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Gagner n'est pas jouer
Roxane Azimi (traduit par)
Date de parution : 06/10/2022
Éditeurs :
Pocket
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Gagner n'est pas jouer

Roxane Azimi (traduit par)
Date de parution : 06/10/2022
Ne jamais sous-estimer les victimes…
Un vieil homme est sauvagement assassiné à New York. À ses côtés, une toile de maître disparue depuis vingt ans et une valise portant les inscriptions WHL III.
Windsor Horne Lockwood...
Un vieil homme est sauvagement assassiné à New York. À ses côtés, une toile de maître disparue depuis vingt ans et une valise portant les inscriptions WHL III.
Windsor Horne Lockwood III.
Win. Un privé aux méthodes très spéciales, héritier d'une influente famille américaine.
Quel lien entre ce crime abject et les Lockwood...
Un vieil homme est sauvagement assassiné à New York. À ses côtés, une toile de maître disparue depuis vingt ans et une valise portant les inscriptions WHL III.
Windsor Horne Lockwood III.
Win. Un privé aux méthodes très spéciales, héritier d'une influente famille américaine.
Quel lien entre ce crime abject et les Lockwood ?
Si le FBI peine à comprendre, Win sait qu’il tient ici la chance de résoudre enfin l’énigme de l’enlèvement de sa cousine, survenu vingt ans plus tôt lors du vol du tableau. Il faut dire qu’il a trois atouts qui manquent au FBI : un lien personnel avec l’affaire, une grande fortune, et un sens de la justice qui n’appartient qu’à lui…
 
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EAN : 9782266323666
Code sériel : 18581
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm
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EAN : 9782266323666
Code sériel : 18581
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 432
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« L’écrivain américain nous offre une nouvelle intrigue sans temps mort. Best-seller assuré ! »
France Dimanche

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • veronique42 12/05/2023
    Voulant lire un livre Harlan Coben, et à l’exception du premier livre de la série « Myron Bolitar » que je n’ai toujours pas trouvée pour la commencer, je les ai tous. C’est donc, dans les « indépendants » que j’ai choisis au hasard un de ses livres. Il a fallu que je tombe sur celui qui ne fallait pas prendre, car dans ce livre, le personnage principal, est issu de la série Myron. N’en ayant lu aucun, je ne pouvais deviner. Il aurait été bien que dans la quatrième de couverture, lorsqu’on a cité le personnage « Win », de mettre « entre parenthèses » une référence sur le fait qu’il a connu pour être l’ami de Myron. Faut penser aux nouveaux lecteurs d’Harlan Coben ou à ceux qui n’ont lu aucun livre de la série Myron... Car bien que Myron n’intervienne pas dans ce livre et qu’il ne soit cité plusieurs fois, que dans les « pensées » de Win, cela n’en reste pas moins que cette personne n’est pas inconnue et que je n’aurai pas choisi ce livre de suite, et classer dans la catégorie « Myron Bolitar ». Comme je ne lis jamais les critiques d’un livre... Voulant lire un livre Harlan Coben, et à l’exception du premier livre de la série « Myron Bolitar » que je n’ai toujours pas trouvée pour la commencer, je les ai tous. C’est donc, dans les « indépendants » que j’ai choisis au hasard un de ses livres. Il a fallu que je tombe sur celui qui ne fallait pas prendre, car dans ce livre, le personnage principal, est issu de la série Myron. N’en ayant lu aucun, je ne pouvais deviner. Il aurait été bien que dans la quatrième de couverture, lorsqu’on a cité le personnage « Win », de mettre « entre parenthèses » une référence sur le fait qu’il a connu pour être l’ami de Myron. Faut penser aux nouveaux lecteurs d’Harlan Coben ou à ceux qui n’ont lu aucun livre de la série Myron... Car bien que Myron n’intervienne pas dans ce livre et qu’il ne soit cité plusieurs fois, que dans les « pensées » de Win, cela n’en reste pas moins que cette personne n’est pas inconnue et que je n’aurai pas choisi ce livre de suite, et classer dans la catégorie « Myron Bolitar ». Comme je ne lis jamais les critiques d’un livre que je possède avant de l’avoir lu, je n’ai pas pu voir cette information par ce biais. Même avant que le mot « Myron » ne soit cité pour la première fois, je reconnais, ne pas avoir du tout accroché, sur les premières pages avec notamment le tabassage d’un coach, Teddy Lyons après un match de basket-ball. J’ai trouvé le personnage Win antipathique, violent, à une façon bien étrange de choisir les femmes avec qui il a une liaison d’un jour, qui se fait justice lui-même (Win m’a fait penser à Raymond Reddington, dans la série « Black list » que je regarde actuellement), sa fortune facilitant ceci. Et cela m’a d’autant déçue, d’avoir sélectionné ce livre. Car, j’aurai surement pris plus de plaisirs à lire si je l’aurais lu, après celle de la série « Myron Bolitar » vu que, j’aurai connaissance de ce personnage et aurait eu surement, une vision différente de Win. Une fois cette frustration passée, et faisant obstacle de la provenance de Win, j’ai commencé à m’intéresser à l’histoire. Win est convoqué par le FBI, après qu’une personne âgée, est retrouvée assassiner dans son appartement. La raison : la présence sur les lieux, d’une valise portant les inscriptions WHL III (Windsor Horne Lockwood III) ainsi qu’un des deux tableaux volés il y a plusieurs années : le Vermeer. Cela les ramène à une vingtaine d’années, où Aldrich, l’oncle de Win, fut retrouvé assassiné chez lui, et sa fille Patricia séquestrée dans la « maison des horreurs » durant des mois avant qu’elle arrive à s’enfuir. Deux tableaux prêtés (un Vermeer et un Picasso) à l’université sont volés Et qui sont ses six étudiants rebelles, dont ils furent surnommés : les 6 de Jane street ? Voilà ce qui attend Win pour relier tout cela. Je n’ai pas adhéré au personnage de Win, bien que finalement l’histoire ne soit pas si mal que cela. On est loin du livre « Ne le dit à personne » que j’ai adoré de même pour « Inconnu de la forêt » et « Identités croisés » où j’ai aimé le personnage de Wilde. A lire, si le livre a été lu... [masquer] J’ai trouvé que l’enlèvement de Patricia sonnait faux, certes, on avait peu d’informations, mais le peu qu’on donnait, je trouvais qu’elle s’était libérée assez facilement, alors qu’aucune des autres filles n’a survécu. Pour Vanessa Hogan, la mère de fredérick, je me suis bien doutée que le pardon, ne pouvait être vrai et que la seule personne qui a accepté de la voir ne s’en saurait pas sorti indemne (par contre, je ne me suis pas douté pour ses autres victimes). Pour Belinda, lorsqu’elle a révélé, son vrai visage et qu’elle s’est servi de ce veilleur de nuit, pour mieux préparé le vol, j’ai pensé que cela pouvait être Patricia. De même je n’ai pas cru que sur la pierre tombale avec les initiales R. L. sont ses cendres et que cette personne était toujours vivante. [/masquer]
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  • sevm57 30/04/2023
    Dans ce roman, Harlan Cohen a choisi pour ma plus grande joie de se concentrer sur le personnage de Win (Winsor Horne Lockwood III) qu’on a déjà souvent croisé dans son œuvre, que ce soit en tant qu’ami de Myron Bolitar ou de père d’Ema. Bien qu’il ait sa propre morale, c’est un personnage que j’adore et que je trouve particulièrement bien campé , et il donne sa pleine mesure dans ce livre. L’auteur nous plonge en effet dans les secrets de la famille Lockwood avec pour toile de fond les mouvements contestataires des années 70/80, et cela donne une histoire passionnante qu’on a du mal à lâcher. C’est la marque de fabrique d’Harlan Cohen et ce roman est un bon cru. Je n’ai qu’une question : pourquoi ne pas avoir gardé le titre original: Win, puisque c’est bien lui le héros de ce roman?
  • maud514 16/04/2023
    Franchement j'adore cet auteur, mais pour ce livre ci, j'ai été déçue. L'histoire en elle-même est bien ficelée, on y reconnaît l'art de coben mais il y avait trop de personnages a suivre ,trop de prénoms / noms qui se rapprochaient et résonnaient pareil ce qui portait a confusion. Je l'ai lu jusqu'au bout mais à plusieurs reprises j'ai été perdue/lâchée. Dommage
  • Ornis0732 05/04/2023
    Le livre est plutôt bien écrit. L'intrigue est découpée au scalpel. Presque trop bien. Un bon livre pour les amateurs du genre. C'est le premier livre de cet auteur que j'ai lu. Il en faudra plus pour se faire une idée plus complète. La vie est toutefois tellement éloignée de ce "film" que parfois, on peut décrocher.
  • Jibou02 03/04/2023
    Une intrigue très bien ficelée signée encore une fois Harlan Coben. Dans ce polar, l’ambiance est plutôt sombre et les thématiques abordées ne sont pas des plus réjouissantes (péd*philie, v*ols, meurtres, ...). Cela crée un contraste plus ou moins important selon les situations avec le personnage principal du livre (et le narrateur) : Win (titre original en anglais). Win s’adresse tout d’abord au lecteur à la première personne, ce qui crée dès les premières pages une forte proximité avec lui. Par la suite, on se rend compte que cet homme richissime est sans foi ni loi. Là apparaît donc le contraste avec l’ambiance sombre du roman puisque Win peut bien très bien s’intégrer dans la noirceur d’un passage et perdre par la suite tout sens d’empathie, préférant faire sourire le lecteur par quelques notes d’humour. Le caractère de ce personnage principal et sa proximité avec le lecteur amènent donc une réelle puissance au livre et à son intrigue rendant presque impossible l’abandon de la lecture en cours de route. Encore une fois donc, comment ne pas vouloir recommander un Coben !

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