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La Fille du train
Corinne Daniellot (traduit par)
Date de parution : 08/09/2016
Éditeurs :
Pocket

La Fille du train

Corinne Daniellot (traduit par)
Date de parution : 08/09/2016
Entre la banlieue où elle habite et Londres, Rachel prend le train deux fois par jour : à 8 h 04 le matin, à 17 h 56 le soir. Et... Entre la banlieue où elle habite et Londres, Rachel prend le train deux fois par jour : à 8 h 04 le matin, à 17 h 56 le soir. Et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la... Entre la banlieue où elle habite et Londres, Rachel prend le train deux fois par jour : à 8 h 04 le matin, à 17 h 56 le soir. Et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par cœur, elle a même donné un nom à ses occupants : Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait. Heureux, comme Rachel et son mari ont pu l’être par le passé, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte.
Jusqu’à ce matin où Rachel voit Jess dans son jardin avec un autre homme que Jason. La jeune femme aurait-elle une liaison ? Bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, Rachel décide d'en savoir plus. Quelques jours plus tard, elle découvre avec stupeur la photo d'un visage désormais familier à la Une des journaux : Jess a mystérieusement disparu...

« Addictif. » Télérama

« Un bijou de polar psychologique. » Le Figaro Magazine
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EAN : 9782266254489
Code sériel : 16129
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 456
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266254489
Code sériel : 16129
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 456
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Abordant aussi bien le thème de la désocialisation que ceux de la maternité et des violences conjugales, voici un domestic noir, selon l’expression anglaise, aux accents hitchcockiens complètement addictif. » L’Express

« Loin des fatigants thrillers sanguinolents, la dernière trouvaille des épatantes éditions Sonatine, signée Paula Hawkins, est un bijou de polar psychologique. Peuplé de fausses pistes et de chausse-trapes particulièrement trapues, il tient en haleine comme un bon vieux Hitchcock. » Jean-Christophe Buisson – Le Figaro Magazine

« C’est addictif, bien écrit, à vous rendre aussi paranoïaque que la protagoniste. » Télérama

« Un remarquable thriller psychologique qui hisse Paula Hawkins d’ores et déjà au rang des plus grands noms du genre, tant par son habileté à manipuler le lecteur que par l’invention du personnage borderline de Rachel. » L’Obs

« Ce thriller sophistiqué est une révélation littéraire. » Le Monde des livres

« Formidablement construite et narrée (gare aux faux-semblants et contradictions…), cette leçon de suspense offre surtout trois formidables portraits de femmes face à leurs démons. Sueurs froides de première classe en perspective. » LiRE

« Un suspens tordu à souhait. » Avantages

« Ce thriller du quotidien a envoûté les lecteurs par la singularité de ses personnages et la finesse de son style. » Aujourd’hui en France

« Un premier roman très réussi. Paula Hawkins possède un don incroyable : celui de nous tenir en haleine du début à la fin de ce polar aussi hypnotique que psychologique. » Femme actuelle

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Piotte 08/04/2024
    Bon moment de lecture. J'ai du me concentrer au début pour m'y retrouver dans les personnages, mais c'est plus dû à ma mémoire qu'à la qualité de l'écriture je pense! J'ai vite était prise dans l'intrigue et je n'avais plus envie de poser le livre. Avec parfois l'envie de dire a la protagoniste, Rachel : "mais non ne fais pas ça!".
  • lasixiemepage_Sandy 08/04/2024
    Un thriller psychologique très addictif ! Je n’ai pas lâché ce livre du début à la fin tellement je voulais connaître la vérité. Les personnages sont complexes, surtout Rachel qui est complètement perdue et puis on finit par s’attacher à elle. Plus on avance dans l’histoire, plus la tension monte et les pièces du puzzle s’assemblent. Les apparences sont souvent trompeuses et c’est ce que Rachel va découvrir… C’est un coup de coeur !
  • bellodauv 28/03/2024
    Ce n’est pas tant l’aspect thriller qui m’a plu ici , mais plutôt sa teneur psychologique. La construction fondée sur la narration par trois personnages féminins révèle beaucoup de sentiments touchants et universels : la perte de confiance en soi, la culpabilité , le besoin de sécurité affective, l’espoir d’un avenir meilleur … Pour servir l’intrigue et alléger certains passages, j’aurais aimé plus d’équilibre entre ces narrations : moins de Rachel , davantage de Megan et même d’Anna, trop lisse, et dont on aurait pu sentir plus subtilement l’effritement progressif de sa belle assurance.
  • MaudEma 14/03/2024
    Depuis qu'elle a sombré dans l'alcool Rachel a perdu son mari, sa maison et son travail. Pour sauver quelqu'apparence elle continue de prendre le même train de banlieue londonien matin et soir et vit par procuration la vie des gens qu'elle aperçoit à travers la vitre. Le jour où elle apprend la disparition tragique de la femme d'un couple quelle observait régulièrement sa vie bascule dans le chaos. J'ai aimé la construction très efficace de ce thriller psychologique. Flashbacks et récits à la première personne s'entrecroisent de la part des trois protagonistes féminines du roman. Chacune a sa part d'ombre et ses secrets, chacune voit ou raconte l'histoire à sa façon et le tout se fraye un chemin tortueux vers la résolution de l'intrigue. La grande originalité du roman est que la clé du mystère se trouve dans le souvenir oublié de l'héroïne alcoolique. Ça pourrait être répétitif, et ça l'est parfois, mais c'est suffisamment typique de l'alcoolisme et crédible pour ne pas sombrer dans l'ennui. Non, ce livre nous tient en haleine jusqu'au bout et bien que vers les 2/3 du livre l'identité de l'assassin devienne évidente, il ne perd pas son intérêt car l'auteure a su capter notre attention et nous attacher à ses personnages.Depuis qu'elle a sombré dans l'alcool Rachel a perdu son mari, sa maison et son travail. Pour sauver quelqu'apparence elle continue de prendre le même train de banlieue londonien matin et soir et vit par procuration la vie des gens qu'elle aperçoit à travers la vitre. Le jour où elle apprend la disparition tragique de la femme d'un couple quelle observait régulièrement sa vie bascule dans le chaos. J'ai aimé la construction très efficace de ce thriller psychologique. Flashbacks et récits à la première personne s'entrecroisent de la part des trois protagonistes féminines du roman. Chacune a sa part d'ombre et ses secrets, chacune voit ou raconte l'histoire à sa façon et le tout se fraye un chemin tortueux vers la résolution de l'intrigue. La grande originalité du roman est que la clé du mystère se trouve dans le souvenir oublié de l'héroïne alcoolique. Ça pourrait être répétitif, et ça l'est parfois, mais c'est suffisamment typique de l'alcoolisme et crédible pour ne pas sombrer dans l'ennui. Non, ce livre nous tient en haleine jusqu'au bout et bien que vers les 2/3 du livre l'identité de l'assassin devienne évidente, il ne perd pas son intérêt car l'auteure a su capter notre attention et nous attacher...
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  • lilp 10/03/2024
    J'ai un avis mitigé : l'idée est intéressante mais c'est très long, lent. Pendant les 2/3 du livre il ne se passe rien d'intéressant, un peu d'intrigue mais pas assez pour me tenir en haleine. Donc j'ai continué à lire surtout car je me demandais où le livre allait me mener. Et tout se délie dans le dernier tiers voire le dernier quart. On sent enfin du suspense et tout va très vite à la fin. J'aurais juste préféré que le rythme soit plus équilibré, car j'ai lu une grande partie du livre sans être captivée. Note : c'était amusant, j'ai lu ce livre juste après 'Le Chalet' de Catherine Cooper et c'est écrit de la même manière : le narrateur s'exprime à la première personne, sauf que le narrateur est constamment un personnage différent, comme dans le Chalet. Il y a aussi la date pour nous situer dans le temps car il y a des passages du passé et des passages dans le présent, tout comme le Chalet. Plutôt un 3,5 que 4 pour ma part, à cause des 2/3 trop lent. Je vais maintenant regarder le film, voir ce qu'ils en ont fait ;)
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