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New York sera toujours là en janvier
Jacques Martinache (traduit par)
Date de parution : 14/01/2021
Éditeurs :
10/18

New York sera toujours là en janvier

Jacques Martinache (traduit par)
Date de parution : 14/01/2021
L'un des premiers romans de Richard Price, co-scénariste de The Wire
« [Tout] le talent de portraitiste et l’œil acéré de celui qui sut décrypter comme peu d’autres les règles de la jungle new yorkaise. »
Le Nouveau Magazine Littéraire


En 1971, Peter...
« [Tout] le talent de portraitiste et l’œil acéré de celui qui sut décrypter comme peu d’autres les règles de la jungle new yorkaise. »
Le Nouveau Magazine Littéraire


En 1971, Peter Keller apprend qu’il n’est pas admis à l’université de droit de Columbia. Issu d’une modeste famille juive de l’État de...
« [Tout] le talent de portraitiste et l’œil acéré de celui qui sut décrypter comme peu d’autres les règles de la jungle new yorkaise. »
Le Nouveau Magazine Littéraire


En 1971, Peter Keller apprend qu’il n’est pas admis à l’université de droit de Columbia. Issu d’une modeste famille juive de l’État de New York, Peter et son récent diplôme faisaient toute la fierté de son père. Peter doit alors naviguer de petit boulot en petit boulot, non sans humour et autodérision, jusqu’à se lancer dans une série de canulars téléphoniques. Et ni son poste d’assistant à l’université, ni sa relation avec l’épouse d’un professeur ne l’aideront à y voir plus clair. Peter est-il bien sûr de vouloir devenir avocat, ou devrait-il tenter sa chance dans les bars de New York et se lancer dans une carrière de stand-up ?

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jacques Martinache
 
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EAN : 9782264078353
Code sériel : 5638
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264078353
Code sériel : 5638
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 672
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • seb_ply 03/01/2022
    J’ai mis un petit temps à entrer dans ce roman de Richard Price. Je m’attendais à un roman noir et j’ai finalement découvert au fil des pages un roman d’initiation où l’on suit les débuts d’un jeune étudiant dans la vie active. Ou plutôt le début des emmerdes. Ce jeune c’est Peter Keller et il vit dans un quartier de New-York avant de partir de chez ses parents pour tenter sa chance. Les petits boulots que va enchaîner Peter semblent d’ailleurs en grande partie inspirées de la vie de l’auteur après quelques recherches. Une jeunesse qui ne fut donc pas de tout repos, Peter étant un chouïa torturé par certaines obsessions. Le roman est plein d’humour et les dialogues sont très bien écrits. C’est là la grande réussite du roman. Au-delà de l’aspect roman d’initiation qui m’a un peu surpris au début car je ne me tourne pas naturellement vers ce genre de lectures, je dois reconnaître que Richard Price sait camper un récit comme personne. La lecture est fluide et le lecteur ressent rapidement l’ambiance selon ce que vit le narrateur. Ça m’a tout de même donné envie de livre d’autres livres de cet auteur.
  • silencieuse1 15/08/2021
    Un bel humour mais également un rythme d'écriture qui me convient parfaitement bien. J'ai aimé le personnage qui cherche sa voie et se perd mille fois avant de trouver une certaine forme de sérénité. Pas facile d'avancer et de réussir dans ce monde cruel des Etats Unis d'Amérique ! Faire face à l'imprévu, à la violence urbaine, au racisme ou comment se battre pour ne pas se noyer ... Un roman de jeunesse très agréable à lire.
  • Flaubauski 13/04/2021
    Peter Keller, jeune homme issu d’un milieu modeste, est recalé pour son admission à la fac de droit de Columbia. Sur liste d’attente, il rentre chez son père et sa belle-mère, vivote de petits boulots en petits boulots, cherche un sens à sa vie, sans vraiment y parvenir, jusqu’à décider de retourner sur le campus qui l’a vu obtenir son diplôme de lettres en 1971. Décision qui le mènera à des changements revigorants, mais suffiront-ils à donner le sens qu’il cherche à son existence ? Rien n’est moins sûr… Après une mise en route laborieuse pour prendre le train de la vie, somme toute assez morne, de Peter, j’ai fini par me laisser entraîner à sa suite, entrant finalement pleinement dans le récit à son retour au campus. Avec ce retour au campus, le roman, qui restait à mon sens trop centré sur son protagoniste, lui-même trop autocentré, en cela arrogant et pathétique – mais, après tout, rien de tel pour bien camper le personnage et comprendre son comportement ensuite, même si cela peut être laborieux -, se tourne vers une plus complète galerie de personnages, acteurs principaux, tels Jack, Kim, ou encore Tony, d’une remarquable précision, physique comme psychologique, comme figurants disséminés au fil des lieux dans lesquels se rend Peter. Dans tous les cas, cette galerie nous dévoile progressivement un véritable art du portrait, parce que dynamique, parce que vivant – ce que viennent aussi confirmer les dialogues, criants de réalisme -, parce que ponctuant le récit avec un naturel exceptionnel, donnant à certaines scènes un aspect pictural assez remarquable. New York sera toujours là en janvier est en somme un roman tableau, un roman d’ambiance, que vient compléter un rythme narratif peu soutenu, où l’on parle beaucoup, où, lorsque l’on s’appelle Peter Keller, l’on pense beaucoup, pour rien ou peu, où l’on est aussi souvent victime de crises de paranoïa aiguës ridicules qui ne font qu’insister sur le manque de confiance du personnage, sur son incapacité, également, à maîtriser les moindres codes, sociaux, professionnels, ou encore amoureux. C’est un roman qui nous dépeint ainsi, à travers le monde qui l’entoure, un anti-héros, attachant à sa façon malgré son égocentrisme crasse, son incapacité à se remettre en question, et son humour souvent douteux, qui ne trouve sa place nulle part, ou presque, et qui cherche désespérément quoi faire de lui après son échec premier qui l’a empêché d’accéder aux études de droit rêvées. Je remercie les éditions 10/18 et NetGalley de m’avoir permis de découvrir et ce roman, dans sa publication en poche, que j’ai fini par apprécier, et Richard Price, dont j’essaierai désormais de lire d’autres romans. Peter Keller, jeune homme issu d’un milieu modeste, est recalé pour son admission à la fac de droit de Columbia. Sur liste d’attente, il rentre chez son père et sa belle-mère, vivote de petits boulots en petits boulots, cherche un sens à sa vie, sans vraiment y parvenir, jusqu’à décider de retourner sur le campus qui l’a vu obtenir son diplôme de lettres en 1971. Décision qui le mènera à des changements revigorants, mais suffiront-ils à donner le sens qu’il cherche à son existence ? Rien n’est moins sûr… Après une mise en route laborieuse pour prendre le train de la vie, somme toute assez morne, de Peter, j’ai fini par me laisser entraîner à sa suite, entrant finalement pleinement dans le récit à son retour au campus. Avec ce retour au campus, le roman, qui restait à mon sens trop centré sur son protagoniste, lui-même trop autocentré, en cela arrogant et pathétique – mais, après tout, rien de tel pour bien camper le personnage et comprendre son comportement ensuite, même si cela peut être laborieux -, se tourne vers une plus complète galerie de personnages, acteurs principaux, tels Jack, Kim, ou encore Tony, d’une remarquable précision, physique comme psychologique, comme...
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  • leratquilit 20/02/2021
    Tout premier roman de l'auteur pour moi, je ne savais pas à quoi m'attendre. Finalement, j'ai retrouvé une plume agréable et une histoire intéressante, malgré quelques coups de mou et quelques moments creux. J'adore suivre ce type d'histoire et découvrir des personnages comme ici, donc je garde un bon souvenir, mais je pense que quelques pages en moins n'auraient pas gêné à la compréhension ou à l'histoire globale. Lecteurs avertis ! :)
  • AnneNY 01/02/2021
    Je suis une fan de The Wire mais il est vrai que je n’avais jamais pris le temps de me plonger dans un roman de Richard Price. Alors merci à Babelio de m’en avoir donné l’occasion. Une belle découverte. Je me suis attachée à ce personnage. C’est drôle, décalé et avec NY en toile de fond comment ne pas résister. Il y une certaine mélancolie dans ce roman qui m’a touché. Un beau roman d’apprentissage.
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