Lisez! icon: Search engine
L'Orpheline de Foundling
Fabienne Gondrand (traduit par)
Date de parution : 01/09/2022
Éditeurs :
Pocket

L'Orpheline de Foundling

Fabienne Gondrand (traduit par)
Date de parution : 01/09/2022
Rien n'est plus dangereux qu'une mère en colère.
Londres, 1747. Bess Bright, vendeuse sur le marché aux poissons de Billingsgate, voit se refermer derrière elle les grilles de l’orphelinat de l'hôpital de Foundling. La mort dans l’âme, elle... Londres, 1747. Bess Bright, vendeuse sur le marché aux poissons de Billingsgate, voit se refermer derrière elle les grilles de l’orphelinat de l'hôpital de Foundling. La mort dans l’âme, elle y laisse Clara, son bébé. Un jour, elle s’en fait la promesse, elle reviendra la chercher.
Six ans plus tard, ayant...
Londres, 1747. Bess Bright, vendeuse sur le marché aux poissons de Billingsgate, voit se refermer derrière elle les grilles de l’orphelinat de l'hôpital de Foundling. La mort dans l’âme, elle y laisse Clara, son bébé. Un jour, elle s’en fait la promesse, elle reviendra la chercher.
Six ans plus tard, ayant économisé chaque penny, elle retourne à l’orphelinat pour retrouver son enfant qu'elle n'a jamais oubliée. Mais, on l'informe que sa fille n’y est plus depuis longtemps, réclamée jadis par une femme se faisant passer pour Bess.
Pour découvrir qui lui a volé sa fille, il lui faudra passer la porte d’une grande maison bourgeoise de Bloomsbury, où une jeune veuve et sa fillette vivent en recluses au milieu de lourds secrets…

Ce livre fait partie de la sélection littérature étrangère du Grand Prix des Lecteurs Pocket 2023.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782266323529
Code sériel : 18574
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266323529
Code sériel : 18574
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • CoraPerle 24/03/2024
    [masquer]Une bonne lecture pour un on shoot. J'ai bien aimé le fait que l'histoire avance en changeant de point de vue et narration. Cela permet de créer un effet assez dynamique à l'histoire. La fin est un peu utopiste mais je pense que c'est ce qu'on attend aussi de ce genre de roman. [/masquer]
  • jelismesenvies 24/03/2024
    Plongeons dans le Londres de 1748, où l’histoire de deux mères nous attend. D’un côté, Bess qui est contrainte de confier son bébé à l’orphelinat, n’ayant pas les moyens de lui offrir une vie descente dans les quartiers modestes. D’un autre côté, Alexandra, veuve et mère d’une enfant dans les beaux quartiers de la ville, qui engage une nourrice pour aider sa fille à s’épanouir. Les deux vivant recluses depuis bien trop longtemps. Après le succès que « Les sorcières de Pendle » avait eu sur moi, je ne pouvais passer à côté de ce roman de l’autrice. Seulement voilà, la magie n’a pas opéré de la même façon. Si je prends un peu de recul sur le roman, c’est une histoire que je trouve très belle, une 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐫𝐨𝐦𝐚𝐧 𝐝𝐞 𝐒𝐭𝐚𝐜𝐞𝐲 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭 𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐞#768;𝐫𝐞𝐬, une histoire puissante. Seulement voilà, ma 𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐚 𝐞#769;𝐭𝐞#769; 𝐚𝐬𝐬𝐞𝐳 𝐢𝐧𝐞#769;𝐠𝐚𝐥𝐞, d’où mon engouement qui se calme. Je m’explique. L’histoire est proposée en quatre grandes parties alternant les points de vue de Bess et d’Alexandra. Le roman s’ouvre sur l’histoire de Bess que j’ai trouvé très intéressante et surtout assez addictive. Puis, nous dévions sur l’histoire d’Alexandra, dans une seconde partie, qui m’a semblé longue. Je m’intéressais moins à l’histoire tant celle de Bess était forte. J’avais besoin de plus et le récit ne me l’offrait pas. Heureusement, l’histoire se redynamise à partir de la troisième partie et j’ai beaucoup plus apprécié ma lecture (et même Alexandra !). Le 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐜𝐞 𝐫𝐨𝐦𝐚𝐧 𝐞𝐬𝐭 𝐛𝐞𝐚𝐮 bien qu’assez prévisible. C’est donc une lecture que j’ai appréciée et qui me donne envie de lire « La nurse du Yorkshire », mais elle ne me marquera pas dans le temps.Plongeons dans le Londres de 1748, où l’histoire de deux mères nous attend. D’un côté, Bess qui est contrainte de confier son bébé à l’orphelinat, n’ayant pas les moyens de lui offrir une vie descente dans les quartiers modestes. D’un autre côté, Alexandra, veuve et mère d’une enfant dans les beaux quartiers de la ville, qui engage une nourrice pour aider sa fille à s’épanouir. Les deux vivant recluses depuis bien trop longtemps. Après le succès que « Les sorcières de Pendle » avait eu sur moi, je ne pouvais passer à côté de ce roman de l’autrice. Seulement voilà, la magie n’a pas opéré de la même façon. Si je prends un peu de recul sur le roman, c’est une histoire que je trouve très belle, une 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝 𝐫𝐨𝐦𝐚𝐧 𝐝𝐞 𝐒𝐭𝐚𝐜𝐞𝐲 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐛𝐚𝐭 𝐝𝐞 𝐝𝐞𝐮𝐱 𝐦𝐞#768;𝐫𝐞𝐬, une histoire puissante. Seulement voilà, ma 𝐥𝐞𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐚 𝐞#769;𝐭𝐞#769; 𝐚𝐬𝐬𝐞𝐳 𝐢𝐧𝐞#769;𝐠𝐚𝐥𝐞, d’où mon engouement qui se calme. Je m’explique. L’histoire est proposée en quatre grandes parties alternant les points de vue de Bess et d’Alexandra. Le roman s’ouvre sur l’histoire de Bess que j’ai trouvé très intéressante et surtout assez addictive. Puis, nous dévions sur l’histoire d’Alexandra, dans une seconde partie, qui m’a semblé longue. Je m’intéressais moins...
    Lire la suite
    En lire moins
  • iris29 21/03/2024
    Un roman aussi beau à l'extérieur qu'il est agréable à l'intérieur... On est en 1748, à Londres et nous allons suivre les pas d'une jeune vendeuse de crevettes au marché. Au cour d'une très bréve relation, elle tombera enceinte et n'aura d'autres choix que d'abandonner sa fille aux bons soins de l'orphelinat de Foundling. Si elle souhaite la récupérer, il lui "suffira" de payer le montant des frais de pension de son arrivée jusqu'à son départ. Une somme colossale pour Beth, qui mettra six ans à avoir quelques sous de côté, mais quand elle arrive à la grande surprise de tout le monde, dés le lendemain de son arrivée le bébé a été retiré par... elle-même ! On est six ans après, et Bess va se faire engager comme nurse chez une riche veuve. Deux femmes, deux mères et un gouffre entre elles en terme de possessions matérielles, en terme de chaleur humaine aussi, seront nos narratrices... Ce qui frappe dés le départ avec ce roman, c'est la grande qualité des descriptions, on s'y croirait dans ce Londres du XVIII siècle ! Ses rues malodorantes, ses dangers, sa misère, la difficulté à gagner quelques piécettes, cette maison si bien chauffée, les domestiques, l'homme dont le métier est de vous éclairer la nuit avec une torche, lorsque vous rentrez chez vous... Et la deuxième, c'est l'immense différence entre le monde des nantis et ceux qui n'ont rien... La précarité dans laquelle se trouve Bess, le fait d'accoucher le matin et de devoir dans l'après-midi, marcher, se rendre à l'orphelinat. Les Noirs qui ne sont pas esclaves et qui tremblent à l'idée que leurs enfants seuls dans la rue, soient carrément enlevés , comme on cueuille une mauvaise herbe, pour être placés comme domestiques gratuits... Ce monde était cruel pour les plus faibles, il faut être immergés dans un roman comme celui-ci pour en saisir tous les dangers. Mais c'est aussi , un roman très agréable à lire, car l'histoire est belle. Je ne faisais pas partie des lectrices qui avaient aimé Les Sorcières de Pendle, tout en reconnaissant à son autrice de grandes qualités pour nous immerger dans une époque, j'ai beaucoup aimé L'orpheline de Foundling, ce que ça raconte . Saluons également le travail de Lucy Rose Cartwright, la beauté de ces illustrations qui reprennent tous les détails de cette jolie histoire .Un roman aussi beau à l'extérieur qu'il est agréable à l'intérieur... On est en 1748, à Londres et nous allons suivre les pas d'une jeune vendeuse de crevettes au marché. Au cour d'une très bréve relation, elle tombera enceinte et n'aura d'autres choix que d'abandonner sa fille aux bons soins de l'orphelinat de Foundling. Si elle souhaite la récupérer, il lui "suffira" de payer le montant des frais de pension de son arrivée jusqu'à son départ. Une somme colossale pour Beth, qui mettra six ans à avoir quelques sous de côté, mais quand elle arrive à la grande surprise de tout le monde, dés le lendemain de son arrivée le bébé a été retiré par... elle-même ! On est six ans après, et Bess va se faire engager comme nurse chez une riche veuve. Deux femmes, deux mères et un gouffre entre elles en terme de possessions matérielles, en terme de chaleur humaine aussi, seront nos narratrices... Ce qui frappe dés le départ avec ce roman, c'est la grande qualité des descriptions, on s'y croirait dans ce Londres du XVIII siècle ! Ses rues malodorantes, ses dangers, sa misère, la difficulté à gagner quelques piécettes, cette maison si bien chauffée, les domestiques, l'homme dont...
    Lire la suite
    En lire moins
  • sosolit 15/03/2024
    Mon deuxième roman de Stacey Halls. j'ai préféré la Nurse du Yorkshire. Dans ce roman, l'histoire d'une mère qui met tout en oeuvre pour retrouver sa fille est très émouvante. Bess est un personnage combatif que la vie n'a pas épargné, issue des bas quartiers, c'est une belle personne qu'on a plaisir à suivre. Mais tout d'un coup, nous changeons de personnage et suivons "l'autre femme", la bourgeoise, qui est d'une telle froideur qu'on a envie de fuir. Le contraste est trop poussé entre les deux femmes. J'ai été déboussolé par cette alternance de personnages aux caractères diamétralement opposés. Les descriptions de Londres nous plongent facilement dans l'ambiance du 18 ème siècle. L'écriture est toujours aussi fine et poétique, dommage pour ce parti pris d'alternance des personnages.
  • Kikal 15/02/2024
    Je me suis lancée dans ce roman car j'avais apprécié les sorcières de Pendle et je dois dire que finalement j’ai préféré ce roman il m’a beaucoup plus touchée. Besson est une jeune fille mère qui amène son enfant à l’hôpital de Foundling. Ils élèvent l’enfant Le temps que la mère vienne le réclamer mais quand Bess six ans plus tard revient à l’orphelinat on lui apprend qu'elle est déjà venue la chercher le lendemain de son adoption. Bess va alors tout faire pour retrouver sa fille. Les personnages principaux sont attachants même Alexandra et on prend plaisir à suivre les aventures de ces femmes. On se demande comment cela va finir, on a peur pour elles. C'est une belle histoire, bien écrite, touchante.
Inscrivez-vous à la Newsletter Pocket pour trouver le livre dont vous rêvez !
Chaque semaine, riez, pleurez et évadez-vous au rythme de vos envies et des pages que nous vous conseillons.

Lisez maintenant, tout de suite !