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Libérez l'ours en vous
Collection : Hors collection
Date de parution : 04/01/2018
Éditeurs :
Syros

Libérez l'ours en vous

Collection : Hors collection
Date de parution : 04/01/2018
Il vous est sûrement arrivé, à vous aussi, d'être porté par une passion.
Alors, il n'y a qu'une chose à faire... Libérer l'ours en vous !
Quand il est sur scène, Kolia oublie ses problèmes, le passé, tout ce qui lui manque. Il ne pense plus qu’à une chose, jouer.
Lisa a une fan inconditionnelle : sa petite...
Quand il est sur scène, Kolia oublie ses problèmes, le passé, tout ce qui lui manque. Il ne pense plus qu’à une chose, jouer.
Lisa a une fan inconditionnelle : sa petite sœur. Mais elle s’accroche à l’idée qu’un jour, ses rêves intéresseront aussi ses parents débordés.
Patricia se donne à fond pour...
Quand il est sur scène, Kolia oublie ses problèmes, le passé, tout ce qui lui manque. Il ne pense plus qu’à une chose, jouer.
Lisa a une fan inconditionnelle : sa petite sœur. Mais elle s’accroche à l’idée qu’un jour, ses rêves intéresseront aussi ses parents débordés.
Patricia se donne à fond pour ses élèves de théâtre. Or cette année, elle ne peut être là. Ils vont se lancer, puiser au fond d’eux-mêmes, oser sans elle. Pour elle.

Par l'autrice de U4.Jules (Nathan-Syros, 2015)
 
 
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EAN : 9782748521306
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 154 x 225 mm
EAN : 9782748521306
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 416
Format : 154 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • RadioBooking 11/11/2022
    Je me rends compte que j'aime les pièces de théâtre à lire mais surtout à voir comme spectateur. Mais que je n'aime pas lire des romans qui parlent de l'envers du décor, des répétitions, des déboires des acteurs. J'ai lu ce livre en diagonale. Très tôt dans le récit j'ai vu que ce n'était pas mon genre mais j'ai tout de même cherché le petit truc qui m'aurait fait changer d'avis (car j'aime le style d'écriture de l'autrice) .
  • Enoxalia 04/02/2020
    Un texte bien rythmé D'une trame très simple, Libérez l'ours en vous n'est pas pour autant ennuyant. On connaît la fin, mais on la savoure lentement. Au fil des pages, on voit se dérouler l'action en profitant de l'instant présent. On vit les événements, on y assiste d'une certaine manière comme à une pièce de théâtre. On rit aux remarques osées de Kolia, on a envie d'encourager Lisa à poursuivre son rêve, on a envie d'être dans cette salle avec eux pendant les répétitions. Ce qui est génial aussi c'est qu'il n'y a pas de lenteur dans le récit. Le texte mêle l'histoire des personnages à celle de la pièce de théâtre. Cette dernière relance le rythme et crée un effet miroir bienvenu. On a envie de savoir ce qui va arriver dans la pièce et aux personnages. À chaque fois que l'on passe de l'un à l'autre, pleins de choses arrivent. Ce n'est pas pour autant une explosion d'actions, mais quelque chose de plus lent, presque plus élégant. On nous amène doucement, grâce aux descriptions, au nœud du chapitre et, quand celui-ci arrive, on ne peut rien faire d'autre que de le savourer. Petite parenthèse sur le côté romance, très en retrait d'ailleurs. Je n'en parlerais pas comme un coup de foudre ni d'une histoire guimauve – cul-cul, cul-cul la praline, gnangnan, à l'eau de rose. Elle se mêle au reste par petite touche. On voit les personnages apprendre à se connaître par petite touche, apprécier les différentes facettes de leur personnalité. Lentement mais sûrement, une tension s'installe entre eux. Peut-être cela est dû à mon registre de base pour mes lectures, la fantasy ne se prêtant pas forcément à la romance la plus réaliste, mais j'ai trouvé très doux comme relation. Rien qui s'apparente à une attirance physique, autant dans l’esthétique des personnes que d'une sorte de magnétisme entre les corps, rien qui se déroule par petits épisodes pendant une quête épique, juste quelques discussions anodines en bons amis. Simple et une vraie guimauve dans le bon sens du terme. Des personnages de théâtre Kolia, Lisa et les autres sont des adolescents qui participent tous au club de théâtre et entretiennent avec ce dernier un lien particulier. Je comprends parfaitement que l'on ne s'attache pas d'emblée à eux à cause de cet attachement très fort à cette discipline. On pourrait les penser superficiels, égoïstes parfois, qu'ils se lamentent sur leur propre sort en faisant des tonnes et font souffrir leur entourage. Mais ce n'est pas ainsi que je les ai vus. J'ai suivi un Kolia mal dans sa peau, [masquer]qui en veut à son père de l'avoir éloigné par la force de sa grand-mère [/masquer], un Kolia qui ne souhaite pas que les autres le voient malheureux, un Kolia qui se raccroche désespérément au théâtre pour échapper à tout ces fardeaux qu'il a lui-même endossés pour éviter la moindre vraie confrontation avec les autres. J'ai suivi une Lisa qui doute d'elle-même, qui se compare sans arrêt aux autres, qui désespère d'avoir un peu d'attention de ses parents, qu'ils considèrent un peu son rêve et qu'ils l'aident, elle, plutôt que toujours leurs patients. Alors non, ces personnages n'ont rien de superficiels à mes yeux. Ils sont peut-être un peu égoïstes, mais c'est parce qu'ils se sont persuadés eux-mêmes que les choses doivent être ainsi. [masquer] Kolia ne demande pas à son père pourquoi il l'a éloigné de sa grand-mère, car il n'y a pour lui aucune justification à ce geste ; Lisa n'insiste pas pour avoir l'attention de ses parents – ils ne prennent pas en compte la comédie – parce qu'elle pense qu'elle ne pourra pas les faire changer de point de vue sur le théâtre : elle a beau leur répéter que c'est ce qu'elle veut faire, ils n'entendent rien. Elle ne s'engage pas avec eux dans une grande discussion à ce sujet.[/masquer] Je trouve ces personnages vraiment attachants. Certes, au début, j'ai eu un peu de mal à démarrer ce livre, mais je l'ai dévoré jusqu'à la fin. Si cette dernière est archi-prévisible, je ne l'ai pas pour autant pas du tout apprécier. Il y a comme une certaine joie à voir le club se donner à fond dans le dernier sprint, à dépasser leur peur, à se débarrasser de leur fardeau. D'autant plus quand ils font fi de certains obstacles, comme Christophe par exemple. [masquer] J'ai aussi vu que le club de théâtre exagérait quand il disait de leur prof remplaçant qu'il était un « connard ». Soyons clair là-dessus : tout le monde n'accepte pas la critique facilement, d'autant plus quand tu as l'habitude de jouer comme cela te vient et que l'on vient te recadrer toutes les trente secondes. Cela partait d'une bonne volonté, mais les adolescents n'en sont pas pour autant convaincus. S'ils font partie du club, c'est par plaisir. Si ce dernier s'envole à cause du comportement du prof trop militaire, il est normal qu'ils lui en veulent. Surtout, et cela n'est que mon avis, ils sont vexés que Christophe ne leur fasse pas assez confiance, qu'il croit qu'il faille absolument les tenir en laisse pour avancer. Sincèrement, qui peut apprécier un enseignant incapable de laisser un peu d'air à leurs élèves ? Et avant toute réponse, je parle bien de discipline aussi libre que le théâtre : s'il y a des bouffons, des vrais, en cours, c'est normal qu'on les recadre.[/masquer] Le mot de la fin « Libérez l'ours en vous » est vraiment un livre coup de cœur. Je dois bien l'avouer : le début a été un peu difficile, mais je n'ai pas réussi à le lâcher à la fin ! Il y a une certaine sensibilité derrière les personnages qui m'a particulièrement touchée et dans laquelle je me suis reconnue. C'est peut-être d'ailleurs le seul défaut que je donnerais à cette lecture : on aime ou on n'aime pas les personnages. Il me semble difficile de l'apprécier sans d'abord avoir un affect positif pour ses derniers, puisque l'histoire en elle-même n'est que le background de ce qui est vraiment important ici : les relations que l'on entretient avec ses proches et, entre autre, le refuge que peut devenir l'Art. Voilà un petit avertissement, mais je pense que le jeu en vaux la chandelle de se lancer dans cette aventure !Un texte bien rythmé D'une trame très simple, Libérez l'ours en vous n'est pas pour autant ennuyant. On connaît la fin, mais on la savoure lentement. Au fil des pages, on voit se dérouler l'action en profitant de l'instant présent. On vit les événements, on y assiste d'une certaine manière comme à une pièce de théâtre. On rit aux remarques osées de Kolia, on a envie d'encourager Lisa à poursuivre son rêve, on a envie d'être dans cette salle avec eux pendant les répétitions. Ce qui est génial aussi c'est qu'il n'y a pas de lenteur dans le récit. Le texte mêle l'histoire des personnages à celle de la pièce de théâtre. Cette dernière relance le rythme et crée un effet miroir bienvenu. On a envie de savoir ce qui va arriver dans la pièce et aux personnages. À chaque fois que l'on passe de l'un à l'autre, pleins de choses arrivent. Ce n'est pas pour autant une explosion d'actions, mais quelque chose de plus lent, presque plus élégant. On nous amène doucement, grâce aux descriptions, au nœud du chapitre et, quand celui-ci arrive, on ne peut rien faire d'autre que de le savourer. Petite parenthèse sur le côté romance, très en retrait...
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  • Virgule-Magazine 14/10/2019
    Kolia et Lisa ont une passion : le théâtre. À l’approche de la rentrée, ils ont hâte de retrouver Mme Valente, leur chère prof qui, au lycée, s’occupe du club théâtre. Mais Patricia Valente adresse à ses élèves un mail leur annonçant que, pour des raisons médicales, elle ne pourra pas assurer ses cours pendant six mois. C’est Christophe, un pion du lycée, étudiant en art dramatique, qui la remplacera : « Vous allez travailler avec lui sur une pièce que je comptais vous faire jouer cette année : les Justes, de Camus ». Kolia est très abattu et angoissé, jusqu’au moment où Vladimir, le compagnon de Mme Valente, propose au club théâtre de jouer plutôt Merci l’ours ! : il s’agit d’une pièce écrite par Patricia Valente. L’avis de Rachel, 15 ans : J’ai bien aimé ce livre, que j’ai dévoré assez rapidement. Les relations entre les personnages sont intéressantes, et le parallèle entre la pièce principale et la vie des personnages est super. Cependant, je trouve que l’on n’en sait pas beaucoup sur les autres personnages, car, dans la troupe, on n’en suit officiellement que deux. Sinon, une lecture très plaisante et agréable. Je conseille.  Les avis de la rédaction : - En complément de cet agréable roman, Carole Trébor met à disposition, sur l’application Syros Live, le livret de la pièce Merci l’ours ! et les enregistrements des chansons. - Malheureusement, ce roman m’a ennuyé, et j’ai regretté que le club de théâtre n’ait pas choisi de monter les Justes, de Camus, plutôt que la pièce, assez insipide à mon goût, de Mme Valente…Kolia et Lisa ont une passion : le théâtre. À l’approche de la rentrée, ils ont hâte de retrouver Mme Valente, leur chère prof qui, au lycée, s’occupe du club théâtre. Mais Patricia Valente adresse à ses élèves un mail leur annonçant que, pour des raisons médicales, elle ne pourra pas assurer ses cours pendant six mois. C’est Christophe, un pion du lycée, étudiant en art dramatique, qui la remplacera : « Vous allez travailler avec lui sur une pièce que je comptais vous faire jouer cette année : les Justes, de Camus ». Kolia est très abattu et angoissé, jusqu’au moment où Vladimir, le compagnon de Mme Valente, propose au club théâtre de jouer plutôt Merci l’ours ! : il s’agit d’une pièce écrite par Patricia Valente. L’avis de Rachel, 15 ans : J’ai bien aimé ce livre, que j’ai dévoré assez rapidement. Les relations entre les personnages sont intéressantes, et le parallèle entre la pièce principale et la vie des personnages est super. Cependant, je trouve que l’on n’en sait pas beaucoup sur les autres personnages, car, dans la troupe, on n’en suit officiellement que deux. Sinon, une lecture très plaisante et agréable. Je conseille.  Les avis de la rédaction : - En complément de cet...
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  • GribouilleEtPlume 24/06/2019
    Par Gribouille Je suis encore bouleversée par ma lecture … Avant toute chose, je tiens à préciser un détail qui pourrait modifier mon objectivité : moi aussi (et Plume également), je suis une « théâtreuse ». J’entends par là que je joue depuis maintenant 4 ans déjà et que cette fièvre du théâtre m’a emportée aussi. Alors imaginez ma joie lorsque j’apprends qu’il existe un concentré pur de 2 de mes passions ! Comme il est décrit dans le livre, il est vrai que certains parents ne prêtent pas forcément une attention toute particulière aux activités théâtrales de leur(s) ado(s), et je sais combien cela peut être blessant. Ce roman montre très bien toutes les émotions et sensations liées au théâtre : le trac, la « fusion » avec son personnage, la joie après la représentation, le stress et l’excitation des dernières représentations, la communion d’un groupe, … C’est tout cela qui rend le théâtre et ce livre (ô combien) merveilleux ! Je trouve très intéressant que l’auteure ait repris une pièce qu’elle même avait écrite pour base de l’histoire. C’est un bel hommage, et si je possédais un mobile, je me préciterai sur SYROS LIVE pour lire la pièce intégrale ! Vous l’aurez compris, j’ai adoré ce livre et vous le conseille vivement dès vos 11 ou 12 ans ! Bonne lecture ! PS : Plume aimerai ajouter qu’elle est juste tombée amoureuse de ce livre et qu’elle a même pleuré des larmes de joie à la fin ! Mais comment ne pas s’inscrire à un cours de théâtre après avoir lu un livre aussi émouvant !?Par Gribouille Je suis encore bouleversée par ma lecture … Avant toute chose, je tiens à préciser un détail qui pourrait modifier mon objectivité : moi aussi (et Plume également), je suis une « théâtreuse ». J’entends par là que je joue depuis maintenant 4 ans déjà et que cette fièvre du théâtre m’a emportée aussi. Alors imaginez ma joie lorsque j’apprends qu’il existe un concentré pur de 2 de mes passions ! Comme il est décrit dans le livre, il est vrai que certains parents ne prêtent pas forcément une attention toute particulière aux activités théâtrales de leur(s) ado(s), et je sais combien cela peut être blessant. Ce roman montre très bien toutes les émotions et sensations liées au théâtre : le trac, la « fusion » avec son personnage, la joie après la représentation, le stress et l’excitation des dernières représentations, la communion d’un groupe, … C’est tout cela qui rend le théâtre et ce livre (ô combien) merveilleux ! Je trouve très intéressant que l’auteure ait repris une pièce qu’elle même avait écrite pour base de l’histoire. C’est un bel hommage, et si je possédais...
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  • saomalgar 27/02/2019
    Pour l'amour du théâtre et de la création artistique. Le théâtre des trois coups est un atelier théâtre du lycée de Kolia, Lisa, Ilona, Cyril, Ethan, Natacha, Olivier ou encore Samia, tous membre de ce dit atelier. Mais leur prof, Patricia Valente, est atteinte d'une grave maladie et doit passer la main à un de ses anciens élèves, qui a fait le conservatoire, Christophe, mais qui n'a pas les mêmes méthodes qu'elle. Cela ne passe pas aussi bien auprès de ses élèves... Un joli roman qui nous plonge dans la vie de ces apprentis comédiens. Les personnages sont justes et surtout crédibles. Leurs relations entre eux et avec leur famille gagnent en profondeur au fur et à mesure de leur avancée dans la pièce de théâtre. Chacun prend ce dont il a besoin dans la pièce pour nourrir sa vie et cicatriser ses blessures. Comme si le texte de leur prof de théâtre était écrite pour chacun d'eux. Le thème de l'amour du théâtre déjà lu dans 3000 façons de dire je t'aime est ici plus technique, plus poussé. Et le lien qui unit les élèves aux professeurs est au coeur de la création artistique, pour les comédiens, c'est porteur ou destructeur. Les prémices des histoires d'amour rappellent avec douceur l'adolescence et ses premiers émois. Cependant, le texte souffre de certaines longueurs et parfois le texte de la pièce théâtre empiète sur l'histoire elle-même car elle prend trop de place quand elle est répétitive de l'histoire elle-même. Pour l'amour du théâtre et de la création artistique. Le théâtre des trois coups est un atelier théâtre du lycée de Kolia, Lisa, Ilona, Cyril, Ethan, Natacha, Olivier ou encore Samia, tous membre de ce dit atelier. Mais leur prof, Patricia Valente, est atteinte d'une grave maladie et doit passer la main à un de ses anciens élèves, qui a fait le conservatoire, Christophe, mais qui n'a pas les mêmes méthodes qu'elle. Cela ne passe pas aussi bien auprès de ses élèves... Un joli roman qui nous plonge dans la vie de ces apprentis comédiens. Les personnages sont justes et surtout crédibles. Leurs relations entre eux et avec leur famille gagnent en profondeur au fur et à mesure de leur avancée dans la pièce de théâtre. Chacun prend ce dont il a besoin dans la pièce pour nourrir sa vie et cicatriser ses blessures. Comme si le texte de leur prof de théâtre était écrite pour chacun d'eux. Le thème de l'amour du théâtre déjà lu dans 3000 façons de dire je t'aime est ici plus technique, plus poussé. Et le lien qui unit les élèves aux professeurs est au coeur de la création artistique, pour les comédiens, c'est porteur ou destructeur. Les prémices des histoires d'amour...
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