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Le Chant des géants
Date de parution : 05/10/2023
Éditeurs :
Pocket

Le Chant des géants

Date de parution : 05/10/2023
Asseyez-vous près du feu pour écouter un récit envoûtant d’amour et de sang, de songes de géants et de rêves de pouvoir..   
 « Je vais vous raconter une histoire. Celle de notre île d’Oestant où dorment trois géants : Baile, aux rêves de mort et de musique, Leborcham, mère du brouillard, des collines...  « Je vais vous raconter une histoire. Celle de notre île d’Oestant où dorment trois géants : Baile, aux rêves de mort et de musique, Leborcham, mère du brouillard, des collines et des plaines, et enfin le puissant Fraech aux songes de gloire et de batailles. Je vais vous parler de...  « Je vais vous raconter une histoire. Celle de notre île d’Oestant où dorment trois géants : Baile, aux rêves de mort et de musique, Leborcham, mère du brouillard, des collines et des plaines, et enfin le puissant Fraech aux songes de gloire et de batailles. Je vais vous parler de guerres, d’amour et de trahisons ; de cris, de sang et de larmes. Je vais vous parler de grands espoirs, de ce qui est vain. De ce qui meurt.
Alors, fermez les yeux. Laissez-vous aller. Voilà.
Mon histoire commence sur la lande, en bord de mer, dans le château de l’étrange roi Lothar. »

 
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EAN : 9782266333245
Code sériel : 07350
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266333245
Code sériel : 07350
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Voici un roman de fantasy qui se lit d'un trait et qui, pour peu que l'on ait envie d'une intrigue faite de trahisons, de batailles cruelles, d'alliances inattendues et de montée en puissance dans la folie, la passion et le drame, tient toutes ses promesses ! » 
Ludivine / Lettre et Merveilles (Pontoise)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LJCros 23/03/2024
    Une œuvre dès plus bouleversante. Mon cœur s'est comprimé, déchiré, enflammé ... Parfois, quelques morceaux se rassemblaient. Les émotions que cette histoire nous fait ressentir sont multiples mais surtout d'une intensité transcendante. C'est une superbe découverte que j'ai pris un immense plaisir à lire. Merci pour cela.
  • Xapur 14/03/2024
    Assez classique dans sa trame de début, le roman voit se dessiner un conflit entre deux frères, deux princes plus exactement, complices au début puis de plus en plus étrangers, voire ennemis, alors qu’une guerre se déclenche contre un autre royaume qui les a trahi. L’aîné, Ianto, accède au trône pendant le conflit mais fait bien peu de cas de son cadet, Bran, qu’il jalouse secrètement. Bien sûr, il y a une belle (et « Rebelle ») princesse dans le camp ennemi (Mérida, sors de ce corps !) qui cristallisera encore les tensions alors qu’elle est promise, contre son gré mais par devoir, à Ianto alors que Bran en est fou – et c’est réciproque, hein. Et il y a cette brume qui mange progressivement le territoire, un magicien assez fantasque et désinvolte (Gandalf sans son chapeau), des géants endormis qui sont en fait les dieux de ce monde d’inspiration celto-bretonne en déclin, la corruption du pouvoir… Tout ça est classique, presque trop, et les thématiques me font penser à du young adult (ce qui n’est pas vraiment ma tasse de thé). Mais, car il y a un mais, l’histoire bascule assez soudainement dans le drame. La seconde partie est bien plus sombre (et intéressante, du coup, en ce qui me concerne) et les cartes sont redistribuées. Le drame est bien posé, les surprises et coups de théâtre se succèdent et la vraie histoire sous-jacente se révèle peu à peu. Et il y a des scènes qui sont, quand même, sacrément choquantes. Finalement, Le Chant des Géants est-il vraiment le récit de Bran, le beau gosse sympa et amoureux, gentil et un peu naïf ? Pourquoi les dieux sont-ils sourds aux mortels qui ne jurent que par eux ? Qui sont ces immortels qui font l’intermédiaire et quels sont leurs but? Et d’où vient cette brume maléfique ? La suite sur mon blog...Assez classique dans sa trame de début, le roman voit se dessiner un conflit entre deux frères, deux princes plus exactement, complices au début puis de plus en plus étrangers, voire ennemis, alors qu’une guerre se déclenche contre un autre royaume qui les a trahi. L’aîné, Ianto, accède au trône pendant le conflit mais fait bien peu de cas de son cadet, Bran, qu’il jalouse secrètement. Bien sûr, il y a une belle (et « Rebelle ») princesse dans le camp ennemi (Mérida, sors de ce corps !) qui cristallisera encore les tensions alors qu’elle est promise, contre son gré mais par devoir, à Ianto alors que Bran en est fou – et c’est réciproque, hein. Et il y a cette brume qui mange progressivement le territoire, un magicien assez fantasque et désinvolte (Gandalf sans son chapeau), des géants endormis qui sont en fait les dieux de ce monde d’inspiration celto-bretonne en déclin, la corruption du pouvoir… Tout ça est classique, presque trop, et les thématiques me font penser à du young adult (ce qui n’est pas vraiment ma tasse de thé). Mais, car il y a un mais, l’histoire bascule assez soudainement dans le drame. La seconde partie est bien...
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  • Luria 09/03/2024
    Poétique Vivant On se sentait minot, écouter à la veillée yeux ébahis l'histoire du barde, harassé par la journée à faire paitre les bêtes mais sans vouloir le faire paraître, ohnonon. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans, dans cet univers gardé par les géants, mythiques, réels ou assoupis comme les dragons de l'univers de Robin Hobb. Voilà il y avait moult références et pas vraiment de nouveauté, comme trop souvent en ce moment dans mes lectures du genre. Et je pense avoir trop baigné et lu à la suite des mondes fantastiques un peu semblables et donc flemmards du scénar (je voulais juste un livre peu lourd ni epais pour le glisser dans ma besace), aussi je mélangeais un peu tout, par exemple je superposais à ma lecture les images de la BD des songes du roi griffus que je venais de lire, les légendes arthuriennes y étant dans ces deux ouvrages très présentes. Tout en visualisant très bien ce que je lisais. Des flammes qui crepitent jusqu'au ciel à l'orée d'une forêt de légendes. C'était beau mais difficile car multiple dans ma tête. Et ça manque de carte en début d'ouvrage. Et puis l'univers s'est ancré en moi et j'ai pu suivre ledit du conteur sans m'égarer dans mes pensées. C'était beau. Triste. Épique. Théâtral et désespéré. Pas assez original mais agréable. J'ai bien aimé. D'avantage que la princesse au visage de nuit, seul autre livre que j'avais lu de David Bry. Cependant il m'a manqué quelque chose Comme dit maintes fois j'avais l'impression de lire une histoire déjà connue. Où les méchants sont vils, les hantés maudits et les bons trop naïfs, bref, une histoire sans surprise. Certes le ton du récit, le monde entre songes et réel, régit par des géants endormis étaient très sympathiques mais ça ne suffit pas. Ça ne suffit plus. Poétique Vivant On se sentait minot, écouter à la veillée yeux ébahis l'histoire du barde, harassé par la journée à faire paitre les bêtes mais sans vouloir le faire paraître, ohnonon. J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans, dans cet univers gardé par les géants, mythiques, réels ou assoupis comme les dragons de l'univers de Robin Hobb. Voilà il y avait moult références et pas vraiment de nouveauté, comme trop souvent en ce moment dans mes lectures du genre. Et je pense avoir trop baigné et lu à la suite des mondes fantastiques un peu semblables et donc flemmards du scénar (je voulais juste un livre peu lourd ni epais pour le glisser dans ma besace), aussi je mélangeais un peu tout, par exemple je superposais à ma lecture les images de la BD des songes du roi griffus que je venais de lire, les légendes arthuriennes y étant dans ces deux ouvrages très présentes. Tout en visualisant très bien ce que je lisais. Des flammes qui crepitent jusqu'au ciel à l'orée d'une forêt de légendes. C'était beau mais difficile car multiple dans ma tête. Et ça manque de carte en début d'ouvrage. Et puis l'univers s'est ancré en moi et j'ai...
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  • sarbae 07/03/2024
    Même la fantasy moderne revêt des airs de fin’amor. Avec cette chronique, David Bry nous emmène au fond des auberges pour nous conter par l’intermédiaire d’un mystérieux individu « le chant des géants », une histoire se passant sur l’île d’Oestant, et ressemblant sur bien des aspects au mythe tragique de Tristan et Iseult. Malgré le titre, pas vraiment de géants rencontrés durant l’intrigue ; ceux-ci servent surtout à entretenir les légendes et sont la foi de l’île. Toutefois, il arrive bien des évènements étranges dans ce lieu, et c’est ce qui pousse les deux frères Ianto et Bran, personnages principaux, à débuter le roman. Les éléments de medieval fantasy sont somme toute classiques : des drames familiaux, un amour, des batailles et une couronne. C’est cependant sous la plume de l’auteur qu’ils prennent réellement vie et nous entraînent, pour nous faire oublier leur peu d’originalité. Le récit, par endroits ponctué de mystères, demeure ainsi un bel ouvrage, avec des enjeux revus mais toujours aussi puissants. Écoutez bien le barde et savourez les scènes entrecoupant la tension de son établissement, car elles offrent un véritable plus également simple, mais bien travaillé.
  • SongeYume 05/03/2024
    Excellente épopée. Les pages défilent à un rythme effréné, tant l'histoire est prenante. J'ai adoré les batailles, ces mystérieux géants, et cette notion de rêve si présente et importante. Quelle belle philosophie ! Les quelques coquilles (j'ai dû voir trois répétitions, dont deux qui cassent un peu la phrase à moins de la lire très vite) ne gâchent vraiment en rien cette magnifique lecture, et l'on se doute bien que les corrections sont sans fin de toute manière.
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