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Le Poids du monde
Collection : Polar
Date de parution : 04/07/2019
Éditeurs :
10/18

Le Poids du monde

Collection : Polar
Date de parution : 04/07/2019
« Un roman parfait, qui va rester dans toutes les mémoires. » Donald Ray Pollock
Après avoir quitté l’armée et l’horreur des champs de bataille du Moyen-Orient, Thad Broom revient dans son village natal des Appalaches. N’ayant nulle part où aller, il s’installe dans sa... Après avoir quitté l’armée et l’horreur des champs de bataille du Moyen-Orient, Thad Broom revient dans son village natal des Appalaches. N’ayant nulle part où aller, il s’installe dans sa vieille caravane près de la maison de sa mère, April, qui lutte elle aussi contre d’anciens démons. Là, il renoue... Après avoir quitté l’armée et l’horreur des champs de bataille du Moyen-Orient, Thad Broom revient dans son village natal des Appalaches. N’ayant nulle part où aller, il s’installe dans sa vieille caravane près de la maison de sa mère, April, qui lutte elle aussi contre d’anciens démons. Là, il renoue avec son meilleur ami, Aiden McCall. Après la mort accidentelle de leur dealer, Thad et Aiden se retrouvent soudain avec une quantité de drogue et d’argent inespérée. Cadeau de Dieu ou du diable ?

« Le Poids du monde, terrifiante et implacable tragédie aux accents presque classiques, impose définitivement David Joy comme un écrivain majeur de sa génération. Il dépasse le cadre du roman noir pour signer un drame humain brutal, flirtant avec l'universel. Bouleversant. »
Philippe Blanchet, RollingStone

« L'épopée est splendide, le drame, terrible, et l'on sait désormais que Joy a tout d'une future légende américaine. » Julie Malaure, Le Point

Traduit de l’anglais (États-Unis)
par Fabrice Pointeau.
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EAN : 9782264066466
Code sériel : 5470
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264066466
Code sériel : 5470
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 312
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • asciena 26/11/2023
    Le poids du monde c’est un roman cru, noir, dans lequel les personnages n’ont quasiment aucune chance de sortir de la petite ville perdue dans laquelle ils sont. Un mauvais départ dans la vie, une des casseroles à trainer et hop terminer l’espoir d’avoir une vie tranquille et paisible. Si vous aimez les univers noirs, voir très noirs, ce roman est fait pour vous, l’auteur sait de quoi il parle et il ne nous épargne rien.
  • Delautrecotedelafrontiere 22/04/2023
    Amis de toujours, Aiden McCall et Thad Broom ont grandi dans la violence extrême de familles sans repères. Traumatisé par les combats auxquels il a participé en Afghanistan, Thad oscille entre l'hébétude mortifère de la drogue et une violence incontrôlable. Aiden, qui a trouvé auprès de la mère de Thad un peu de douceur et qui aspire à un ailleurs meilleur, ne peut se résoudre à l'abandonner. Et bien que Thad finisse par se suicider, bien que sa mère finisse par quitter Aiden, ce dernier jusqu'au bout restera pour sauver l'honneur de son ami. Le Poids du Monde est un roman dur et violent mais d'une grande intensité, mêlant l'amour fraternel au désespoir de la solitude face à l'horreur du monde, et qui se termine pourtant sur une étincelle d'espoir.
  • Anne_Litt_ 26/08/2022
    Thad et Aiden se sont choisis comme amis quand ils étaient encore enfants, comme on s’accroche à quelqu’un quand on n’a vraiment plus rien. Aiden est alors en fuite de l’orphelinat où il a été placé quand son père a tué sa mère avant de retourner l’arme contre lui. Thad quant à lui, a été rejeté par un beau père violent et une mère, April, peu aimante. Ces deux derniers laissent à disposition des deux enfants une vieille caravane comme seul refuge. Quelques années plus tard, Thad revient d’Afghanistan, blessé. Les deux jeunes hommes vivent alors de quelques vols, petits travaux, juste ce qu’il faut pour acheter à boire, et la drogue qui aide à supporter la douleur physique, l’ennui, l’absence de projet. Alors quand un dealer disparait sous leurs yeux leur laissant un paquet d’argent et de drogue, ils pensent avoir trouver la solution à tous leurs problèmes. Sauf qu’on n’est pas du tout dans un feel good book et que rien ne va aller comme prévu. Difficile de dire d’un livre si poisseux de noirceur qu’on l’a aimé. Et pourtant. C’est dur et violent, choquant souvent mais très bien écrit. Et pour avoir eu la chance d’entendre l’auteur lors d’une rencontre, ce récit est, je le sais, le reflet d’une certaine réalité dans ce coin des Appalaches ou ailleurs aux Etats Unis. Témoignage effrayant donc mais témoignage très réussi quand même. Traduction Fabrice PointeauThad et Aiden se sont choisis comme amis quand ils étaient encore enfants, comme on s’accroche à quelqu’un quand on n’a vraiment plus rien. Aiden est alors en fuite de l’orphelinat où il a été placé quand son père a tué sa mère avant de retourner l’arme contre lui. Thad quant à lui, a été rejeté par un beau père violent et une mère, April, peu aimante. Ces deux derniers laissent à disposition des deux enfants une vieille caravane comme seul refuge. Quelques années plus tard, Thad revient d’Afghanistan, blessé. Les deux jeunes hommes vivent alors de quelques vols, petits travaux, juste ce qu’il faut pour acheter à boire, et la drogue qui aide à supporter la douleur physique, l’ennui, l’absence de projet. Alors quand un dealer disparait sous leurs yeux leur laissant un paquet d’argent et de drogue, ils pensent avoir trouver la solution à tous leurs problèmes. Sauf qu’on n’est pas du tout dans un feel good book et que rien ne va aller comme prévu. Difficile de dire d’un livre si poisseux de noirceur qu’on l’a aimé. Et pourtant. C’est dur et violent, choquant souvent mais très bien écrit. Et pour avoir eu la chance d’entendre l’auteur lors d’une rencontre,...
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  • Djolyen 08/04/2022
    Les Appalaches, leurs forêts et ruisseaux, une ville minable où le pick-up est nécessaire pour passer des mobile-homes aux banlieues miteuses. S'y égayent un ramassis de cas sociaux qui convertissent en meth le cuivre volé dans les maisons aux chantiers stoppés par la crise des subprimes. Pas un pour rattraper l'autre. Deux jeunes gars aux destins liés depuis l'enfance tentent de garder la tête hors de l'eau, à défaut de rester sobre. Mais on sait depuis "Là où les lumières se perdent" qu'avec David Joy, c'est là vœux pieux. Outre l'intrigue bien menée, avec un ou deux rebondissements qui claquent, j'apprécie très fort le contexte social de ce roman style "rural noir" comme on dit maintenant (la misère congénitale, les white trash, le stress post-traumatique du marine, la gadoue permanente, les tatouages, les armes, la came...) mais je trouve le style parfois un peu "simple". Ce qui explique ce 3/5 étoiles. N'est pas McCarthy qui veut.
  • Ouistiti93 14/01/2022
    Noir c'est noir:Deux amis d'enfance, en marge de tout. L'Amérique profonde, la violence, la drogue. L'amitié, l'espoir, la chimère d'une vie meilleure. Et le destin implacable. Cela se lit avec l'espoir vain que tout se termine bien ...Je vous le dis :Noir c'est noir et....brillant. .
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