Lisez! icon: Search engine
Nouveauté
Le premier jour du printemps
Carine Chichereau (traduit par)
Date de parution : 02/03/2023
Éditeurs :
10/18
Nouveauté

Le premier jour du printemps

Carine Chichereau (traduit par)
Date de parution : 02/03/2023
Julia, mère célibataire, a un secret. Le premier jour du printemps, il y a plus de 20 ans, elle a tué quelqu’un. 
Peut-on pardonner l'impardonnable ?
Chrissie est la meilleure pour chaparder des bonbons, faire le poirier et gagner les parties de cache-cache. Mais, dans sa banlieue anglaise sordide, son quotidien est violent,...
Peut-on pardonner l'impardonnable ?
Chrissie est la meilleure pour chaparder des bonbons, faire le poirier et gagner les parties de cache-cache. Mais, dans sa banlieue anglaise sordide, son quotidien est violent, solitaire et misérable, entre un père absent et une mère démissionnaire. La seule chose qui donne à Chrissie l'impression d'être...
Peut-on pardonner l'impardonnable ?
Chrissie est la meilleure pour chaparder des bonbons, faire le poirier et gagner les parties de cache-cache. Mais, dans sa banlieue anglaise sordide, son quotidien est violent, solitaire et misérable, entre un père absent et une mère démissionnaire. La seule chose qui donne à Chrissie l'impression d'être vivante, c'est son secret. Le premier jour du printemps, elle a tué un petit garçon.
Quinze ans plus tard, Chrissie s'appelle Julia. Elle tente d'être une bonne mère pour Molly, sa fille de cinq ans. Va-t-elle pouvoir subvenir à ses besoins ? Réussir à lui donner ce qu'elle n'a jamais reçu ? Quand, un soir, elle commence à recevoir de mystérieux appels, elle craint que son passé ne refasse surface. Et que sa plus grande peur, celle de se voir retirer Molly, ne soit sur le point de se réaliser.

« Un premier roman coup de poing qui fait vaciller nos certitudes morales. » Psychologie magazine
« Un premier roman virtuose » Le Parisien
« La culpabilité et l’espoir d’une rédemption sont au centre du premier roman obsédant de Nancy Tucker. Le récit d’une enfance perdue où pointe l’espoir d’une vie meilleure. » Le Soir
« Genèse du crime, culpabilité et rédemption, voilà les sillons explorés par le magnifique roman de Nancy Tucker. » La Voix du Nord

Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Carine Chichereau
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782264081315
Code sériel : 05842
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264081315
Code sériel : 05842
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • cecile13 08/11/2022
    Difficile de faire une critique quand on ne sait pas si on a aimé ou pas le roman. La première phrase du livre est horrible : Aujourd'hui, j'ai tué un petit garçon. Et c'est une petite fille de 8 ans qui raconte ça. Cette petite fille, j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour elle. Elle est délaissée par ses géniteurs ( ils méritent même pas le nom de parents). Là, où elle aurait pu avoir un minimum d'affection auprès de ses amies, elle les frappe, se moque d'elles. Je n'ai pas compris cette attitude. J'ai nettement plus apprécié les chapitres où Chrissie est adulte que ceux qui parlent de son enfance malheureuse. Je me suis un peu plus attachée à elle quand elle essaie de s'occuper au mieux de sa fille et qui a peur que les services sociaux lui prennent sa petite Molly. Sa fille, qui est quelque part une 2ème chance dans sa vie, un nouveau départ. Nancy Tucker a écrit un premier roman éprouvant.
  • Les_lectures_de_kathy 16/10/2022
    "Aujourd'hui j'ai tué un petit garçon. J'ai serré les mains autour de sa gorge, je sentais le sang qui battait fort sous mes doigts.  Il a gigoté, m'a flanqué des coups de pied et je me suis pris son genou dans le ventre, comme un lasso de douleur. J'ai serré plus fort...." Voici comment débute ce roman dans lequel j'ai rencontré Chrissie avec cette confidence  glaçante. Comment une simple enfant peut-elle commettre de tels atrocités ? Chrissie est une petite fille solitaire qui m'a mis mal à l'aise à plusieurs reprises au cours du roman. J'ai eu l'impression qu'elle prenait parfois beaucoup de plaisir à faire du mal et ce n'est pas du tout un comportement "normal" pour une enfant de 8 ans. J'ai eu beaucoup de mal à la comprendre et encore plus à m'attacher à elle dans ce début de lecture. Nous la suivons en parallèle quinze ans plus tard, dans sa vie d'adulte. Elle tente d'être une bonne mère pour sa fille Molly, elle qui n'a jamais réellement reçu d'amour maternel et de cadre familial.  L'autrice à  réussi a me faire ressentir de l'empathie pour Chrissie sur la fin de ma lecture. Vous vous demandez comment est-ce possible ?  Et bien pour... "Aujourd'hui j'ai tué un petit garçon. J'ai serré les mains autour de sa gorge, je sentais le sang qui battait fort sous mes doigts.  Il a gigoté, m'a flanqué des coups de pied et je me suis pris son genou dans le ventre, comme un lasso de douleur. J'ai serré plus fort...." Voici comment débute ce roman dans lequel j'ai rencontré Chrissie avec cette confidence  glaçante. Comment une simple enfant peut-elle commettre de tels atrocités ? Chrissie est une petite fille solitaire qui m'a mis mal à l'aise à plusieurs reprises au cours du roman. J'ai eu l'impression qu'elle prenait parfois beaucoup de plaisir à faire du mal et ce n'est pas du tout un comportement "normal" pour une enfant de 8 ans. J'ai eu beaucoup de mal à la comprendre et encore plus à m'attacher à elle dans ce début de lecture. Nous la suivons en parallèle quinze ans plus tard, dans sa vie d'adulte. Elle tente d'être une bonne mère pour sa fille Molly, elle qui n'a jamais réellement reçu d'amour maternel et de cadre familial.  L'autrice à  réussi a me faire ressentir de l'empathie pour Chrissie sur la fin de ma lecture. Vous vous demandez comment est-ce possible ?  Et bien pour le comprendre il faudra le lire. J'ai refermé ce livre en me disant qu'un enfant ne reste finalement qu'un enfant. Et que bien souvent, nous (parents) sommes responsables de ce que nos enfants deviennent. Nancy Tucker (l'autrice) travaille au sein d'une unité de soins psychiatriques et maîtrise donc parfaitement son sujet.  Au coeur de ce premier roman, elle nous plonge dans la noirceur des pensées et des comportements humains, nous montrant à quel point le manque d'affection peut avoir des conséquences désastreuses.  Les thèmes de la rédemption et de la résilience sont aussi abordés avec beaucoup de justesse et d'humanité. 
    Lire la suite
    En lire moins
  • MilleetunepagesLM 28/09/2022
    Le commentaire de Lynda : #9829; Coup de coeur #9829; Je suis sortie de ce roman, complètement bouleversée, à un tel point, que j’ai dû attendre quelques jours pour écrire ce commentaire, afin de laisser retomber mes émotions. Première phrase du livre ‘’aujourd’hui, j’ai tué un enfant’’, ce qui rend le tout bouleversant, c’est que cette phrase, c’est Chrissie, une petite fille de 8 ans qui le dit. Et ce petit garçon de 2 ans, encore un bébé, sera la première victime de la petite fille. Chrissie est toute seule, 8 ans, un père absent, et une mère qui ne fait absolument rien pour elle, Chrissie traîne dans les rues, quêtant un repas à droite et à gauche chez des amies, elle a faim, elle est misérable. La seule chose qui lui donne de l’importance, c’est de tuer, et c’est ce qu’elle fera. Puis Chrissie grandit et devient Julia, après avoir purgé une peine, elle se retrouve en liberté, et à son tour elle va devenir maman, et elle se promet d’être une maman exemplaire pour la petite Molly. Et les appels ont commencé, de mystérieux appels, qui viennent déterrer son lourd secret, et tout ce qu’elle tentait d’oublier refait surface, déstabilisant son fragile équilibre. Julia vit... Le commentaire de Lynda : #9829; Coup de coeur #9829; Je suis sortie de ce roman, complètement bouleversée, à un tel point, que j’ai dû attendre quelques jours pour écrire ce commentaire, afin de laisser retomber mes émotions. Première phrase du livre ‘’aujourd’hui, j’ai tué un enfant’’, ce qui rend le tout bouleversant, c’est que cette phrase, c’est Chrissie, une petite fille de 8 ans qui le dit. Et ce petit garçon de 2 ans, encore un bébé, sera la première victime de la petite fille. Chrissie est toute seule, 8 ans, un père absent, et une mère qui ne fait absolument rien pour elle, Chrissie traîne dans les rues, quêtant un repas à droite et à gauche chez des amies, elle a faim, elle est misérable. La seule chose qui lui donne de l’importance, c’est de tuer, et c’est ce qu’elle fera. Puis Chrissie grandit et devient Julia, après avoir purgé une peine, elle se retrouve en liberté, et à son tour elle va devenir maman, et elle se promet d’être une maman exemplaire pour la petite Molly. Et les appels ont commencé, de mystérieux appels, qui viennent déterrer son lourd secret, et tout ce qu’elle tentait d’oublier refait surface, déstabilisant son fragile équilibre. Julia vit constamment dans la peur qu’on lui enlève sa petite Molly, et encore plus, après un petit accident, où Molly sera légèrement blessée. Elle s’enfuit donc. De retour dans son village natal, elle va essayer d’affronter ses démons, et surtout sa mère, et c'est à ce moment que les appels commencent! À partir de ce moment, les chapitres alternent entre Julia et Chrissie. Je n’en dirai pas plus sur cette histoire qui est loin d’être facile à lire, tout au long de l’histoire, j’étais déchirée entre la vilaine petite fille que l’on voit un peu comme un monstre, et la petite fille malheureuse qui voudrait tellement être aimée, elle ne demande que ça pourtant. Nancy Tucker nous fait vivre une explosion d’émotions. J’ai pleuré, j’ai souffert, j’ai eu peur, et j’ai aussi aimé cette enfant, qui devient une enfant du système, qui doit vivre avec le fait d’avoir tué. Et qui tient à la seule chose qui lui est précieuse, sa petite fille, qui elle, l’a aimé dès le départ sans qu’on lui demande. Chrissie, Julia et les autres noms n’existent plus, qu’un seul nom pour la représenter, c’est la maman de Molly. Un roman qui fait mal, au cœur et à l’âme, Chrissie l’enfant mal aimée qui s’est transformée en monstre durant quelques années. Une écriture assez visuelle, une histoire qui vient vous capturez pour vous libérer qu’à la toute fin du livre. Nancy Tucker vient jouer avec nos tripes, nos émotions, nos larmes. Énorme coup de cœur, que je vous recommande, mais attention, gens sensibles, cette lecture pourrait vous choquer !
    Lire la suite
    En lire moins
  • Aujardinsuspendu 13/09/2022
    « Aujourd’hui, j’ai tué un petit garçon. » Voilà un incipit que je ne suis pas prête d’oublier et qui marque l’entrée en matière de cet incroyable premier roman. Chrissie, petite fille de huit ans, vit dans une grande misère avec des parents soit absent soit défaillant. Elle est livrée à elle-même la plus grande majorité du temps et n’a pas de parent qui l’attend à la maison le soir ou qui pense à acheter des provisions. Non, Chrissie doit survivre seule. Tout le temps et tous les jours. Alors elle tente de trouver de quoi survivre chez ses amies : de quoi manger, un peu d’attention et parfois si c’est un bon jour : de vieux habits que ses amies ne portent plus. Cette enfance joue pour beaucoup dans le comportement de Chrissie. Elle n’est pas une enfant calme et gentille. Non, elle doit plutôt faire face à de violentes émotions : la jalousie, la solitude, la peur, l’envie… Ce qui la pousse parfois à avoir de terribles comportements avec les autres enfants du quartier. Jusqu’à commettre l’inimaginable. Comment une enfant peut-elle en venir à tuer un autre enfant ? Peut-on pardonner cet acte tout en ayant connaissance de la grande précarité... « Aujourd’hui, j’ai tué un petit garçon. » Voilà un incipit que je ne suis pas prête d’oublier et qui marque l’entrée en matière de cet incroyable premier roman. Chrissie, petite fille de huit ans, vit dans une grande misère avec des parents soit absent soit défaillant. Elle est livrée à elle-même la plus grande majorité du temps et n’a pas de parent qui l’attend à la maison le soir ou qui pense à acheter des provisions. Non, Chrissie doit survivre seule. Tout le temps et tous les jours. Alors elle tente de trouver de quoi survivre chez ses amies : de quoi manger, un peu d’attention et parfois si c’est un bon jour : de vieux habits que ses amies ne portent plus. Cette enfance joue pour beaucoup dans le comportement de Chrissie. Elle n’est pas une enfant calme et gentille. Non, elle doit plutôt faire face à de violentes émotions : la jalousie, la solitude, la peur, l’envie… Ce qui la pousse parfois à avoir de terribles comportements avec les autres enfants du quartier. Jusqu’à commettre l’inimaginable. Comment une enfant peut-elle en venir à tuer un autre enfant ? Peut-on pardonner cet acte tout en ayant connaissance de la grande précarité de cette petite fille ? Peut-elle continuer à vivre normalement une fois arrivée à l’âge adulte ? Et, comment survivre après avoir commis un tel acte ? C’est un coup de cœur total pour ce roman qui n’a, à mes yeux, aucun défaut et qui est d’une finesse psychologique rare. Marquant.
    Lire la suite
    En lire moins
  • Analire 03/09/2022
    Le premier jour du printemps est un roman à suspense qui se découpe en deux narrations, composées de deux époques distinctes. Nous avons d’un côté Chrissie, une petite fille de 8 ans, qui vit dans la précarité, avec une mère peu soucieuse de s’occuper d’elle et un père absent. Heureusement, Chrissie peut compter sur sa meilleure copine Linda, chez qui elle trouve régulièrement refuge pour manger à sa faim et jouer pour oublier ses conditions de vie. Instable psychologiquement, très peu aimée, Chrissie est odieuse avec les autres enfants et se comporte de manière irrespectueuse avec les adultes qu’elle croise. Sans se l’expliquer, elle commet alors un acte impardonnable et totalement irréfléchi : elle tue de ses mains un jeune enfant et finit en prison, âgée d’à peine huit ans. D’un autre côté, nous avons Julia, une mère célibataire attentionnée avec sa petite Molly, qui vit dans la crainte constante de se voir retirer la garde de sa fille. A juste titre, puisque Julia n’est autre que Chrissie, obligée de changer d’identité pour éviter les menaces, agressions et autres jugements de la population. Après une incarcération de plusieurs années en prison pour mineur, Julia est enfin libre de ses mouvements, mais... Le premier jour du printemps est un roman à suspense qui se découpe en deux narrations, composées de deux époques distinctes. Nous avons d’un côté Chrissie, une petite fille de 8 ans, qui vit dans la précarité, avec une mère peu soucieuse de s’occuper d’elle et un père absent. Heureusement, Chrissie peut compter sur sa meilleure copine Linda, chez qui elle trouve régulièrement refuge pour manger à sa faim et jouer pour oublier ses conditions de vie. Instable psychologiquement, très peu aimée, Chrissie est odieuse avec les autres enfants et se comporte de manière irrespectueuse avec les adultes qu’elle croise. Sans se l’expliquer, elle commet alors un acte impardonnable et totalement irréfléchi : elle tue de ses mains un jeune enfant et finit en prison, âgée d’à peine huit ans. D’un autre côté, nous avons Julia, une mère célibataire attentionnée avec sa petite Molly, qui vit dans la crainte constante de se voir retirer la garde de sa fille. A juste titre, puisque Julia n’est autre que Chrissie, obligée de changer d’identité pour éviter les menaces, agressions et autres jugements de la population. Après une incarcération de plusieurs années en prison pour mineur, Julia est enfin libre de ses mouvements, mais à jamais enchaînée aux souvenirs de ses crimes odieux. La construction du récit est originale et extrêmement bien amenée. Bien qu’on puisse être perdu au début, naviguant à vue sans vraiment comprendre le lien entre les deux personnages, les éléments se recoupent finalement pour n’en faire qu’un : Chrissie et Julia sont la même personne. Et pourtant, des doutes peuvent subsister, puisque le caractère de la petite Chrissie est loin d’être similaire à la jeune maman Julia. La maturité et les expériences de la vie ont diamétralement changés sa façon de se comporter et de réfléchir. Chrissie était une enfante turbulente, délaissée, affamée, puisque sa mère ne s’occupait pas d’elle, elle était méprisante, elle volait sans vergogne, faisait mille et une bêtises, traînait sans arrêt dans la rue, alors qu’elle n’avait que huit ans. Les autres parents avaient pitié d’elle, tout en se sentant parfois envahis par la présence trop régulière de cette petite fille, qu’on aurait dit abandonnée. Finalement, son comportement reflète l’environnement et la façon dont elle a été élevée : sans amour, sans soutien, sans éducation et socle familial solide. J’ai ressenti des sentiments ambivalents à son égard : beaucoup de peine et de pitié, mais aussi de la colère pour le crime qu’elle a commis et son attitude nonchalant face à ça. Régulièrement, elle se rendait chez la famille dévastée du petit décédé sans jamais ressentir de regret face à son geste. Heureusement, Julia est loin d’être Chrissie. C’est une mère qui essaie d’être exemplaire, qui travaille d’arrache-pied pour couvrir tous les besoins de sa fille et se montre la plus attentionnée possible. Elle est craintive, puisque les autorités l’ont laissé sous protection juridique, pour être sûr qu’elle est apte à s’occuper d’une enfant, alors qu’elle est une criminelle. Comme pour Chrissie, j’ai ressenti beaucoup de peine pour Julia, mais aussi de l’empathie face à cette mère imparfaite et maladroite, qui aime plus que tout sa fille mais à peur de ne pas être à la hauteur. Face à un crime tel que celui perpétué par Chrissie, peut-on pardonner ? se racheter ? oublier ? continuer à vivre normalement sans être constamment tiraillé par les erreurs du passé ? Autant de questions qui se bousculent quotidiennement dans l’esprit de Julia, hanté par son geste enfantin aux conséquences terribles. Un premier roman à suspense finement construit, à la fois émouvant et éprouvant. J'espère pouvoir retrouver prochainement Nancy Tucker à travers une autre histoire.
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la newsletter 10/18 pour encore plus d'inspirations !
Voyagez hors des sentiers battus, loin d'une littérature conventionnelle et attendue…