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Les exfiltrés de Berlin
Joël Falcoz (traduit par)
Date de parution : 05/05/2022
Éditeurs :
10/18

Les exfiltrés de Berlin

Joël Falcoz (traduit par)
Date de parution : 05/05/2022
Le commissaire Oppenheimer seul face à l’évasion nazie.
Berlin, 1947. Dans une capitale allemande divisée et affamée, le commissaire Oppenheimer est appelé sur le lieu d’un crime banal : un cambrioleur tué par le locataire de l’appartement dans... Berlin, 1947. Dans une capitale allemande divisée et affamée, le commissaire Oppenheimer est appelé sur le lieu d’un crime banal : un cambrioleur tué par le locataire de l’appartement dans lequel il est entré par effraction. Un cas d’autodéfense classique.
Oppenheimer en doute et découvre des zones troubles. Pendant ce temps,...
Berlin, 1947. Dans une capitale allemande divisée et affamée, le commissaire Oppenheimer est appelé sur le lieu d’un crime banal : un cambrioleur tué par le locataire de l’appartement dans lequel il est entré par effraction. Un cas d’autodéfense classique.
Oppenheimer en doute et découvre des zones troubles. Pendant ce temps, son collègue Billhardt disparaît en pleine enquête sur la mort d’un pickpocket retrouvé avec d’étranges documents sur lui. Oppenheimer comprend que les deux crimes sont liés et se retrouve bientôt confronté à un réseau secret d’exfiltration d’anciens nazis vers l’Argentine. Encerclé par les traîtres jusque dans les rangs de la police, il aura fort à faire pour ne pas sombrer.
Une nouvelle enquête admirable qui vient nous prouver une fois de plus le talent immense de Harald Gilbers que rien ni personne ne semble essouffler.
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EAN : 9782264080097
Code sériel : 05757
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 456
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264080097
Code sériel : 05757
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 456
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • kielosa 26/11/2023
    Cet épisode de notre valeureux commandant Richard Oppenheimer constitue le cinquième volume d’une série de provisoirement 6 livres. Espérons que Harald Gilbers est en train de préparer entretemps une septième suite, car son personnage, dans une Allemagne d’après-guerre, appartient à cette catégorie rare de livres qui réunit une enquête policière captivante avec une reconstitution historique remarquable d’une période trouble et complexe. Comparable à ce propos avec "La trilogie berlinoise" de Philip Kerr et "Les Démons de Berlin" de Fabiano Massimi. Voir ma critique du 23 février 2023. Dans cet épisode, qui se déroule du 6 novembre au 4 décembre 1947, notre commissaire doit résoudre 2 affaires criminelles insolites. Il y a d’abord, le cas du meurtre de l’intrus chez Frau Ursula Hinze et ensuite le macchabée qui a fait un plongeon de la Tour Radio, le bâtiment le plus haut de Berlin à l’époque. Avec son confrère, le commissaire Kurt Billhardt, et leurs assistants respectifs, tels le dynamique Gregor Wenzel et l’inspecteur Ziehm, 2 enquêtes parallèles sont lancées, qui démarrent difficilement à cause de la situation confuse résultant de la division de la ville de Berlin en quatre secteurs d’occupation alliés et plus précisément des ambitions démesurées de Staline dans le secteur russe de la capitale allemande. Les enquêtes se poursuivent péniblement et passent virtuellement à l’ombre d’un projet ambitieux, soutenu par le président Juan Perón d’Argentine, visant la fuite de criminels de guerre nazis à travers la Suisse et l’Italie vers l’Amérique latine. Il est vrai que Perón, qui n’était pas favorable à un système de punition des mandataires du Troisième Reich coupables de crimes de guerre, a contribué à organiser et financer des opérations à cette fin. Lire à ce sujet l’excellent ouvrage d’ Uki Goñi "La véritable opération Odessa : La fuite des nazis vers l’Argentine" de 2007. Odessa, est ici l’acronyme de "Organisation der ehemaligen SS-Angehörigen" ou l’organisation des anciens membres SS. Une organisation contestée qui avait le même but : aider ces braves gens à échapper à une punition par les Alliés. Le fait que certains membres de la police berlinoise ont un passé douteux et soutiennent les efforts d’évasion de leurs anciens collègues du Front de l’Est par exemple, n’est pas de nature à stimuler les investigations d’Oppenheimer, qui se sent à un moment donné même obligé de se cacher dans sa propre ville. La grande valeur du roman réside dans la reconstitution impressionnante des conditions de vie pénibles et hasardeuses dans une ville dévastée où tout manquait ou presque, avant le support américain du Plan Marshall de 1948. Rien que la description des pauvres mets que les gens s’inventaient pour simplement survivre est à ce point singulièrement révélatrice d’une misère plus que noire. Le titre original de ce livre n’est pas par hasard "Hungerwinter" ou l’hiver de la famine. À la famine et la misère s’ajoutait la peur des initiatives despotiques émanant du secteur russe sous l’égide de Staline et le risque d’une guerre froide Est-Ouest. Cet épisode de notre valeureux commandant Richard Oppenheimer constitue le cinquième volume d’une série de provisoirement 6 livres. Espérons que Harald Gilbers est en train de préparer entretemps une septième suite, car son personnage, dans une Allemagne d’après-guerre, appartient à cette catégorie rare de livres qui réunit une enquête policière captivante avec une reconstitution historique remarquable d’une période trouble et complexe. Comparable à ce propos avec "La trilogie berlinoise" de Philip Kerr et "Les Démons de Berlin" de Fabiano Massimi. Voir ma critique du 23 février 2023. Dans cet épisode, qui se déroule du 6 novembre au 4 décembre 1947, notre commissaire doit résoudre 2 affaires criminelles insolites. Il y a d’abord, le cas du meurtre de l’intrus chez Frau Ursula Hinze et ensuite le macchabée qui a fait un plongeon de la Tour Radio, le bâtiment le plus haut de Berlin à l’époque. Avec son confrère, le commissaire Kurt Billhardt, et leurs assistants respectifs, tels le dynamique Gregor Wenzel et l’inspecteur Ziehm, 2 enquêtes parallèles sont lancées, qui démarrent difficilement à cause de la situation confuse résultant de la division de la ville de Berlin en quatre secteurs d’occupation alliés et plus précisément des ambitions démesurées de Staline dans le secteur...
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  • LisaGiraudTaylor 03/09/2023
    Pendant l’hiver 1947, dans un Berlin toujours dévasté et frigorifié, Oppenheimer, de nouveau commissaire à la Kripo, se voit confier deux affaires : la mort d'un cambrioleur surpris par les locataires de l'appartement et le cadavre d'un malfrat retrouvé au pied de la tour de la radio. Billardt, son collègue (déjà présent dans les opus précédents), lui demande son aide... Ils découvrent dans un manteau des documents impliquant la Croix-Rouge et des permis de séjour argentins... Petit à petit, une ouverture se fait et évoque l’exfiltration des anciens nazis... la route des rats ou l’opération Odessa... En outre (et j’ai été très contente de le retrouver), Oppenheimer va croiser la route de l’ex-Hauptbannführer SS Vogler, dissimulé sous une autre identité qu'en 1944, et qui travaille, désormais, en liaison avec l'administration d'occupation américaine. Ce opus est plus ancré dans les premiers tomes de la saga avec un côté ruine, ressentiment, espoir et désespoir qui perce çà et là. Les personnes reprennent leurs vies, mal parfois, ou entrevoient, enfin, une éclaircie. L’enquête est retors à souhaits et connaît de bons rebondissements, menée par ce duo improbable mais qui avait été la clé de voûte de Germania... J’ai beaucoup apprécié ma lecture et j’ai été un peu déçue de ne pas continuer sur le nouveau tome sorti dernièrement, mais ayant commencé avec 10/18, j’attendrai la sortie en poche pour replonger dans l’univers d’Oppenheimer... et avec cette fin... qui sait... Pendant l’hiver 1947, dans un Berlin toujours dévasté et frigorifié, Oppenheimer, de nouveau commissaire à la Kripo, se voit confier deux affaires : la mort d'un cambrioleur surpris par les locataires de l'appartement et le cadavre d'un malfrat retrouvé au pied de la tour de la radio. Billardt, son collègue (déjà présent dans les opus précédents), lui demande son aide... Ils découvrent dans un manteau des documents impliquant la Croix-Rouge et des permis de séjour argentins... Petit à petit, une ouverture se fait et évoque l’exfiltration des anciens nazis... la route des rats ou l’opération Odessa... En outre (et j’ai été très contente de le retrouver), Oppenheimer va croiser la route de l’ex-Hauptbannführer SS Vogler, dissimulé sous une autre identité qu'en 1944, et qui travaille, désormais, en liaison avec l'administration d'occupation américaine. Ce opus est plus ancré dans les premiers tomes de la saga avec un côté ruine, ressentiment, espoir et désespoir qui perce çà et là. Les personnes reprennent leurs vies, mal parfois, ou entrevoient, enfin, une éclaircie. L’enquête est retors à souhaits et connaît de bons rebondissements, menée par ce duo improbable mais qui avait été la clé de voûte de Germania... J’ai beaucoup apprécié ma lecture et j’ai été un...
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  • argali 18/06/2023
    Deux morts suspectes en 48 heures mettent le commissaire Oppenheimer et ses adjoints sur les dents. Peu après, son collègue Billhardt disparait. Il enquêtait sur d’étranges documents retrouvés en possession d’un voleur. A Berlin, en 1947, l’atmosphère est lourde. Dans la ville comme au commissariat. Parmi les policiers, doivent cohabiter des ex-nazis repentis, des communistes ou encore, comme Oppenheimer, des juifs enrôlés par les SS puis réintégré à la Kripo. Il n’est pas facile de tourner la page d’autant qu’il semble que des taupes renseignent sur les actions policières, un réseau d’exfiltration des nazis vers l’Argentine de Péron. Au quotidien, rien n’est simple non plus. Les Berlinois sont soumis aux restrictions de toutes sortes : la ville est en ruine, par manque de logements salubres, les colocations sont la norme ; les tickets de rationnement ne donnent droit qu’à une nourriture de qualité médiocre et rare et les tensions politiques sont nombreuses entre Américains, Français, Anglais et Russes. Vous l’avez compris, ce roman se base sur des faits historiques avérés dans lequel personnages réels et de fiction se côtoient. Il décrit le contexte social, diplomatique et militaire de l’ancienne capitale du Reich. Les Allemands occupés, affamés et humiliés se débattent dans une situation géopolitique inextricable et le lecteur voit se dessiner la scission entre Est et Ouest qui amènera la construction du Mur. Je découvre Harald Gilbers avec « Les exfiltrés de Berlin ». C’est le 5e volet des aventures du commissaire Oppenheimer. Même si certains passages font appel aux enquêtes précédentes, ce tome peut se comprendre sans les avoir lues. J’ai apprécié que ce polar historique soit sérieusement documenté et ancré dans les débuts de la guerre froide, à l’heure où la chasse aux responsables du génocide perpétré par les nazis bat son plein. J’y ai retrouvé l’ambiance des romans de Philip Kerr mais Oppenheimer est bien plus lisse et sérieux que Bernie Gunther pour lequel j’ai une tendresse particulière. Un bon moment de lecture, un très bon roman, mais qui pour moi ne rivalise pas avec Kerr.Deux morts suspectes en 48 heures mettent le commissaire Oppenheimer et ses adjoints sur les dents. Peu après, son collègue Billhardt disparait. Il enquêtait sur d’étranges documents retrouvés en possession d’un voleur. A Berlin, en 1947, l’atmosphère est lourde. Dans la ville comme au commissariat. Parmi les policiers, doivent cohabiter des ex-nazis repentis, des communistes ou encore, comme Oppenheimer, des juifs enrôlés par les SS puis réintégré à la Kripo. Il n’est pas facile de tourner la page d’autant qu’il semble que des taupes renseignent sur les actions policières, un réseau d’exfiltration des nazis vers l’Argentine de Péron. Au quotidien, rien n’est simple non plus. Les Berlinois sont soumis aux restrictions de toutes sortes : la ville est en ruine, par manque de logements salubres, les colocations sont la norme ; les tickets de rationnement ne donnent droit qu’à une nourriture de qualité médiocre et rare et les tensions politiques sont nombreuses entre Américains, Français, Anglais et Russes. Vous l’avez compris, ce roman se base sur des faits historiques avérés dans lequel personnages réels et de fiction se côtoient. Il décrit le contexte social, diplomatique et militaire de l’ancienne capitale du Reich. Les Allemands occupés, affamés et humiliés se débattent dans...
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  • davgola 28/05/2023
    H Gilbert est dans la lignée de Philip Kerr ,her kommissar Oppenheimer nous entraîne dans un Berlin d’ après guerre. Cette nouvelle aventure replonge le lecteur dans une ville vaincue, occupée par des alliés dont les politiques divergent. DesBerlinois qui essayent de se reconstruirent sur les ruines de leur passé emprunt de nostalgie ou de culpabilité . Bref une immersion dans la grande Histoire où chacun doit retrouver sa place où les institutions doivent fonctionner avec la présence des instances alliées et les individus assumer les années passées chacun à leur manière Et pour certains avec des envies d ailleurs.
  • 1001histoires 10/05/2023
    Novembre 1947. Il y a des signes de renaissance à Berlin. Le renouveau de la Kripo se voit avec les uniformes flambant neufs des Schupos. Une nouvelle hiérarchie se met en place. Richard Oppenheimer est redevenu officiellement commissaire avec son vélo pour se déplacer entre les immeubles en ruines. Il y a une certaine routine qui revient dans les affaires à traiter même si elle est intimement liée au contexte d’un retour à la Paix difficile : valider un suicide, drame lors du retour d’un prisonnier qui découvre son épouse avec un nouveau mari. Il y a des jardins potagers partout et les vols s’y multiplient car les privations restent le quotidien des berlinois. Dans ce 5ème titre de la série Oppenheimer, Harald Gilbers reste très attaché à la restitution du quotidien du peuple allemand, des berlinois pas du tout maître de leur destin avec les occupants alliés et à l’Est de la ville l’effrayante armée soviétique. Le mari de Frau Hinze a surpris un cambrioleur, dans la lutte qui a suivi le malfrat a été tué et le mari blessé. Oppenheimer aurait pu ne pas s’intéresser à ce drame du quotidien. Mais il n’arrive pas à croire à l’évidence. Son collègue Billhardt est confronté à une affaire qui ressemble à celle d’Oppenheimer : un voleur défenestré. Lui aussi refuse la facilité et poursuit inlassablement ses investigations car il est interrogatif face à des permis de séjour délivrés par l’ambassade d’Argentine trouvés sur la victime. Deux dangers menacent le futur État allemand et Berlin est en première ligne : la lutte d’influence Est – Ouest avec l’attitude soviétique qui devient de plus-en-plus hégémonique et la présence soupçonnée de criminels nazis parmi la population civile et peut-être jusque dans l’administration naissante. Les registres d’état civil sont nombreux à avoir été détruits pendant la guerre et il est facile de changer d’identité. Même la Kripo n’a pas été très regardante dans son recrutement, Oppenheimer croise quotidiennement Petit Hans, un ancien truand d’Ed le Mastard devenu Schupo. Mais la hiérarchie de la Kripo n’a pas les mains libres, un conseiller antifasciste est imposé par l’administration soviétique, c’est le véritable patron au grand dam d’Oppenheimer qui comme Billhardt, ne peut compter que sur son obstination et son intuition dans ses enquêtes. Le scénario policier est vite teinté d’espionnage après l’entrée en scène de Vogler un ancien SS ( voir « Germania » premier titre de la série ) devenu agent de renseignement pour le compte d’une organisation mise sur pieds par Reinhard Gehlen ancien officier de la Wehrmacht et proche des services secrets américains qui ont identifié Staline comme le nouveau danger mondial. Oppenheimer et Vogler deviennent alliés pour une enquête qui n’est pas de tout repos et où l’action ne manque pas. Mais elle est surtout prétexte à l’auteur pour mettre en avant un contexte historique pas toujours très connu : filière d’exfiltration d’anciens nazis via la Scandinavie mise au point par le très conciliant Juan Perón et mise en place des premiers pions occidentaux dans un conflit qui ne porte pas encore le nom de Guerre froide. J’ai aimé retrouver des personnages déjà croisés dans cette série et des nouveaux l’enrichissent. Le récit de l’auteur est parsemé de multiples anecdotes très instructives mettant en évidence le quotidien de privations des berlinois et leur ingéniosité sans limite pour améliorer leur quotidien. Berlin est un personnage à part entière et l’auteur n'a pas son pareil pour dénicher des lieux qui se prêtent bien aux scènes d’action et au suspense. C’est le cas du Westhafen gigantesque port fluvial de Berlin où courses-poursuites et fusillades attendent le flic Oppenheimer et l’espion Vogler. Avec un indéniable talent de conteur, Harald Gilbers continue de me passionner avec une série de romans policiers historiques que je considère comme une excellente référence pour relater l’Histoire de cette période sombre d’après Seconde Guerre mondiale. Harald GILBERS - Les exfiltrés de Berlin . Titre original «Hungerwinter » , Allemagne 2020, traduit de l’Allemand par Joël Falcoz, Éditions Calmann-Lévy Noir, mai 2021. ISBN 9782702182321. Réédition au format poche, Éditions 10 / 18, ISBN 9782264080097.Novembre 1947. Il y a des signes de renaissance à Berlin. Le renouveau de la Kripo se voit avec les uniformes flambant neufs des Schupos. Une nouvelle hiérarchie se met en place. Richard Oppenheimer est redevenu officiellement commissaire avec son vélo pour se déplacer entre les immeubles en ruines. Il y a une certaine routine qui revient dans les affaires à traiter même si elle est intimement liée au contexte d’un retour à la Paix difficile : valider un suicide, drame lors du retour d’un prisonnier qui découvre son épouse avec un nouveau mari. Il y a des jardins potagers partout et les vols s’y multiplient car les privations restent le quotidien des berlinois. Dans ce 5ème titre de la série Oppenheimer, Harald Gilbers reste très attaché à la restitution du quotidien du peuple allemand, des berlinois pas du tout maître de leur destin avec les occupants alliés et à l’Est de la ville l’effrayante armée soviétique. Le mari de Frau Hinze a surpris un cambrioleur, dans la lutte qui a suivi le malfrat a été tué et le mari blessé. Oppenheimer aurait pu ne pas s’intéresser à ce drame du quotidien. Mais il n’arrive pas à croire à l’évidence. Son...
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