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Journal
Laurence Romance (traduit par)
Date de parution : 05/02/2004
Éditeurs :
10/18

Journal

Laurence Romance (traduit par)
Date de parution : 05/02/2004

Leader du groupe Nirvana, porte-parole d’une génération, Kurt Cobain reste une légende nimbée de mystère. Portrait authentique et intimiste, ses notes et dessins éparses retracent depuis ses débuts la rage...

Leader du groupe Nirvana, porte-parole d’une génération, Kurt Cobain reste une légende nimbée de mystère. Portrait authentique et intimiste, ses notes et dessins éparses retracent depuis ses débuts la rage dévorante qui précipita son succès et sa perte. Perpétuant, vingt ans après sa mort, la voix lucide et insoumise d’un...

Leader du groupe Nirvana, porte-parole d’une génération, Kurt Cobain reste une légende nimbée de mystère. Portrait authentique et intimiste, ses notes et dessins éparses retracent depuis ses débuts la rage dévorante qui précipita son succès et sa perte. Perpétuant, vingt ans après sa mort, la voix lucide et insoumise d’un homme en quête de vérité.

« Il était si grand. Merveilleux. L’un des meilleurs, mais plus que ça. Kurt était pour moi le meilleur de tous les temps. » Neil Young 

Traduit de l'anglais (États-Unis)
par Laurence Romance

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EAN : 9782264036889
Code sériel : 3601
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264036889
Code sériel : 3601
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 320
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Un recueil émouvant de textes, dessins et réflexions, impeccablement traduit par Laurence Romance. »
Télérama

«
Un document inédit, emblème de toute une génération. »
Aurélie Sarrot, Métro

« Ce doc propose une plongée dans les méandres de ce qu'était l'esprit torturé de Kurt Cobain, huit ans après son suicide. Le leader de Nirvana livre les fêlures intimes d'un ado "maniaco-dépressif ", raconte ses rêves hallucinés, vitupère contre les "despotes de la droite" et la télévision. Ce récit décousu et parfois confus, agrémenté de BD et de poèmes, révèle également un Kurt Cobain lucide sur son époque, capable d'auto-dérision et d'une tendresse infinie pour sa fille Frances. L'une des rares lueurs d'espoir dans ce document intime, rendu public par Courtney Love, la veuve de Kurt Cobain. »
Éric Mandel, Journal du Dimanche

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Ninaalu 21/06/2022
    c’est un carnet de note quelque peu inconventionnel où le chanteur mêle dessins, paroles, notes, etc. Cela nous permet de pénétrer un petit peu au coeur de l’intimité de ce jeune homme génial mais torturé, sensible et révolté, au destin tragique. Le livre de mon adolescence…
  • CatF 06/04/2022
    Kurt Cobain fait partie de mes incontournables "héros" de ma jeunesse. Ce livre est un ramassis de pensée plus ou moins folle du chanteur. Il se droguait, c’est indéniable. Il s’est autodétruit, c’est une certitude. Il parle beaucoup de suicide, de drogue et de journaliste très méchant envers Nirvana. J’ai découvert ses dessins et redécouvert les paroles de ses chansons : Rien de neuf c’est tous les jours On pourrait chier sur scène qu’ils seraient encore fans Si c’est une marque connue, si c’est une marque connue, si c’est une marque connue Tous les kids en boufferont - Si c’est bien emballé Voler un son et imiter Rester dans un format établi Pas de poésie Juste les faits Aero zeppelin  Il restera malgré tout un de mes « héros », un personnage à part… Bonne lecture !
  • Thomas_Harnois 22/03/2022
    « Journal » est une plongée fascinante dans l'esprit des plus grands artistes contemporains. Créatif, visionnaire, ambitieux, Cobain était également un être fragile, sensible et mal dans sa peau qui est entré vraisemblablement dans une spirale d'auto destruction quand il a compris que son succès et le personnage public qu'il était devenu le dépassait à présent. Autodidacte, issu d'un milieu de « petits blancs » minables, Cobain a atteint au moins partiellement son but en ayant un impact sociétal aussi bref qu'immense sur la jeunesse qui l'écoutait dans les années 90. Ce « Journal » est un témoignage vibrant de sa volonté de rébellion contre une société qui l'étouffait, de sa grandeur d’âme vis-à-vis de ce qu'on appelle aujourd'hui les « minorités » (femmes, gays, noirs), de sa naïveté également. Bien entendu la face sombre est également présente dans des phases de dépression, d'addiction avec déjà en pointillé le goût pour les armes et l'idée de se supprimer. Même si l'idée de devenir une vieille rock star sur le retour le répugnait, on pourra simplement regretter que Kurt n'ait pas vécu plus longtemps et pu profiter de l'enfant qu'il semblait tant désirer...
  • lebelier 06/11/2021
    Il est étrange que je sois venu à lire ce « journal » qui est en fait une compilation présentée - du moins dans l'édition américaine que j'ai lue- en fac-simile des carnets de notes de Kurt Cobain qui, comme chacun sait était le chanteur de Nirvana, groupe dit « grunge » de Seattle dans le Washington et qui mit fin à ses jours en avril 1994. Au départ j'étais parti pour acheter seulement le Journal de Kafka. Mais finalement, le site sur lequel j'ai commandé ces deux ouvrages, étant si bien fait que j'ai cédé aux sirènes du marketing. Donc nous voilà en présence de l'écriture d'un jeune homme pas très lettré –pas mal de fautes d'orthographe, style qui part dans tous les sens- mais qui a l'avantage du produit brut. On y trouve pêle-mêle, ses brouillons de lettres, ses réflexions sur le monde du showbiz, ses brouillons de chansons, ses penchants politiques, une exploration de ses propres contradictions, des explications sur son addiction à l'héroïne, dit-il seule capable de soigner des maux récurrents d'estomac – j'ai pensé à De Quincey, son opium et son mal de dents – et pas mal de dessins, de projets de pochettes, ses guitares idéales etc. Ce qui ressort de tout cela, c'est la nette sensation que le succès pesait à Kurt –qui refusait de jouer le fameux « Smells Like Teen Spirit », tube planétaire, en live. Les journalistes de rock sont des incapables qui mettent la musique dans des cases (je résume sa pensée) et le bizness une participation tacite au capitalisme qu'il exècre. On le sent tiraillé entre ces deux mondes, sa bande de copains de Aberdeen, idéalistes et amateurs de musique de « révolte » du punk rock, et la reconnaissance internationale qui le force à donner des interviews à des magazines « qu'il ne lit pas .» Intéressant aussi, est ce processus de création mis à nu, des notes, une liste de mots, des accords de guitares dessinés en tablatures, l'éveil de sa formation musicale : autodidacte qui se met à créer d'emblée sa propre musique pour ne pas subir inconsciemment l'influence de ses prédécesseurs. Cependant, on a un peu l'impression de violer son intimité (« Rape me, my friend !»), de trahir un secret, d'avoir été rattrapé par le bizness qui fait feu de tout bois. Au long de ces pages, on ressent aussi son envie d'en finir parfois dite de façon tragi-comique en reprenant une chanson des Who : « Hope I die before I turn into Pete Townshend » (« J'espère mourir avant de me transformer en Pete Townshend » ) : Pete Townshend est le guitariste/chanteur /compositeur des Who qui a écrit dans la chanson « My Generation »(1965) : « Hope I die before get old »(J'espère mourir avant de devenir vieux.) Pour lui c'est raté mais pas pour Kurt Cobain. A faire lire aux amateurs de rock plutôt, les allusions ne sont pas toutes évidentes.Il est étrange que je sois venu à lire ce « journal » qui est en fait une compilation présentée - du moins dans l'édition américaine que j'ai lue- en fac-simile des carnets de notes de Kurt Cobain qui, comme chacun sait était le chanteur de Nirvana, groupe dit « grunge » de Seattle dans le Washington et qui mit fin à ses jours en avril 1994. Au départ j'étais parti pour acheter seulement le Journal de Kafka. Mais finalement, le site sur lequel j'ai commandé ces deux ouvrages, étant si bien fait que j'ai cédé aux sirènes du marketing. Donc nous voilà en présence de l'écriture d'un jeune homme pas très lettré –pas mal de fautes d'orthographe, style qui part dans tous les sens- mais qui a l'avantage du produit brut. On y trouve pêle-mêle, ses brouillons de lettres, ses réflexions sur le monde du showbiz, ses brouillons de chansons, ses penchants politiques, une exploration de ses propres contradictions, des explications sur son addiction à l'héroïne, dit-il seule capable de soigner des maux récurrents d'estomac – j'ai pensé à De Quincey, son opium et son mal de dents – et pas mal de dessins, de projets de pochettes, ses guitares...
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  • yellowsuri 09/01/2021
    En tant que fan du groupe Nirvana et du personnage Kurt Cobain je m'étais procuré ce livre pendant mon adolescence. J'ai adoré. C'est juste énorme et bouleversant de se retrouver plonger dans son intimité. On ressent les émotion de Kurt. Cet homme hypersensible... C'est percutant. Un livre qui ne laisse pas indifférent.
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