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Nouveauté
Non officiel
Michèle Lenormand (traduit par)
Date de parution : 01/02/2024
Éditeurs :
10/18
Nouveauté

Non officiel

Michèle Lenormand (traduit par)
Date de parution : 01/02/2024
Un grand roman d’espionnage dans la lignée du Bureau des légendes.
1979. Berlin-Ouest. Helen Abell Shoat est engagée par la CIA pour s’occuper des résidences sécurisées destinées aux agents en mission. Une nuit, alors qu’elle se trouve dans l’une de ces... 1979. Berlin-Ouest. Helen Abell Shoat est engagée par la CIA pour s’occuper des résidences sécurisées destinées aux agents en mission. Une nuit, alors qu’elle se trouve dans l’une de ces « planques », elle est témoin d’une scène troublante, impliquant un agent de haut rang.
 
2014. Paisibles retraités, Helen et son mari sont...
1979. Berlin-Ouest. Helen Abell Shoat est engagée par la CIA pour s’occuper des résidences sécurisées destinées aux agents en mission. Une nuit, alors qu’elle se trouve dans l’une de ces « planques », elle est témoin d’une scène troublante, impliquant un agent de haut rang.
 
2014. Paisibles retraités, Helen et son mari sont assassinés dans leur ferme du Maryland. Leur fils, mentalement déficient, est suspecté du meurtre. Anna, leur fille, convaincue de son innocence, engage alors un détective pour faire toute la lumière sur cette affaire. Avec lui, elle va découvrir les activités passées de sa mère. Et apprendre à ses dépens qu’il y a de dangereux fantômes qu’il n’est jamais bon de réveiller.
 
Dan Fesperman fait une nouvelle fois preuve de son talent prodigieux d’écrivain en s’inspirant ici de faits réels, découverts dans les archives de la CIA. Évoquant la vie des femmes et leur rôle très particulier au sein du service de renseignements le plus puissant de la planète, il lève le voile sur une incroyable histoire qu’il restitue avec une tension constante et une puissance romanesque rare.
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EAN : 9782264081902
Code sériel : 5908
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 528
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264081902
Code sériel : 5908
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 528
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AnneNY 05/04/2024
    1979, Berlin, Paris, jeu de cache-cache. 2014 Côte Est des Etats Unis, meurtres inexpliqués. Roman d’espionnage, roman policier on jongle un peu entre les 2. Dans l’ensemble j’ai passé un bon moment. Une lecture agréable, des personnages attachants, une histoire prenante. Juste peut être un petit bémol : quelques clichés, des petites caricatures mais là je pinaille un peu. Ça m’a amusé plus qu’embêté. La résolution de l’histoire est un peu rapide mais nous avons bien été pris dans l’histoire tout au long du roman donc ce n’est pas trop gênant. Nous avons encore quelques questions en suspens mais on reste bien dans le thème de l’espionnage alors on fait avec. Une lecture qui m’a bien plu. J’ai dans ma PAL L’écrivain Public qui m’attend depuis quelques temps, je pense que je vais vite m’y plonger.
  • Lelivreenbalade 04/04/2024
    Suspense quand tu nous tiens. Un bon roman qui nous emmène à l'ère pas si lointaine où deux superpuissances se faisaient une guerre froide, en-dehors de la scène. Une plongée immersive dans l'espionnage, à une époque où le rôle des femmes est encore largement cantonné à celui de figurante. Et comme toujours lorsqu'il s'agit d'espionnage, ce n'est que bien des décennies plus tard que la vérité éclate, quand enfin l'information est déclassifiée. A lire pour le côté suspense ou le côté historique des choses.
  • mfrance 30/03/2024
    "pour nager dans la mare, il faut quitter la baie. On peut faire un tour dans le lac, mais ne jamais s'immerger. Et il faut toujours revenir à la mare". Votre curiosité est attisée ? eh bien n'hésitez pas à continuer. Voilà les termes d'une conversation secrète, entendue par la jeune Helen Abell. En tant qu'employée subalterne de la Cia à Berlin en 1979 durant la guerre froide, et uniquement chargée de l'entretien des planques, elle n'aurait jamais dû surprendre cet échange ! pas plus que ce qui va se produire ensuite. Maryland 2014 - La même Helen Abell, trente-cinq plus tard, est sauvagement assassinée avec son mari, apparemment par leur fils un jeune homme demeuré. Mais sa fille Anna a des doutes et va tenter d'éclaircir le mystère de sa mort. Un lien existe-t-il entre le passé de sa mère et ce meurtre horrible ? C'est ce que vous allez découvrir ! Ce n'est pas vraiment un roman d'espionnage, pas davantage un polar, mais plutôt la quête obstinée d'une jeune femme décidée à faire cesser les agissements d'un violeur récidiviste. Et qui pour parvenir à ses fins n'hésitera pas à se dépasser, voire se surpasser ! Oscillant entre Berlin et Paris en 1979 et l'époque actuelle pour suivre l'enquête menée par Anna, le lecteur dévore avec intérêt les péripéties haletantes et sans temps mort proposées par Dan Fesperman, reporter de guerre de son état, qui use donc d'un style incisif, nerveux et sans fioritures pour dénoncer les méthodes peu orthodoxes de la CIA, le rôle peu gratifiant attribué aux femmes dans ce milieu profondément machiste et va fouiller dans les arcanes de certaines officines censées ne pas exister. Mené à un rythme soutenu, voilà une lecture qui va surprendre jusqu'au bout et ravir le lecteur malgré quelques rebondissements apparaissant improbables, pour peu que l'on y réfléchisse. Mais on n'est pas là pour analyser de trop près toutes ces péripéties. L'essentiel étant de passer un bon moment de lecture, ce qui est le cas et j'en remercie Babelio, ainsi que 10-18 pour m'avoir attribué cet ouvrage lors la dernière Masse critique. "pour nager dans la mare, il faut quitter la baie. On peut faire un tour dans le lac, mais ne jamais s'immerger. Et il faut toujours revenir à la mare". Votre curiosité est attisée ? eh bien n'hésitez pas à continuer. Voilà les termes d'une conversation secrète, entendue par la jeune Helen Abell. En tant qu'employée subalterne de la Cia à Berlin en 1979 durant la guerre froide, et uniquement chargée de l'entretien des planques, elle n'aurait jamais dû surprendre cet échange ! pas plus que ce qui va se produire ensuite. Maryland 2014 - La même Helen Abell, trente-cinq plus tard, est sauvagement assassinée avec son mari, apparemment par leur fils un jeune homme demeuré. Mais sa fille Anna a des doutes et va tenter d'éclaircir le mystère de sa mort. Un lien existe-t-il entre le passé de sa mère et ce meurtre horrible ? C'est ce que vous allez découvrir ! Ce n'est pas vraiment un roman d'espionnage, pas davantage un polar, mais plutôt la quête obstinée d'une jeune femme décidée à faire cesser les agissements d'un violeur récidiviste. Et qui pour parvenir à ses fins n'hésitera pas à se dépasser, voire se surpasser ! Oscillant entre Berlin et Paris en...
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  • Bazart 24/03/2024
    Alors qu'il a rédigé une dizaine de romans policiers, le journaliste américain Dan Fesperman était pratiquement inconnu chez nous avec seulement deux livres publiés. Il faudra attendre plus de dix ans et la parution de L'Écrivain public pour le voir enfin gagner les louanges de la presse française. Il revient avec "Non officiel" avec un roman d’espionnage, qui surfe sur deux temporalités différentes 1979 et 2014. Le romancier nous plonge avec suffisamment de doigté et de réalisme dans cette période méconnue des années 70. Une intrigue foisonnante qui permet à Dan Fesperman d'explorer les arcanes de la CIA , sur un angle peu connu du grand public. Il lève ici le voile sur une histoire assez incroyable qu’il restitue avec une tension constante et d'une grande efficacité romanesque. Un roman haletant et instructif !
  • Ogrimoire 02/01/2024
    Disons-le, voilà une excellente lecture, qui emploie certes des codes connus et éprouvés – la CIA à Berlin, le monde mystérieux et parfois opaque des agents secrets, … -, mais en nous permettant de découvrir un aspect nettement moins classiques : celui des planques, de toute cette organisation du quotidien qui permet aux agents de s’échapper, de se reposer, de se soigner… Mais, précisément, que s’y passe-t-il donc, dans ces planques ? Dan Fesperman parvient en effet, comme cela nous avait été annoncé, à conserver une tension continue à son récit. Pas de moments de creux, pas d’occasion de lâcher le fil. Comme Helen, on a régulièrement la tentation de regarder par dessus son épaule, pour vérifier que l’on n’est pas suivi, surveillé, guetté, épié… On se surprend à être plus attentif aux reflets dans les vitrines, à regarder avec plus d’attention que d’ordinaire dans son rétroviseur. Bref, on est dedans ! Et c’est peut-être encore plus fort que l’auteur nous donne très rapidement à comprendre qui sont réellement les protagonistes de l’affaire. Il ne cherche pas à la jouer à l’épate, mais s’appuie plutôt sur une narration solide, argumentée – une note / postface nous précise d’ailleurs tout ce qui, dans cette histoire, provient directement des archives de la CIA, parfois même repris textuellement, et j’ai déjà eu l’occasion de dire pour d’autres livres combien j’apprécie qu’un auteur se livre à ce jeu de la vérité. Bref, cela fonctionne bien, on s’attache aisément aux personnages et à leurs insuffisances. Les ambiances m’ont semblé être bien rendues, en tout cas je n’ai pas eu de mal à m’imaginer dans les différents lieux et aux différentes époques. Si je devais avoir un petit regret, c’est qu’il aurait pu y avoir un personnage un petit peu plus creusé, celui d’Anna. Ses parents viennent d’être assassinés sauvagement, son frère est accusé du meurtre, elle doit aussi faire face à la culpabilité de s’être éloignée pour s’occuper d’elle, laissant la famille « se débrouiller ». Quand elle revient, tout le monde ne regarde évidemment qu’elle. On aurait pu camper là un personnage féminin hors du commun. Alors, certes, le livre est déjà plutôt épais – 500 pages, à peu de choses près -, mais cela aurait été mérité. Là, elle semble un peu survoler les choses. Et à un moment, quand elle évoque dans un dialogue le fait qu’elle a été portée par l’action, qu’elle s’est immergée dans la recherche d’indices pour, justement, mettre de côté le côté lourd de l’affaire, elle semble presque balayer cela du revers de la main. Visiblement, ce n’était pas ce livre-là que l’auteur souhaitait écrire, et il a donc raison ! Alors, ça vous tente de venir prendre un cognac dans une planque de la CIA, en 1979 ? Réfléchissez avant de répondre, parce que vous ne savez ce que vous risquez de découvrir, d’entendre ou de voir… Il ne faudra pas venir vous plaindre après !Disons-le, voilà une excellente lecture, qui emploie certes des codes connus et éprouvés – la CIA à Berlin, le monde mystérieux et parfois opaque des agents secrets, … -, mais en nous permettant de découvrir un aspect nettement moins classiques : celui des planques, de toute cette organisation du quotidien qui permet aux agents de s’échapper, de se reposer, de se soigner… Mais, précisément, que s’y passe-t-il donc, dans ces planques ? Dan Fesperman parvient en effet, comme cela nous avait été annoncé, à conserver une tension continue à son récit. Pas de moments de creux, pas d’occasion de lâcher le fil. Comme Helen, on a régulièrement la tentation de regarder par dessus son épaule, pour vérifier que l’on n’est pas suivi, surveillé, guetté, épié… On se surprend à être plus attentif aux reflets dans les vitrines, à regarder avec plus d’attention que d’ordinaire dans son rétroviseur. Bref, on est dedans ! Et c’est peut-être encore plus fort que l’auteur nous donne très rapidement à comprendre qui sont réellement les protagonistes de l’affaire. Il ne cherche pas à la jouer à l’épate, mais s’appuie plutôt sur une narration solide, argumentée – une note / postface nous précise d’ailleurs tout ce qui, dans...
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