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Les fils d'Odin
Joël Falcoz (traduit par)
Collection : Polar
Date de parution : 16/03/2017
Éditeurs :
10/18

Les fils d'Odin

Joël Falcoz (traduit par)
Collection : Polar
Date de parution : 16/03/2017
Allemagne année zéro : dans un Berlin ravagé par la guerre, l'ancien commissaire juif Richard Oppenheimer se lance sur les traces d’un mystérieux culte aryen.
Berlin, début 1945. Au cœur d’une ville dévastée, Richard Oppenheimer, juif et ancien commissaire, vit dans la peur de faire partie des tout derniers déportés. Aidé par son amie Hilde,... Berlin, début 1945. Au cœur d’une ville dévastée, Richard Oppenheimer, juif et ancien commissaire, vit dans la peur de faire partie des tout derniers déportés. Aidé par son amie Hilde, fervente opposante au régime, il mène une existence dans l’ombre. La situation s’aggrave brusquement lorsque Hilde est accusée d’avoir tué... Berlin, début 1945. Au cœur d’une ville dévastée, Richard Oppenheimer, juif et ancien commissaire, vit dans la peur de faire partie des tout derniers déportés. Aidé par son amie Hilde, fervente opposante au régime, il mène une existence dans l’ombre. La situation s’aggrave brusquement lorsque Hilde est accusée d’avoir tué son ex-mari, membre des SS impliqué dans les atroces expériences humaines menées à Auschwitz. Avec une broche portant un sigle runique comme seul indice, Oppenheimer se lance dans une enquête risquée pour démasquer le vrai coupable. Ses recherches le mènent à un mystérieux culte germanique qui n’a qu’un seul objectif : assurer la suprématie de la race aryenne.
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EAN : 9782264070593
Code sériel : 5184
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 552
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264070593
Code sériel : 5184
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 552
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LisaGiraudTaylor 15/11/2022
    J’adore cette saga… après le tome 1 (Germania), je suis conquise après ce deuxième opus ! Dès les premières pages, on est plongés dans le « débandade, sauve qui peut ». L’histoire s’étale sur les premiers mois (1er trimestre et quelques semaines) de 1945, alors que le régime se casse la gueule mais où les irréductibles raclent les fins de tiroir ou menacent le peuple qui souffrent comme jamais. Dès le début, on est donc avec Erich Hauser, un médecin qui participe activement aux expériences mortelles dans les camps de concentration et d’extermination…. Hauser qui part, essaie de fuir du pays, et revient à Berlin voir sa femme… Hilde, la Hilde, l’amie rebelle (et réfractaire aux nazis) d’Oppenheimer… lequel est censé être mort et vit sous un nom d’emprunt qui est assez drôle mais lui vaut quelques sarcasmes… et rencontre sa femme loin des yeux… mais près du cœur. Quand Hilde est arrêtée par la Gestapo, mit en jugement dans ces derniers mois où on exécutait plus vite que l’avancée des russes, Oppenheimer et quelques fidèles de Hilde essaient d’enquêter et de la sortir de là, malgré les zones d’ombres. Tout hyper bien écrit, documenté, et prenant, Gilbers poursuit son avancée dans l’Allemagne avant la fin de la guerre, les dernières longues semaines de bombardements, de privations, etc. Pas à pas, l’enquête avance dans les méandres nauséabonds de fin de règne… j’ai encore adoré ma lecture et je vais poursuivre en 2023 les aventures d’Oppenheimer qui est un personnage intéressant à tout point de vue, et dont le contexte historique me sied au teint (et à l’esprit !). J’adore cette saga… après le tome 1 (Germania), je suis conquise après ce deuxième opus ! Dès les premières pages, on est plongés dans le « débandade, sauve qui peut ». L’histoire s’étale sur les premiers mois (1er trimestre et quelques semaines) de 1945, alors que le régime se casse la gueule mais où les irréductibles raclent les fins de tiroir ou menacent le peuple qui souffrent comme jamais. Dès le début, on est donc avec Erich Hauser, un médecin qui participe activement aux expériences mortelles dans les camps de concentration et d’extermination…. Hauser qui part, essaie de fuir du pays, et revient à Berlin voir sa femme… Hilde, la Hilde, l’amie rebelle (et réfractaire aux nazis) d’Oppenheimer… lequel est censé être mort et vit sous un nom d’emprunt qui est assez drôle mais lui vaut quelques sarcasmes… et rencontre sa femme loin des yeux… mais près du cœur. Quand Hilde est arrêtée par la Gestapo, mit en jugement dans ces derniers mois où on exécutait plus vite que l’avancée des russes, Oppenheimer et quelques fidèles de Hilde essaient d’enquêter et de la sortir de là, malgré les zones d’ombres. Tout hyper bien écrit, documenté, et prenant, Gilbers poursuit son avancée dans l’Allemagne avant...
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  • LuEtRelu 25/06/2022
    Début 1945, l'Allemagne nazie vit ses ultimes semaines de guerre, Un panorama d'apocalypse et d'épouvante s'installe à Berlin. Bombardements, paranoïa, peur des soviétiques. Harald Gilbers présente, avec talent et intelligence, les conditions de vie des Berlinois en insistant sur la propagande désespérée des nazis pour faire croire en une victoire encore possible. L'intrigue est bien construite mais, à mon avis, peu convaincante. Un trafic de morphine. Un trafiquant mort. Richard Oppenheimer (le héros de la série) enquête pour sauver son amie Hilde d'une accusation de meurtre. Et on apprend qu'à ses débuts, le régime nazi a basé en partie son idéologie raciale sur une idée ésotérique grotesque (et de là le titre du roman). Le tout relié avec des ficelles assez grosses. Un roman qui se lit bien, sans passion dévorante. Un enquête intéressante et des personnages crédibles. Un roman très bien documenté.
  • VirginieCM 12/03/2022
    Où l’on retrouve l’ex commissaire Richard Oppenheimer, obligé de se cacher sous un faux nom pour échapper aux camps d’extermination... Lorsque le mari d’Hilde, un haut dignitaire, ayant pratiqué des expériences médicales à Auschwitz, est retrouvé mort, les soupçons se portent vite sur celle-ci. Les tribunaux pratiquent une justice expéditive, pour l’exemple !!! Une course contre la montre s’engage alors pour Richard, afin de sauver son amie… Il a suffi d’une actualité un peu brutale pour que je sorte ce roman des confins de ma PAL, où il végétait depuis sa sortie (six ans…). J’avais aimé Germania, et j’ai aimé aussi ce deuxième tome des « aventures » du commissaire Oppenheimer. Même si je ne suis pas totalement convaincue par l’intrigue policière en elle-même, parce qu’elle n’est pas des plus haletantes, il faut bien l’avouer, le contexte est en revanche passionnant : l’atmosphère de « fin de règne » d’Adolf Hitler à Berlin, la pression croissante des alliés en approche, les petites lâchetés des partisans du régime pour sauver leur peau, l’ariosophie… J’ai donc également appris beaucoup de ce roman.
  • Roggy 22/08/2021
    L'écriture et le style d'Harald Gilbers ressemblent énormément à ceux de Philip Kerr. Cela m'avait déjà interpellé à la lecture de Germania et cela se confirme avec Les fils d'Odin. La narration calquée sur un gros travail de recherche et à un humour noir confèrent une ambiance très réaliste de Berlin à feu et à sang juste l'arrivée des troupes soviétiques en 1945. Entre deux bombardements et face au refus de capituler de l'Allemagne, le héros juif et ancien commandant se dépêtre avec une affaire qui pourrait expliquer les origines du parti nazi. Esotérisme, sciences occultes, Eugénisme, Lebesborn et magie runique, l'auteur allemand exploite la piste de la genèse du dieu mythique scandinave Odin, tout en racontant le quotidien du peuple allemand et leur lutte pour la survie dans un scénario d'hécatombe, en créant des scènes quasi cinématographiques sombres et intenses. Le but premier de la fiction est de révéler la vérité et celui de chaque auteur de soulever délicatement les voiles de la mémoire et des mythes. Harald Gilbers est digne de reprendre la relève de Philip Kerr.
  • Geolivres 09/05/2021
    Je ne sais que penser de l'ouvrage de Harald Gilbert, Les fils d'Odin...Il me semble que la précision des descriptions du Berlin des derniers mois de la guerre a pris le pas sur le roman et son intrigue. L'auteur dresse en effet une description très précise du Berlin subissant les raids aériens alliés et où le régime nazi, à l'agonie, accroît encore la terreur par l'intermédiaire d'une Gestapo chargée de traquer le moindre comportement suspecté de défaitisme. Le personnage d'Oppenheimer est intéressant mais pas aussi travaillé que celui de Philippe Kerr. Sa double identité paraît difficilement crédible car son passé d'ancien commissaire semble n'avoir jamais existé ; il ne croise jamais, ou presque, d'individus susceptibles de l'avoir connu avant 1936 et l'application des lois de Nuremberg. Les scènes d'alertes aux bombardements s'égrènent tout au long du récit et participent à rendre l'atmosphère lourde et réaliste. L'enquête, après un lent démarrage, s'accélère au 2/3 du livre mais peine à maintenir véritablement en haleine. A travers un dédale de souffrances, on regrette un peu l'absence de relations sentimentales ou amoureuses, le rôle de Lisa, la femme d'Oppenheimer, quasi-inexistant s'effaçant derrière celui de Hilde, femme de caractère et de convictions. On en arrive à se demander pourquoi l'auteur a créé le personnage de Lisa tellement Hilde est présente dans la vie d'Oppenheimer. On se laisse néanmoins doucement porter par l'intrigue jusqu'au dénouement final qui réserve quelques surprises et qui, une fois n'est pas coutume, nous pousse à tourner les pages à un rythme s'accélérant. Au final, bien que très bien documenté et écrit par un auteur allemand soucieux de reconstituer les souffrances des populations des grandes villes allemandes bombardées inutilement et passées un peu sous silence après la victoire des Alliés en mai 45, n'est pas, en matière de romans policiers, Philipp Kerr qui veut. Je ne sais que penser de l'ouvrage de Harald Gilbert, Les fils d'Odin...Il me semble que la précision des descriptions du Berlin des derniers mois de la guerre a pris le pas sur le roman et son intrigue. L'auteur dresse en effet une description très précise du Berlin subissant les raids aériens alliés et où le régime nazi, à l'agonie, accroît encore la terreur par l'intermédiaire d'une Gestapo chargée de traquer le moindre comportement suspecté de défaitisme. Le personnage d'Oppenheimer est intéressant mais pas aussi travaillé que celui de Philippe Kerr. Sa double identité paraît difficilement crédible car son passé d'ancien commissaire semble n'avoir jamais existé ; il ne croise jamais, ou presque, d'individus susceptibles de l'avoir connu avant 1936 et l'application des lois de Nuremberg. Les scènes d'alertes aux bombardements s'égrènent tout au long du récit et participent à rendre l'atmosphère lourde et réaliste. L'enquête, après un lent démarrage, s'accélère au 2/3 du livre mais peine à maintenir véritablement en haleine. A travers un dédale de souffrances, on regrette un peu l'absence de relations sentimentales ou amoureuses, le rôle de Lisa, la femme d'Oppenheimer, quasi-inexistant s'effaçant derrière celui de Hilde, femme de caractère et de convictions. On en arrive...
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