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Il était une fois... peut-être pas
Date de parution : 03/03/2011
Éditeurs :
Pocket

Il était une fois... peut-être pas

Date de parution : 03/03/2011

Neuf mois que Myriam s’est installée à Toulon. Le bout du monde pour Mohamed qui a vu s’éloigner sa raison de vivre, son soleil. Et voilà qu’elle va revenir avec...

Neuf mois que Myriam s’est installée à Toulon. Le bout du monde pour Mohamed qui a vu s’éloigner sa raison de vivre, son soleil. Et voilà qu’elle va revenir avec un gus ! « Prépare-toi, papa, je te le présente dimanche. » Et Myriam au bras d’un type aux cheveux...

Neuf mois que Myriam s’est installée à Toulon. Le bout du monde pour Mohamed qui a vu s’éloigner sa raison de vivre, son soleil. Et voilà qu’elle va revenir avec un gus ! « Prépare-toi, papa, je te le présente dimanche. » Et Myriam au bras d’un type aux cheveux jaunes dans un costume beige, un Français de souche, blanc comme une porcelaine d'évier, peu perméable aux effusions orientales : Gaston ! Mohamed a beau se répéter que c’est dans l’ordre des choses, il a tout de même bien du mal à se faire à l’idée. D’autant que Myriam ne tarde pas à lui demander d’héberger le Gaulois qui compte s’établir à Paris. Juste le temps qu’il trouve quelque chose, le rassure-t-elle avant de repartir à ses études, le laissant en tête à tête avec le fâcheux. Fini le temps des contes !

« Son talent : pulvériser le politiquement correct avec des personnages hauts en couleur très éloignés des clichés. » Le Figaro littéraire

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EAN : 9782266189934
Code sériel : 13929
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266189934
Code sériel : 13929
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Son talent : pulvériser le politiquement correct avec des personnages hauts en couleur très éloignés des clichés. » Le Figaro Littéraire
« Akli Tadjer a la très belle idée de se servir de ses contes et légendes - ses histoires - pour remonter dans le temps et nous dire son Algérie, complètement imbriquée à l’histoire des siens. » André Rollin - Le Canard Enchainé
« On retrouve avec bonheur l’humour tendre et l’humanité d’Akli Tadjer. » Claire Julliard - L'Obs

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • maya_lectures 23/03/2023
    C’est l’histoire d’un amour fusionnel : celui de Mohammed et de sa fille qu’il a élevé seul. Mais lorsque Myriam part à Toulon poursuivre ses études, elle demande à son père de s’occuper de Gaston, le nouvel homme de sa vie. De quoi perturber l’équilibre affectif de cet artificier misanthrope qui pour se consoler de l’ingratitude des vivants, convoque la légende glorieuse de ses ancêtres algériens, formidable mille et une nuit qu’il contait chaque soir à sa fille chérie pour l’endormir, et dont il brûle de lui révéler la fin. Avec ce beau roman, Akli Tadjer nous emmène dans une aventure humaine dense, tendre et surprenante, où les hommes se révèlent meilleurs qu’ils n’y paraissent et où l’étranger n’est pas celui qu’on croit…. Mon avis :j'ai trouvé la lecture d'"Il était une fois... Peut-être pas" agréable. Le style de l'auteur est simple, sans fioritures, une lecture additive et par moment poétique, l'auteur retranscrit très bien l'amour fusionnel que porte Mohamed pour sa fille Myriam. Le récit aborde plusieurs thèmes actuels : monoparentalité, immigration, intégrisme, relations franco-algériennes ou algéro-françaises. Tout cela à travers un récit passé/présent ou la petite histoire (la vie quotidienne de Mohamed) rejoint la grande histoire (l'histoire de l’Algérie revisitée sous forme de contes de légendes et de mythes) une découverte agréable d'un auteur à akli tadjer .C’est l’histoire d’un amour fusionnel : celui de Mohammed et de sa fille qu’il a élevé seul. Mais lorsque Myriam part à Toulon poursuivre ses études, elle demande à son père de s’occuper de Gaston, le nouvel homme de sa vie. De quoi perturber l’équilibre affectif de cet artificier misanthrope qui pour se consoler de l’ingratitude des vivants, convoque la légende glorieuse de ses ancêtres algériens, formidable mille et une nuit qu’il contait chaque soir à sa fille chérie pour l’endormir, et dont il brûle de lui révéler la fin. Avec ce beau roman, Akli Tadjer nous emmène dans une aventure humaine dense, tendre et surprenante, où les hommes se révèlent meilleurs qu’ils n’y paraissent et où l’étranger n’est pas celui qu’on croit…. Mon avis :j'ai trouvé la lecture d'"Il était une fois... Peut-être pas" agréable. Le style de l'auteur est simple, sans fioritures, une lecture additive et par moment poétique, l'auteur retranscrit très bien l'amour fusionnel que porte Mohamed pour sa fille Myriam. Le récit aborde plusieurs thèmes actuels : monoparentalité, immigration, intégrisme, relations franco-algériennes ou algéro-françaises. Tout cela à travers un récit passé/présent ou la petite histoire (la vie quotidienne de Mohamed) rejoint la grande histoire (l'histoire de...
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  • Blandine80 13/06/2021
    Mohamed se retrouve seul après le départ de Myriam. Myriam revient le voir mais elle ne revient pas seule. Fini la tranquillité, la routine. Mohamed doit se remettre en cause. Alors pour y parvenir il reprend le cours du conte qu’il avait l’habitude de lui raconter à sa Myriam. Il aura comme public les « occupants » de la chambre d’enfants de Myriam. Il met en scène tout un tas de personnages qui traversent les années de manière extraordinaire. Au travers de cette histoire, Akli Tadjer, nous raconte l’histoire de l’Algérie. On se prend à « écouter » le récit par la voie de Mohamed. Le mélange conte/histoire de Myriam est bien agencé. Bons nombres de thèmes sont abordés : la religion, la guerre d’Algérie, le racisme, la relation père/fille, la difficulté à accepter l’autre. Certes ce n’est pas très approfondi en 250 pages ce serait difficile) mais tout est amené doucement et de telle manière que ça interpelle forcément le lecteur. Certains diront que c’est trop léger, je n’ai pas trouvé. Mohamed est attachant, poignant et du coup on réfléchit forcément sur ce qu’on vient de lire. Je vous recommande donc ce « petit » livre d’Akli Tadjer. Pour ma part c’est le deuxième livre de cet auteur que je lis et je suis conquise par son écriture et son humour (toujours présent même dans les moments difficiles). Mohamed se retrouve seul après le départ de Myriam. Myriam revient le voir mais elle ne revient pas seule. Fini la tranquillité, la routine. Mohamed doit se remettre en cause. Alors pour y parvenir il reprend le cours du conte qu’il avait l’habitude de lui raconter à sa Myriam. Il aura comme public les « occupants » de la chambre d’enfants de Myriam. Il met en scène tout un tas de personnages qui traversent les années de manière extraordinaire. Au travers de cette histoire, Akli Tadjer, nous raconte l’histoire de l’Algérie. On se prend à « écouter » le récit par la voie de Mohamed. Le mélange conte/histoire de Myriam est bien agencé. Bons nombres de thèmes sont abordés : la religion, la guerre d’Algérie, le racisme, la relation père/fille, la difficulté à accepter l’autre. Certes ce n’est pas très approfondi en 250 pages ce serait difficile) mais tout est amené doucement et de telle manière que ça interpelle forcément le lecteur. Certains diront que c’est trop léger, je n’ai pas trouvé. Mohamed est attachant, poignant et du coup on réfléchit forcément sur ce qu’on vient de lire. Je vous recommande donc ce « petit » livre d’Akli Tadjer. Pour ma...
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  • BeatriceP8 05/03/2021
    Le gus, c’est ainsi qu’il l’appelait. Ce jeune homme s’était installé chez lui, buvait le café en face de lui et le regardait manger. Comment ce Gaston Leroux, c’était son nom, ose-t-il aimer sa fille Myriam ? Mohamed se console le soir en racontant une longue histoire à Lucifer et Cruella, ses principaux auditeurs, qui ne se gênent pas pour le malmener de temps à autre. “ Imaginer que ma fille allait, peut-être, perdre son nom, mon nom, pour prendre celui du bidule, me donnait des haut-le-cœur. Myriam Leroux, c’était d’un saugrenu abouti!”
  • Leaparisienne 12/01/2021
    Il était une fois peut-être pas… C’est l’histoire incroyable d’un père Mohamed et de Sa Fille Myriam. Ca se lit comme les contes des Mille et une nuits. On apprend beaucoup sur l’histoire de la France et de l’Algérie, le sujet favori de cet auteur. C’est le troisième roman d’Akli Tadjer, moi qui ne connaissait pas grand-chose à part de notre mémoire commune, j’ai beaucoup appris. Merci cher auteur.
  • Syllama 02/12/2018
    Livre sensible, émouvant, mêlant passé et présent contes et légendes et vie réelle, mixité, amour charnel et amour tout court, avec toujours le côté omniprésent de l histoire commune entre la France et l Algérie.. Ses douleurs ses rencontres, cette tolérance et aussi l' intolérance de part et d autre.. Et des mots simples, drôles, marquants, qui vous collent à la peau.. Qui vous font réfléchir. Comme la manipulation mentale et religieuse. J ai juste ADORÉ !!
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