'une jeune femme décalée tendance Asperger. Mais plus on avance et plus on se dit que les apparences sont parfois trompeuses et bien simplistes. Eleanor Oliphant est une personne que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir !
  • Olivia83 02/11/2023
    Il est temps que je vous parle du choix du bookclub pour Septembre, "Eleanor Oliphant va très bien" de Gail Honeyman. Je n'ai jamais entendu parler de ce roman avant qu'il devienne le livre du bookclub, et j'avoue que le résumé m'avait déjà attiré. Le roman a été un véritable ascenseur émotionnel : j'ai beaucoup souri, et j'ai même éclaté de rire plus d'une fois sur la première partie, surtout au début. Et au plus on avance, au plus on s'attache à Eleanor, on se met dans ses baskets et on a envie de la prendre sous notre aile. D'où le personnage de Raymond, qui malgré la description peu flatteuse qu'en fait notre héroïne à chaque fois qu'elle le croise, incarne une bienveillance un peu gauche bienvenue. Au fil de ma lecture, j'ai traversé les hauts et les bas au côté d'Eleanor: j'ai été déçue avec elle lors des événements de la fin de la première partie. J'ai été à la fois déprimée et attendrie par la deuxième partie, et parfois déboussolée par la troisième partie, qui lève le voile sur Maman. D'ailleurs, à ce sujet, on a beau (nous, lecteur) comprendre rapidement que quelque chose cloche avec Maman, on sort ému aux larmes du dénouement de l'histoire. Bref, vous l'aurez compris, j'ai adoré ce roman, et je ne peux que vous le recommander. Attention cependant, on aborde pas mal le sujet des traumatismes et de l'alcoolisme (sans vouloir vous spoiler)Il est temps que je vous parle du choix du bookclub pour Septembre, "Eleanor Oliphant va très bien" de Gail Honeyman. Je n'ai jamais entendu parler de ce roman avant qu'il devienne le livre du bookclub, et j'avoue que le résumé m'avait déjà attiré. Le roman a été un véritable ascenseur émotionnel : j'ai beaucoup souri, et j'ai même éclaté de rire plus d'une fois sur la première partie, surtout au début. Et au plus on avance, au plus on s'attache à Eleanor, on se met dans ses baskets et on a envie de la prendre sous notre aile. D'où le personnage de Raymond, qui malgré la description peu flatteuse qu'en fait notre héroïne à chaque fois qu'elle le croise, incarne une bienveillance un peu gauche bienvenue. Au fil de ma lecture, j'ai traversé les hauts et les bas au côté d'Eleanor: j'ai été déçue avec elle lors des événements de la fin de la première partie. J'ai été à la fois déprimée et attendrie par la deuxième partie, et parfois déboussolée par la troisième partie, qui lève le voile sur Maman. D'ailleurs, à ce sujet, on a beau (nous, lecteur) comprendre rapidement que quelque chose cloche avec Maman, on sort ému aux larmes...
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  • Karine0582 28/10/2023
    J’ai beaucoup aimé l’histoire qui se cache derrière celle qu’on nous donne à lire au départ. Tout est bien plus complexe qu’il n’y paraît et pourtant le vernis n’est pas bien lisse. Parfois on se complaît dans une routine car elle est confortable et rassurante et il faut parfois beaucoup de courage pour oser en sortir. C’est ce que fera notre héroïne et pas forcément comme on le pense.
  • SagnesSy 31/03/2023
    Eleanor Oliphant a trente ans, travaille toujours dans ce qui a été son tout premier job (service comptabilité), mène un quotidien très balisé – voire ritualisé – et endure les week-ends grâce à la vodka. Puis recommence. En neuf ans, elle a pris trois jours de congé (tous pour raisons pratiques). Auto-suffisante, dit-elle. Complètement dingue, pensent ses collègues. Sauf qu’Eleanor Oliphant n’est pas son nom et que son passé est insoupçonnable… Pour son premier roman Gail Honeyman frappe fort. Je n’ai cessé d’alterner gloussements et larmes aux yeux. On s’attache très fort et très vite à Eleanor et l’atmosphère est douillette au possible. Tous les effets fonctionnent et on a l’impression de recevoir directement au coeur les petites et grandes émotions qui traversent les pages, sur un rythme qui ne faiblit jamais (divisé en bons jours, mauvais jours et jours meilleurs). Empli de surprises et pourtant joyeusement familier, c’est pour des romans comme ça qu’on lit #9786;
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