L'Heure bleue : Le livre de Paula Hawkins

" La romancière britannique, à qui l'on doit La Fille du train, livre avec son dernier roman un thriller psychologique qui n'est pas sans rappeler Rebecca de Daphné du Maurier. "|Alexandre Schawrtzbrod

" Paula Hawkins dépasse le genre désormais ressassé du thriller pour un récit psychologique plus fouillé. Cette intrigue aux réminiscences gothiques évoque, par son atmosphère fantastique, une Daphné du Maurier, citée à deux reprises dans le texte. Le cadre joue ici un rôle primordial. Sauvage, coupée du monde à marée haute, l'île est devenue un piège, une prison pour sa propriétaire. Comme l'est devenue sa relation parfois pesante avec Grace. D'une grande densité, tortueux et inquiétant, ce livre est sans conteste le meilleur de l'écrivaine britannique."|Claire Julliard

" Après l'énorme succès de La fille du train, sorti en 2015, Paula Hawkins revient nous enchanter avec ce nouveau thriller aux accents furieusement gothiques. Comme dans ses précédents romans, l'autrice brosse le subtil portrait d'une femme éprise de liberté. "|Gaston-Paul Effa

" Ce qui débute comme un thriller gothique se transforme en portrait d'une femme libre, aux nombreux secrets, et d'une amitié forte mais toxique. Le huis clos entre l'expert en œuvres d'art James Becker, amoureux fou des tableaux de Vanessa, et Grace, son héritière, joue sur nos nerfs avec bonheur. On plonge avec délices dans l'univers de l'écrivaine, qui manie le suspense jusqu'à la dernière ligne. "|Ariane Bois

" Si le nouveau roman de Paula Hawkins commence de manière assez académique par une expertise, puis une enquête artistique, sur la provenance d'un os humain (!) dans une sculpture mise sous verre - avec la retranscription des échanges de mails entre un anthropologue judiciaire et une fondation privée -, rapidement le livre embarque ailleurs, dans quelque chose qui n'est pas seulement un polar bien informé sur le monde des curateurs et la datation des ossements, mais un thriller psychologique à la manière de Patricia Highsmith. (...) Portrait de deux femmes aux deux visages, chacune aspirant à une forme d'amour et de liberté absolus, mais dont la plus dangereuse n'est pas celle que l'on croit ; mais portrait également d'un homme - James Becker - victime de son aveuglement d'exégète et de son amour pour les arts, L'Heure bleue se termine sur des accents gothiques effrayants. "|Isabelle Lortholary

Chronique L'heure Bleue.|Julie Cordier

" Pour celles et ceux qui ont envie rêvent de partir dans des îles " :
" Vous préférez la solitude ? Alors ouvrez le nouveau polar de Paula Hawkins, L'Heure bleue, et laissez-vous envoûter par l'ambiance d'Eris, île écossaise recelant de nombreux mystères. "|Elise Chaverot

" Cinquième roman en dix années d'exercice, L'Heure bleue montre une autre couleur de sa palette littéraire en s'engageant sur la voie d'un thriller sombre, gothique et évidemment féministe qui n'est pas sans rappeler les classiques britanniques du genre (...) Entre ambiance ténébreuse et mystères insondables, Paula Hawkins lève avec un sens éprouvé du suspense le voile sur l'existence tristement singulière d'une femme hors du commun. "|Jean-Nicolas Berniche

" Paula Hawkins maintient le suspense en nous guidant à travers cette galerie de portraits où sommeillent désirs d'amour et de vengeance. La vérité n'en sera que plus édifiante. L'Heure bleue n'a-t-elle pas la couleur de la peur ? "|Thierry Boillot

" Mêlant roman à énigmes et suspense psychologique, l'écrivaine explore les relations toxiques et l'obsession artistique. "|Hubert Artus

" Paula Hawkins s'est plongée dans I'histoire de l'art. Elle nous raconte I'oppressant entourage de Ia peintre, son mari volage, son curateur ambitieux, sa dame de compagnie obsessionnelle, jusqu'à percer le mystère d'une vie traversée par I'amour, Ia beauté et Ie cruel. Un roman très noir, plein de poison et de mélancolie. "|Elise Lépine

" Tissant l'enquête d'un jeune spécialiste d'histoire de l'art et le journal intime de Vanessa, l'auteure de La Fille du Train signe un thriller tout en ambiguïtés et en trompe-l'œil, quelque part entre Patricia Highsmith et Daphné du Maurier. "|Minh Tran Huy