Lisez! icon: Search engine
En peignant la girafe
Date de parution : 28/01/2021
Éditeurs :
Pocket

En peignant la girafe

Date de parution : 28/01/2021
Ceux qui n’ont jamais vu un individu manger tour à tour : « ... une semelle de chaussure, un crapaud vivant, une selle de vélo, une corne à poudre, une... Ceux qui n’ont jamais vu un individu manger tour à tour : « ... une semelle de chaussure, un crapaud vivant, une selle de vélo, une corne à poudre, une autre de chef de gare, un écureuil empaillé et un cadran solaire... » n’ont jamais vu Bérurier dans le plus... Ceux qui n’ont jamais vu un individu manger tour à tour : « ... une semelle de chaussure, un crapaud vivant, une selle de vélo, une corne à poudre, une autre de chef de gare, un écureuil empaillé et un cadran solaire... » n’ont jamais vu Bérurier dans le plus extraordinaire numéro de boulimie de tous les temps ! Ceux-là ne peuvent pas non plus imaginer le fabuleux San-Antonio tout en haut d’une grande échelle, occupé à... peigner la girafe
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266317351
Code sériel : 53
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266317351
Code sériel : 53
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 208
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Buzzato 08/01/2024
    Entrez, Entrez, Mesdames et Messieurs, Jeunes garçons et jeunes filles à l'esprit malicieux, Ce roman policier narre les exploits du meilleur policier de France Ainsi que ceux de son alcoolyte Béru en quêtant au Cirque. Hé oui, San Antonio et Béru s'engagent dans un numéro de gastronome unique pour trouver un mystérieux voleur de tableaux. Nous voici rendus à Turin sur les traces du voleur. Mais rapidement, l'enquête sur ce Lupin patine, point de glace (ni de classe d'ailleurs), les meurtres s'accumulent sous le chapiteau. Un très bon San Antonio, quoiqu'encore bien sage. Des Calembours, des apostrophes aux lecteurs et aux lectrices, Bérurier bien présent mais plutôt taiseux, je raffole de ses envolées littéraires biscornues permettant les cals en bourg les plus délirants.
  • LectureChronique 04/07/2023
    Bonjour, Nouvelle chronique en retour de lecture : "En peignant la girafe" de San-Antonio (alias Frédéric Dard) aux éditions Fleuve noir, lu dans le cadre du challenge San-Antonio que je relève sur Babélio. Béru et San-Antonio se sont fait engager dans un cirque afin de résoudre un vol de tableaux. pourquoi un cirque me direz-vous ? Parce qu'à chaque fois que les vols sont commis, le cirque officie dans la même ville. Etrange ! Béru et San-Antonio arrivent à se fondre dans le décor. Ils enquêtent en même temps qu'ils font le show, enfin surtout Béru qui montre là ses capacités hors-norme de glouton, d'avaleur de sabres, d'ingurgitateur d'objets en tout genre au plus grand plaisir de la populace qui se presse pour assister au phénomène de foire. J'ai bien aimé cet opus, pour une fois on en apprends bien plus sur Béru que précédemment et il fait l'objet de toutes les attentions. C'est assez rare qu'il vole la vedette de premier rôle à San-Antonio et je suis ravie que sa bonhomie soit mise en avant de la sorte. ca colle tellement à son personnage ! On retrouve bien évidemment tout ce qui fait un bon San-Antonio, les calembours, l'argot, l'humour, les notes de bas de pages (en grand nombre sur ce roman). On est baladé de France à l'Italie, avec tous les clichés possibles bien évidemment sinon c'est pas drôle. Petit regret cependant que l'enquête soit réduite au minimum, on a connu le flair d'enquêteur de San-A en meilleure forme. Encore un livre de la collection qu'il fait bon de découvrir. Vous serez servis niveau loufoqueries et autres calembredaines et comme l'énonce l'auteur dans son prologue, vous êtes prévenus qu'il a choisi : il ira jusqu'au délire ! Bonne lecture amis Lecteurs.Bonjour, Nouvelle chronique en retour de lecture : "En peignant la girafe" de San-Antonio (alias Frédéric Dard) aux éditions Fleuve noir, lu dans le cadre du challenge San-Antonio que je relève sur Babélio. Béru et San-Antonio se sont fait engager dans un cirque afin de résoudre un vol de tableaux. pourquoi un cirque me direz-vous ? Parce qu'à chaque fois que les vols sont commis, le cirque officie dans la même ville. Etrange ! Béru et San-Antonio arrivent à se fondre dans le décor. Ils enquêtent en même temps qu'ils font le show, enfin surtout Béru qui montre là ses capacités hors-norme de glouton, d'avaleur de sabres, d'ingurgitateur d'objets en tout genre au plus grand plaisir de la populace qui se presse pour assister au phénomène de foire. J'ai bien aimé cet opus, pour une fois on en apprends bien plus sur Béru que précédemment et il fait l'objet de toutes les attentions. C'est assez rare qu'il vole la vedette de premier rôle à San-Antonio et je suis ravie que sa bonhomie soit mise en avant de la sorte. ca colle tellement à son personnage ! On retrouve bien évidemment tout ce qui fait un bon San-Antonio, les calembours, l'argot, l'humour, les notes...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Vinnie_Twopens 17/03/2023
    San Antonio est un véritable monument de la littérature française du XXeme siècle. Etalée entre 1949 et 2001, la collection ne compte pas moins de 175 volumes ainsi que plusieurs hors séries. Derrière ce pseudonyme, se cache la plume de Frédéric Dard, un des auteurs français les plus prolifiques. Outre les SA, il a sorti des romans au style différent sous divers noms et le sien ainsi que des pièces de théâtre, adaptations cinématographiques. Depuis que j'ai découvert ses chefs-d'œuvre il y a environ 15 ans, je me délecte de ses pitreries et nombreux calembours. Un des rares écrits qui me fait rire à gorge déployée. Ce n'est pas tant pour l'histoire en elle-même qui peut se résumer à des enquêtes policières mais plus pour la façon dont c'est narré. Dans cet épisode ci, il est question de trafic de drogue et de meurtres, de vol de toiles avec comme décors un cirque... Néologismes, jeux de mots, comparaisons farfelues, personnages loufoques et style incroyablement moderne pour son époque sont les ingrédients magiques de ses succès. Le stéréotype du commissaire San Antonio qui est l'homme beau, tombeur, intelligent est contrebalancé par l'inspecteur principal Bérurier répugnant au langage fleuri. Je me suis donné pour objectif de lire et posséder l'intégrale, mais j'alterne avec d'autres livres. Bouquiner un San Antonio, c'est un peu comme dévorer une sucrerie ou un paquet de chips entre deux repas. San Antonio est un véritable monument de la littérature française du XXeme siècle. Etalée entre 1949 et 2001, la collection ne compte pas moins de 175 volumes ainsi que plusieurs hors séries. Derrière ce pseudonyme, se cache la plume de Frédéric Dard, un des auteurs français les plus prolifiques. Outre les SA, il a sorti des romans au style différent sous divers noms et le sien ainsi que des pièces de théâtre, adaptations cinématographiques. Depuis que j'ai découvert ses chefs-d'œuvre il y a environ 15 ans, je me délecte de ses pitreries et nombreux calembours. Un des rares écrits qui me fait rire à gorge déployée. Ce n'est pas tant pour l'histoire en elle-même qui peut se résumer à des enquêtes policières mais plus pour la façon dont c'est narré. Dans cet épisode ci, il est question de trafic de drogue et de meurtres, de vol de toiles avec comme décors un cirque... Néologismes, jeux de mots, comparaisons farfelues, personnages loufoques et style incroyablement moderne pour son époque sont les ingrédients magiques de ses succès. Le stéréotype du commissaire San Antonio qui est l'homme beau, tombeur, intelligent est contrebalancé par l'inspecteur principal Bérurier répugnant au langage fleuri. Je me suis donné...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Wyoming 17/01/2019
    53ème San-Antonio paru en 1963 dans lequel le commissaire enquête sur des vols de tableaux; l'intrigue est assez légère mais avec tous les calembours, digressions de l'auteur, pas d'ennui dans ce roman bien déjanté et loufoque à souhait.
  • lecassin 27/04/2017
    Il me semble l'avoir déjà dit ici, un grand San-Antonio, pour moi, c'est : - des calembours à tout-va, sur les noms de lieux et de personnages, comme dans le texte, - des notes en bas de page, - des énumérations fantaisistes, - de belles pépées, - des loufoqueries, - de nouvelles pages du kamasoutra personnel du commissaire, - la prise à partie répétée du lecteur, - Béru et Pinaud… Il me restait en mémoire et correspondant à cette définition, les opus sortis en gros à partir de 1968… Erreur ! Il semblerait que le premier de ces grand San-Antonio soit bel et bien ce « En peignant la girafe », cinquante deuxième de la série, publié début 1963 : tout y est… Sauf Pinaud encore absent, mais que nous retrouverons avec plaisir dans le prochain : « le coup du père François ». On pouvait d'ailleurs s'en douter en lisant l'avertissement au lecteur intitulé « Coup de semonce aux lecteurs » retranscrit partiellement ici : « J'aime mieux vous prévenir tout de suite. Les choses étant ce qu'elles sont, et l'époque que vous savez, j'ai décidé de réagir en écrivant des bouquins de plus en plus délirants et riches en calembredaines. […] J'irai jusqu'au délire. Et si vous n'avez pas assez de fantaisie pour m'accompagner dans ce voyage farfelu, eh bien ! allez donc vous faire cuire un oeuf ! Ou deux si votre foie est aussi résistant que votre bêtise. » La recette d'un grand San-Antonio ne s'est pas affinée par évolutions successives : elle a été clairement décidée par Frédéric Dard en ce début d'année 1963. Pour preuve. Dans ce « En peignant la girafe », on retrouve dans le cirque Barnaby qui se produit à Bourgoin (!!), Béru en attraction boulimique : un numéro ou il bouffe tout ce que le public lui apporte, du parapluie du grand-père au chat crevé de la grand-mère en passant par le vélo du petit fils. Il faut dire que partout où se produit ce cirque, un vol de tableaux de maître est commis dans le musée local. Voici donc Béru et notre commissaire national partis en tournée sur les routes de France et d'Italie. L'idée est d'être au plus près de ce qui semble être un peu plus qu'une coïncidence… Au fait, mais vous l'avez sans doute remarqué, dans les caractéristiques d'un grand San-Antonio, je n'ai pas mentionné l'intrigue. L'intrigue ? Quelle intrigue ? Ici, elle est réduite au strict minimum ; qu'importe… si un grand San-Antonio devait être porté par une intrigue solide, ça se saurait ! En route pour le meilleur ! Il me semble l'avoir déjà dit ici, un grand San-Antonio, pour moi, c'est : - des calembours à tout-va, sur les noms de lieux et de personnages, comme dans le texte, - des notes en bas de page, - des énumérations fantaisistes, - de belles pépées, - des loufoqueries, - de nouvelles pages du kamasoutra personnel du commissaire, - la prise à partie répétée du lecteur, - Béru et Pinaud… Il me restait en mémoire et correspondant à cette définition, les opus sortis en gros à partir de 1968… Erreur ! Il semblerait que le premier de ces grand San-Antonio soit bel et bien ce « En peignant la girafe », cinquante deuxième de la série, publié début 1963 : tout y est… Sauf Pinaud encore absent, mais que nous retrouverons avec plaisir dans le prochain : « le coup du père François ». On pouvait d'ailleurs s'en douter en lisant l'avertissement au lecteur intitulé « Coup de semonce aux lecteurs » retranscrit partiellement ici : « J'aime mieux vous prévenir tout de suite. Les choses étant ce qu'elles sont, et l'époque que vous savez, j'ai décidé de réagir en écrivant des bouquins de plus en plus délirants et riches en calembredaines. […] J'irai jusqu'au délire. Et si vous n'avez...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.