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L'autre homme de ma vie
Françoise Jaouen (traduit par)
Date de parution : 05/04/2012
Éditeurs :
10/18

L'autre homme de ma vie

Françoise Jaouen (traduit par)
Date de parution : 05/04/2012

Richard Rossi se flatte de connaître tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles... Bien qu'il partage déjà sa vie avec quelqu'un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère mouvementée....

Richard Rossi se flatte de connaître tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles... Bien qu'il partage déjà sa vie avec quelqu'un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère mouvementée. Au long de cet hiver glacial de la fin de l'ère Bush, Richard navigue à vue. Jusqu'au jour où il...

Richard Rossi se flatte de connaître tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles... Bien qu'il partage déjà sa vie avec quelqu'un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère mouvementée. Au long de cet hiver glacial de la fin de l'ère Bush, Richard navigue à vue. Jusqu'au jour où il se rend compte que " l'objet de son affection " conjugale n'est pas non plus à l'abri des tentations...


Stephen McCauley, l’écrivain toute catégorie de la comédie de mœurs, signe une chronique brillante et caustique, plus mature et mélancolique que jamais...


Traduit de l’anglais (États-Unis)
par Françoise Jaouën

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EAN : 9782264053985
Code sériel : 4543
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264053985
Code sériel : 4543
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • st79310 27/01/2013
    Livre sur les tentations extraconjugales. J'ai bien aimé les petits chapitres qui se coordonnésassez bien ensemble. Livre dans l'air du temps....
  • Philes67 28/05/2012
    On retrouve l'univers de Stephen McCauley où des gays tombent amoureux d'hommes mariés (cf. "L'Objet de mon affection") Une comédie de moeurs truffée d'histoires assez amusantes. Un roman à l'humour caustique.
  • Myrtle 16/07/2011
    Chroniques douces-amères Stephen Mc Cauley compte déjà de nombreux fans des deux côtés de l’Atlantique. Avec son dernier ouvrage L’(autre) homme de ma vie, il risque de conquérir de nouveaux lecteurs avec son regard acéré sur la société américaine et la justesse de son ton quand il parle de l‘existence. Le héros de son dernier livre, Richard Rossi, mène une vie tranquille à Boston entre son petit ami Conrad et son amant Benjamin, un homme marié père de deux enfants. La routine de son existence rythmée par son travail dans une société de d’édition de logiciels informatiques et ses entraînements dans les salles de sport va subitement être remise en cause. Il découvre un message sur le portable de son aimé qui fait naître le doute en lui. Pour compliquer les choses, Conrad se met à passer beaucoup de temps dans la petite ville de Colombus… Au premier abord, ce qui pourrait passer pour des considérations ennuyeuses et plates sur le quotidien est littéralement transformé par l’écriture de notre auteur. Son regard est juste et son cynisme fait mouche à chaque fois. Richard s’étonne toujours de la bêtise de Bush lorsqu’il allume la TV ou surfe sur des forums politiques. Il s’amuse également à disséquer les comportements de ses proches - des restes de son ancien travail de psy. Il analyse ainsi Benjamin, son amant : « J’en étais arrivé à la conclusion que, chaque fois qu’on baisait ensemble, il pensait qu’en se laissant totalement aller, en explorant le moindre désir refoulé, il finirait par s’en débarrasser pour de bon, et n’aurait plus besoin de moi ni d’aucun homme. Ce que je considérais comme un acte érotique et sensuel, une expression d’affection, était pour lui un acte d’exorcisme. J’espérais que la satisfaction que je prenais soin de lui apporter me rendrait, à un certain niveau, indispensable. Il espérait me rendre superflu. » L’humour de Richard reste malgré tout toujours grinçant et la tonalité qui ressort de ses réflexions est assez sombre. En observant le monde qui l’entoure, il en revient toujours à réfléchir sur l’âge, sur le temps qui passe et sur ses choix de vie. Le doute qui naît de sa relation avec Conrad le « réveille » et lui permettra de voir ce qui importe le plus pour lui. Au final, L’(autre) homme de ma vie se révèle être un ouvrage plus profond que l'on ne pense. C'est le constat que fait un homme de cinquante ans sur ses amours, son entourage et ce qu’il veut vraiment. Comme Richard, chacun devrait prendre le quotidien avec philosophie, même si cela suppose d’accepter ce que l’on est - et ce que l’on n’est plus - et de savoir renoncer au superflu. Public concerné : Les amateurs de cynisme, ceux qui veulent découvrir Stephen McCauley Chroniques douces-amères Stephen Mc Cauley compte déjà de nombreux fans des deux côtés de l’Atlantique. Avec son dernier ouvrage L’(autre) homme de ma vie, il risque de conquérir de nouveaux lecteurs avec son regard acéré sur la société américaine et la justesse de son ton quand il parle de l‘existence. Le héros de son dernier livre, Richard Rossi, mène une vie tranquille à Boston entre son petit ami Conrad et son amant Benjamin, un homme marié père de deux enfants. La routine de son existence rythmée par son travail dans une société de d’édition de logiciels informatiques et ses entraînements dans les salles de sport va subitement être remise en cause. Il découvre un message sur le portable de son aimé qui fait naître le doute en lui. Pour compliquer les choses, Conrad se met à passer beaucoup de temps dans la petite ville de Colombus… Au premier abord, ce qui pourrait passer pour des considérations ennuyeuses et plates sur le quotidien est littéralement transformé par l’écriture de notre auteur. Son regard est juste et son cynisme fait mouche à chaque fois. Richard s’étonne toujours de la bêtise de Bush lorsqu’il allume la TV ou surfe sur des forums politiques. Il s’amuse également...
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  • Livrespourvous 28/10/2010
    Bon, tous ceux qui ont lu un roman de Stephen McCauley, ne seront pas déçus parL’(autre) homme de ma vie. En effet, McCauley s’y entend comme personne pour disséquer les tracas ou les affres (c’est selon) du quotidien, en y jetant du sel qui finit par corroder les solides bases de l’existence. Il décortique, analyse le moindre fait de la vie de son héros, Richard Rossi. Cinquantenaire, grand fan de salles de sport, Rossi vit depuis longtemps avec Conrad Mitchell et entretient une liaison avec un homme marié, Benjamin. Cette vie, apparemment brillante car épanouie également professionnellement, se retrouve un beau jour maltraitée et déroutée par un grain de sable : Conrad aussi a un amant régulier. A partir de là, tout est remis en question et Richard va aller de désillusion en désillusion pour enfin se réapproprier son existence et ne plus la subir. Le roman est tout à la fois caustique et tendre, narquois et sincère, méchant et salutaire. Sa vie se désaxe mais Rossi demeure avec ses réparties subtiles, cachant ainsi ses sentiments ou son désarroi. Et chacun dans son entourage (épatante galerie de portraits), du coach personnel de sport à l’associée de Conrad, en passant par les amis, les collègues, va révéler à Rossi une partie de lui-même. Un comique lucide à prescrire de toute urgence par temps de crise !Bon, tous ceux qui ont lu un roman de Stephen McCauley, ne seront pas déçus parL’(autre) homme de ma vie. En effet, McCauley s’y entend comme personne pour disséquer les tracas ou les affres (c’est selon) du quotidien, en y jetant du sel qui finit par corroder les solides bases de l’existence. Il décortique, analyse le moindre fait de la vie de son héros, Richard Rossi. Cinquantenaire, grand fan de salles de sport, Rossi vit depuis longtemps avec Conrad Mitchell et entretient une liaison avec un homme marié, Benjamin. Cette vie, apparemment brillante car épanouie également professionnellement, se retrouve un beau jour maltraitée et déroutée par un grain de sable : Conrad aussi a un amant régulier. A partir de là, tout est remis en question et Richard va aller de désillusion en désillusion pour enfin se réapproprier son existence et ne plus la subir. Le roman est tout à la fois caustique et tendre, narquois et sincère, méchant et salutaire. Sa vie se désaxe mais Rossi demeure avec ses réparties subtiles, cachant ainsi ses sentiments ou son désarroi. Et chacun dans son entourage (épatante galerie de portraits), du coach personnel de sport à l’associée de Conrad, en passant par les amis, les collègues,...
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